Citations sur bÉrang.

J'ouvre, bon Dieu ! c'était lui [Napoléon 1er] Suivi d'une faible escorte ; Il s'asseoit où me voilà, S'écriant : oh ! quelle guerre ! Il s'est assis là, grand'mère, Il s'est assis là !

Le lendemain l'époux cent fois Raconte à la noce égayée....

Partout ses yeux, pour m'alarmer, Provoquaient l'oeillade indiscrète

Sur un ruisseau rapide, Vers la France entraîné, Il s'assied l'oeil humide Et le front incliné

Auprès de ta femme, sans crainte, Se glisse un chasseur franc luron

Du coin d'où le soir je ne bouge, J'ai vu le petit homme rouge

Mais le plus heureux des maris, En quittant sa couchette, Demain se pavanera

.... Et je retrouve encore Trois pieds d'un vers charbonnés sur le mur

Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez-vous la main

Quand secouerai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs [du drapeau tricolore] ?

Vous ne trouvez le laurier bon Que pour la sauce et le jambon

Un chambellan qui de clinquant pétille

Aux dîners d'Agathe, Au lieu de café, Vite une sonate

Dans ce Paris plein d'or et de misère

Tu vas, dis-tu, vieux et pauvre alchimiste, Tirer de l'or des métaux indigents

Je préside à tous les banquets, à ma fête j'ai des bouquets

Vos pieds dans le satin N'osent fouler l'herbette

Que dans l'or mangent les grands ; Il ne faut à deux amants Qu'un seul verre, qu'une assiette

Non, chez nous point, Point de ces coups de poing Qui font tant d'honneur à l'Angleterre

Et chantait au son d'une vielle Vive Henri quatre et Gabrielle !

Vous paierez, sans y songer, L'étranger et les ministres, Les ventrus et l'étranger

Malheureusement je n'ai pas l'amour des sinécures....

Contre la gent hypocrite Voyez son malin courroux

Moi bien portant, quoi ! vous pensez d'avance à m'ériger une tombe à grands frais

Partout la Providence Veut en nous protégeant Niveler l'abondance, Éparpiller l'argent