Citations sur ducis

Vous n'en faites que trop la dure expérience

Mais as-tu près de moi rangé ces vêtements Qui couvrirent ma mère à ses derniers moments ?

La mort, c'est le sommeil ; c'est un réveil peut-être.... Peut-être ! ah ! c'est ce mot qui glace épouvanté L'homme au bord du cercueil par le doute arrêté

Vous ne reverrez plus la tombe de mon père.... Le sol où croît pour nous le doux fruit du dattier

Est-ce à vous libre, errant, fougueux dans vos désirs, à goûter comme moi ces funestes plaisirs ?

Un mortel généreux connaît mal l'imposture

Le sort va de mes coups servir la hardiesse

Ma pauvreté est fière ; je n'ai qu'un méchant pourpoint, mais je n'y veux point de taches

Mais ce feu créateur [la vie] qui sert à l'animer [un être vivant], Si je l'avais éteint, comment le ranimer ?

De vous, sur ces dehors, que voulez-vous qu'on pense ?

Il faut pour tant d'horreur, Que tout l'art de Venise ait passé dans son coeur

Non je ne croirai pas que mon fils inflexible, Sous des dehors heureux cache un coeur insensible

Quand j'étale à tes yeux ton crime et ma misère

Hélas ! il m'a parlé de calme, de repos, D'un long sommeil de paix qui finit tous nos maux

Mais des ennuis d'Hamlet que faut-il que je pense ? Qui peut de ses transports aigrir la violence ?

Ma fierté naturelle est assez satisfaite de quelques non bien fermes que j'ai prononcés dans ma vie

Mais toi qui voyais tout avec un oeil paisible

Je suis d'un sexe faible, au fuseau destiné

Dans nos amitiés même il entre du destin

L'amour innocemment est entré dans mon coeur

Mais comment expliquer ces lugubres accès, Ce dégoût des humains, cette pâleur mortelle ?

Je n'ai jamais d'Helmonde approfondi le crime ; Mes yeux ont toujours craint de percer cet abîme

Crois-tu que cette fièvre inextinguible, ardente, Qui jusque dans tes bras me sèche et m'épouvante, Soit l'effet passager d'un caprice ou d'un jour ?

Un inconstant vieillard, lassé du diadème, Abdique imprudemment et s'en repent de même

Ma fille, me dit-elle, avec un cri d'effroi