Citations sur jean de la fontaine

Dans le temps que le porc revient à soi, l'archer Voit le long des sillons une perdrix marcher

L'ours bouche sa narine ; Il se fût bien passé de faire cette mine

Voilà sa toile ourdie, Voilà des moucherons de pris

Le chien se pique d'être Soigneux et fidèle à son maître, Mais il est sot, il est gourmand

leur beauté Aiguisait l'appétit

Qu'y a-t-il de nouveau ? Mais surtout évitez Les traits que tant de fois l'églogue a répétés ; Il me faut du nouveau, n'en fût-il plus au monde

....Le maître et la servante ayant fait leur marché

Ma soeur, lui dit Progné, comment vous portez-vous ? Voici tantôt mille ans que l'on ne vous a vue

On dit qu'on est inconsolable : On le dit ; mais il n'en est rien

Heureux de ne devoir à pas un domestique Le plaisir ou le gré des soins qu'ils se rendaient

Cet homme, disent-ils, était planteur de choux ; Et le voilà devenu pape !

Il suivit à la fin de plus sages conseils ; Au lieu de ses amours il servit sa patrie ; Son prince disposa du reste de sa vie

Si dans son composé quelqu'un trouve à redire, Il peut le déclarer sans peur, Je mettrai remède à la chose

J'ai plus gagné que perdu ; Car d'hymen point de nouvelles

Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux

Sans être gascon, je puis dire Que je suis un merveilleux sire

Diogène là-bas est aussi riche qu'eux [ceux qui entassent], Et l'avare ici-haut, comme lui, vit en gueux

Gens trop heureux font toujours quelque faute

Quand ? dans quel temps ? Quand la marierons-nous, quand aurons-nous des gendres ?

Entre deux bourgeois d'une ville S'émut jadis un différend

L'autre [le cheval].... lui lance [au loup] une ruade Qui vous lui met en marmelade Les mandibules et les dents

Prends ton pic, et me romps ce caillou qui te nuit ; Comble-moi cette ornière....

J'avais prévu ma chute en montant sur le faîte

On se levait trop tard, on se couchait trop tôt

Les Levantins en leur légende Disent qu'un certain rat, las des soins d'ici-bas