Citations sur la boÉtie

Le couronnel des compaignies

Un sommier pesle mesle avec un soldat, le bagage, la cavallerie legiere, l'homme d'armes, une charrette, tout l'un parmy l'autre

Il fait beau voir les habillements tous separez.... cela est beau à l'oeil

Et c'est à toi un faire il le faut ; autrement....

Le paisan bat ses gerbes amassées, Et aux caveaux ses bouillans muis roulant....

Ce feut cette venimeuse doulceur [de Jules César] qui envers le peuple romain sucra la servitude

Le naturel de l'homme est bien d'estre franc et de le vouloir estre ; mais aussi sa nature est telle que naturellement il tient le ply que la nourriture luy donne

Soyez resolus de ne servir plus, et vous voylà libres

Ceux-ci [sont en servage] de l'yvrongnerie, ceux-là d'une ambition et magnificence sotte et depensive

Pour la culture de la terre, si je m'en voulois mesler, je cueillirois plus d'orge et de froument

Quand ces femmes rapporteresses et inventeresses de paroles viennent à dire....

La mesnagerie de la laine, pour en vestir le train de la maison

Batailles tant renommées qui ont esté données deux mille ans a, et vivent encores aujourd'hui aussi fraiches en la memoire des livres et des hommes comme si c'eust esté l'autre hier qu'elles furent données en Grece

Nous traçons dans les bois quelque voye esgarée ; Amour marche devant, et nous marchons après

Cresus, ce tant riche roy

[L'éléphant] s'estant defendu jusques à n'en pouvoir plus, n'y voyant plus d'ordre, .... casse ses dens contre les arbres

Les bestes (ce m'aid' Dieu), si les hommes ne font trop les sourds, leur crient : Vive liberté ; plusieurs y en a d'entr'elles, qui meurent si tost qu'elles sont prinses

D'un naturel humain et debonnaire

Ciceron, ce grand zelateur du bien publicque

Et d'avoir plusieurs maistres, c'est autant que d'avoir autant de fois à estre extremement malheureux

Son fils mesme [d'Agrippine], son nourrisson, son empereur faict de sa main.... luy osta la vie

A il jamais esté que les tyrans, pour s'asseurer, n'aient... ?

Je me desplais des lieux où la jeunesse à escrimer et à luicter s'adresse ; Les arcs aysez de cormier me desplaisent

Quand l'ame [trop attachée au corps] s'en deloge et s'en revole [de cette vie], elle y rentre tout à coup par le moyen des renaissances

Ils font venir les chanteresses et femmes dissolues