Citations sur jean de la fontaine

Que dirais-je des traits où les Ris sont logés, Des yeux aux brillantes merveilles... ?

Plein d'un juste courroux, Il vous prend sa cognée, il vous tranche la bête

Le ciel permet-il pas d'aimer ou de haïr ?

Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ?

Maint estafier accourt : on vous happe notre homme, On vous l'échine, on vous l'assomme

Les arbres et les plantes Sont devenus chez moi créatures parlantes

Ce que mon livre en dit doit passer pour chanson

La bête scélérate à de certains cordons se tenait par la patte

Un paon muait ; un geai prit son plumage, Puis après se l'accommoda

L'ingrate, pour le jour de sa nativité, Joignait aux fleurs de sa beauté Les trésors des jardins et des vertes campagnes

Femme n'était qui ne s'en mît

Pour secourir les siens dedans l'occasion

C'est par cette raison qu'égayant leur esprit Nombre de gens fameux en ce genre ont écrit

Ils firent tous ripaille, Chacun d'eux eut part au gâteau

Je hais les pièces d'éloquence Hors de leur place et qui n'ont pas de fin

Ici-bas maint talent n'est que pure grimace, Cabale, et certain art de se faire valoir Mieux su des ignorants que des gens de savoir

Le voleur [le renard] tourne tant qu'il entre au lieu guetté, Le dépeuple, remplit de meurtres la cité

Ô vous pour qui les dieux ont des soins si pressants, Bourbon, Conti....

C'est l'ordinaire de ceux qui ont tort et qui connaissent leur faible, de chercher des fuites

Or çà, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ?

Le linge orné de fleurs fut couvert, pour tout mets, D'un peu de lait, de fruits et des dons de Cérès

Il renonce aux courses ingrates, Revient en son pays, voit de loin ses pénates, Pleure de joie et dit : heureux qui vit chez soi, De régler ses désirs faisant tout son emploi !

Un manant au miroir prenait des oisillons

Il fit.... circonstancier le fait très amplement

À ces mots, le premier il [le chien] vous happe un morceau