Citations sur la boÉtie

Ceux là sont pleins et ayses [riches] qui peuvent non pas seulement entretenir leur maison, mais encores la combler de reserves

Les poetes et orateurs qui se veulent garder d'une façon affettée et non pure

La mesnagerie de la laine, pour en vestir le train de la maison

Le bon zele et affection de ceulx qui ont gardé malgré le temps la devotion à la franchise

Aux provinces où il y a un satrape qu'ils appellent, celuy là a le soin et superintendance de l'un et de l'autre

Pour avoir la liberté, il n'a besoing que d'un simple vouloir

Et c'est à toi un faire il le faut ; autrement....

Et aussi pourtant qu'elle soit chaste, si est-il besoing qu'elle s'advise d'estre gracieuse et courtoise

Je ne veux pas que vous le poulsiez ni le bransliez ; mais seulement ne le soustenez plus

Que sera-ce si nous commençons de labourer la terre l'hiver ?

Le couronnel des compaignies

La lettre qu'il [Hippocrate] luy envoya [à Artaxerce] se veoid encores aujourd'huy parmy ses aultres oeuvres

Encor moindre je suis au compte de mes ans, Et desjà je suis vieux au compte de mes peines

....Pour si grand nombre qu'il y en ait....

De vray il est parfois que j'ay grand'pitié de toy

Si les hommes virent [tournent] la terre et la font [labourent] à bras

Toujours depuis que la voye est tracée, Plus on y passe et plus elle est aysée

Les petits enfants qui, pour voir les luisans images de livres illuminez, apprennent à lire

J'ay honte que desjà les douleurs inhumaines Me blanchissent le poil sans le congé du temps

[Syracuse] estant pressée par les guerres, inconsideréement ne mettant ordre qu'au danger, esleva Denis le premier

Le masle et femelle ne cerchent seulement leur estre, mais aussi de s'ayder l'un l'autre

Ceux là mesmes [les choeurs], soit qu'ils facent quelque chose, ou qu'ils parlent, s'ils y vont d'un train en bon ordre, c'est plaisir de les veoir

Le gros populas

Les uns descouvrent le pays, les autres chevalent les voyageurs

Les bestes (ce m'aid' Dieu), si les hommes ne font trop les sourds, leur crient : Vive liberté ; plusieurs y en a d'entr'elles, qui meurent si tost qu'elles sont prinses