Citations sur jean de la fontaine

Laisse-moi fuir ; cesse de rire De l'indocilité qui me fait envoler, Lorsque d'un ton si doux, on s'en vient m'appeler

Notre galant vous lorgne une fillette, De celles-là que je viens d'exprimer

....Le roussin d'Arcadie Craignit qu'en perdant un moment Il ne perdît un coup de dent

Il y vole, il est pris ; ce blé couvrait d'un lacs Les menteurs et traîtres appas

Belles comtés, Beaux marquisats de Dieu qu'il possédait

Grand éclat de risée et grand chuchillement

Un seul arbre s'offrit, tel encor que l'orage Maltraita le pigeon en dépit du feuillage

Ce cousin entreprend de changer une femme !... Et quel est donc ce sot entrepreneur ?

Quand à quelques-uns [poissons] l'appât serait fatal, Mourir des mains d'Annette est un sort que j'envie

Il jugea qu'à son appétit Dame baleine était trop grosse ; Dame fourmi trouva le ciron trop petit, Se croyant, pour elle, un colosse

.... Le repos, trésor si précieux, Qu'on en faisait jadis le partage des dieux

Un mariage clandestin

On écorche, on taille, on démembre Messire loup ; le monarque en soupa, Et de sa peau s'enveloppa

Dieu détruira le siècle au jour de sa fureur ; Un vaste embrasement sera l'avant-coureur

Il se piqua pour certaine femelle De haut état...

....Est bien fou du cerveau Qui prétend contenter tout le monde et son père

Oui, pour vous, dit Cloris, qui passez cinquante ans... Car, pour vous découvrir le fond de ma pensée, Je me plais aux livres d'amour. Cloris eut quelque tort de parler si crûment

Il faut faire aux méchants guerre continuelle

Les pas empreints sur la poussière.... Tous, sans exception, regardent sa tanière [du lion]

Le mulet, en se défendant, Se sent percé de coups, il gémit, il soupire

Le grand désir de vous voir un enfant Vous transportait naguère d'allégresse

J'ôte le superflu, dit l'autre, et l'abattant, Le reste en profite d'autant

Suivez le fil de la rivière

Tire-moi ces marrons ; si Dieu m'avait fait naître Propre à tirer marrons du feu, Certes marrons verraient beau jeu

Quel esprit ne bat la campagne ? Autant les sages que les fous