Citations sur jean de la fontaine

Un rat plein d'embonpoint, gras et des mieux nourris, Et qui ne connaissait l'avent ni le carême

Rien ne resta qu'une ferme au pauvre homme, Et peu d'amis, même amis Dieu sait comme ; Le plus zélé de tous se contenta, Comme chacun, de dire : c'est dommage

Un roitelet pour vous [roseau] est un pesant fardeau

Les beautés du sublime... enlèvent l'âme, et se font sentir à tout le monde avec la soudaineté des éclairs

Sans rien faire, alléguant l'exemple de Gaster

Mais las ! étant pris à la piste, Il jure qu'il est arboriste, le Songe, stances écrites en 1616. Tu veux faire ici l'arboriste, Et ne fus jamais que boucher

La pilule, à vrai dire, était assez amère

Sous un chêne aussitôt il va prendre son somme

Un âge sortable au vôtre

La cigogne au long bec n'en put attraper miette [du brouet servi par le renard]

À l'avenir Mazet serait choyé

En rêvant à la visite qu'elle était prête de recevoir

Honteux comme un renard qu'une poule aurait pris

Certaines gens qui ne s'acquièrent des amis que pour s'acquérir des suffrages par leurs moyens ; créatures de la cabale, bien différentes de cet Espagnol qui se piquait d'être fils de ses propres oeuvres

Notre souffleur à gage Se gorge de vapeurs, s'enfle comme un ballon

Trois saints également jaloux de leur salut, Portés d'un même esprit, tendaient à même but

Ils m'ont laissé ravir notre pauvre Robin, Robin mouton, qui par la ville Me suivait pour un peu de pain

Ce repas fait, il [Perrin Dandin] dit d'un ton de président : Tenez, la cour vous donne à chacun une écaille

Et le grison se rue Au travers de l'herbe menue

Progné lui repartit [au rossignol] : Eh quoi ! cette musique Pour ne chanter qu'aux animaux

L'un, c'était le marchand, savait l'arithmétique : à tant par mois, dit-il, je donnerai leçon

Un pauvre bûcheron tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé, marchait à pas pesants

Il se piqua pour certaine femelle De haut état...

La tortue enlevée.... Justement au milieu de l'un et l'autre oison

Jamais de liberté, ni pour les pâturages, Ni d'autre part [des loups] pour les carnages