Citations sur moliere

Votre monsieur Purgon, par exemple, n'y sait point de finesse : c'est un homme tout médecin depuis la tête jusqu'aux pieds

La beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne

Mais puisque l'on s'obstine à m'y vouloir réduire

Vous devriez bien plutôt songer à marier votre fille qui est en âge d'être pourvue

C'est un admirable lieu que Paris, il s'y passe cent choses tous les jours qu'on ignore dans les provinces, quelque spirituelle qu'on puisse être

Vous épousez ma fille, et convoitez ma femme

Allez, monsieur, on voit bien que vous n'avez pas accoutumé de parler à des visages

Avez-vous, pour le croire, un juste fondement ?

C'est pure fanfaronnerie De vouloir profiter de la poltronnerie De ceux qu'attaque notre bras

Qui diable vous a fait aussi vous aviser, à quarante-deux ans, de vous débaptiser, Et d'un vieux tronc pourri de votre métairie [la Souche] Vous faire dans le monde un nom de seigneurie ?

Ils ne sauraient servir, mais ils peuvent vous nuire

Donques, si le pouvoir de parler m'est ôté, Pour moi, j'aime autant perdre aussi l'humanité

Et je me vis contrainte à demeurer d'accord Que l'air dont vous vivez vous faisait un peu tort

Et notre plus grand soin, notre première instance Doit être à le nourrir [l'esprit] du suc de la science

Holà ! ho ! cocher, petit laquais

Je la regarde en femme aux termes qu'elle en est

Résolvez ici l'un des deux, Ou de punir, ou bien d'absoudre

Ce monarque, en un mot, a vers vous détesté Sa lâche ingratitude [de Tartufe] et sa déloyauté

Que de sottes façons et que de badinages !

Et la fête de Pan parmi nous si chérie Auprès de ce spectacle est une gueuserie

La douceur exhilarante de l'harmonie

Quand il y a à manger pour huit, il y en a pour dix

Tenez, voyez ce mot, et sortez hors de doute

Vous êtes un plaisant Robin, se dit par mépris à un homme, Oh ! les plaisants Robins, qui pensent me surprendre !

Non, ma mie, et ton coeur pour cela m'est trop cher