Citations sur bÉrang.

Si du trône, par occurrence, Un roi tombait, que subito On le ramène en son château

À tant d'esprit passez la négligence : Ah ! du talent le besoin est l'écueil

Tandis que.... coup sur coup, Pour ma santé je bois beaucoup

[Le roi d'Ivetot] .... Modèle des potentats, Prit le plaisir pour code

Quel est sur moi le froid qui tombe ? C'est le froid du soir de mes jours

Vous, messieurs, qui, le nez au vent, Nobles par votre boutonnière, Encensez tout soleil levant

Sur un ruisseau rapide Vers la France entraîné, Il [l'exilé] s'assied l'oeil humide Et le front incliné

Poursuivons de nos épigrammes Ce sexe que j'ai trop aimé

Chez l'étranger la mort l'atteint ; Qu'il dut trouver sa coupe amère !

Dans mes calculs, Dieu ! quel déboire, Si de ton héros je parlais !

Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré

M. Judas .... soutient avec chaleur Qu'il n'a joué qu'un seul rôle Et n'a pris qu'une couleur

Pour le théâtre ayant quitté l'aiguille, à mon début Craignant quelque rebut

Tant burent à leur volenté Qu'à Primaut le cervel bolut

Du cerf prêt à forcer l'enceinte, Chasseur, tu fais le fanfaron

Du préfet je crains les argus

Oui, dit l'ange, et je te fis don Des trois besaces d'un vieux moine

S'il parle à de certaines filles Dont il fit longtemps ses amours

Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime !.... Mon vieil ami, ne nous séparons pas

Un chambellan qui de clinquant pétille

Dans nos discords j'ai fait plus d'un naufrage, Sans jamais fuir la France et son doux ciel

Combien d'agents illégitimes Servent la légitimité ?

Qu'un valet change ses galons Sans changer d'antichambre

Je suis un sou de bon aloi ; Mais en secret argentez-moi, Et me voilà fausse monnaie

Lachésis, emplissant sa tasse, S'écrie : Atropos dort enfin