Citations sur jean de la fontaine

L'apologue est un don qui vient des immortels

Un appui de roseau soulageait leurs vieux ans

Cet homme, par son testament.... Leur laissa tout son bien par portions égales

C'est bien raison qu'au double on le leur rende

Jean s'en alla comme il était venu, Mangeant le fonds avec le revenu

Renaud n'était si neuf qu'il ne vît bien...

Allez, vous êtes une ingrate, Ne tombez jamais sous ma patte

Mais rien ne vient m'interrompre ; Je mange tout à loisir

Six forts chevaux tiraient un coche

Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire, Ni fade adulateur ni parleur trop sincère

Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ?

Ainsi certaines gens faisant les empressés S'introduisent dans les affaires ; Ils font partout les nécessaires, Et, partout importuns, devraient être chassés

Il n'appartient qu'aux ouvrages vraiment solides et d'une souveraine beauté, d'être bien reçus de tous les esprits et dans tous les siècles

[Elle] Le pinçait, lui venait sourire, Sur les yeux lui mettait la main, Sur le pied lui marchait enfin

Tout est fin diamant aux mains d'un habile homme ; Tout devient happelourde entre les mains d'un sot

Oh ! oh ! dit-il, voilà bonne cuisine ! Qui traitez-vous ?

Maître renard croyait qu'il en irait de même Que le jour qu'il tendit de semblables panneaux

Une jeune ingénue en ce lieu se vint rendre, Et goûter la fraîcheur sur ces bords toujours verts

Les ruines d'une maison Se peuvent réparer ; que n'est cet avantage Pour les ruines du visage !

Vous qui devez savoir les choses de la vie

Miracle, criait-on ; venez voir dans les nues Passer la reine des tortues ; La reine ! vraiment oui : je la suis en effet

Je définis la cour un pays où les gens, Tristes, gais, prêts à tout, à tout indifférents, Sont ce qu'il plaît au maître

Un mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte

Voyez un peu, dirait-on qu'il y touche ?

Celui qui s'était vu Corydon ou Tircis Fut Pierrot et rien davantage