Citations sur pomp. iv 3

Cette pleine victoire est leur dernier ouvrage

Et si Rome est encor telle qu'auparavant

Et la ville calmée... N'a plus à redouter le divorce intestin Du soldat insolent et du peuple mutin

C'est elle dont je tiens cette haute espérance Qui flatte mes désirs d'une illustre apparence

Permettez cependant qu'à ces douces amorces Je prenne un nouveau coeur et de nouvelles forces

Ils allument contre eux une implacable haine

J'avoue après cela, seigneur, que je vous aime, Et que mon coeur n'est point à l'épreuve des traits Ni de tant de vertus, ni de tant de bienfaits

Cet État de nouveau rangé sous ma puissance

La ville calmée N'a plus à redouter le divorce intestin Du soldat insolent et du peuple mutin

Je n'ai plus qu'à courir les côtes de l'Afrique

Votre bras dans Pharsale a fait de plus grands coups

Qu'un juste respect conduisant ses regards....

Ils me font méprisable alors qu'ils me font reine

Reine, tout est paisible, et la ville calmée.... N'a plus à redouter le divorce intestin Du soldat insolent et du peuple mutin

L'injuste horreur qu'elle [Rome] eut toujours des rois

Quelles méchantes gens ! Achillas et Photin sont gens à dédaigner

Vous m'avez par deux fois rendu le diadème

Vous me rendez le sceptre.... je vous conjure.... De n'ensanglanter pas ce que vous me rendez ; Faites grâce, seigneur, ou souffrez que j'en fasse [aux assassins de Pompée]

C'est ce glorieux titre.... Que je viens ennoblir par celui de captif

Pour faire dire encore aux peuples pleins d'effroi Que venir, voir et vaincre est même chose en moi

Encore une défaite, et dans Alexandrie Je veux que cette ingrate en ma faveur vous prie