Citations sur bÉrang.

Chez l'étranger la mort l'atteint ; Qu'il dut trouver sa coupe amère !

Ton sexe faible est oublieux des crimes ; Mais, dans ces murs ouverts à tant de peurs, N'entends-tu pas des ombres de victimes Mêler leurs cris à tes soupirs trompeurs ?

Suivi de ta meute.... Chasseur, tu parcours le canton

Mais, dites-vous, il avait donc des rentes ! Eh ! non, messieurs ; il logeait au grenier

Des poisons qu'un flatteur distille, C'était à qui le nourrirait

Un diable, cornard effronté, Vilains, ici guette vos belles

Pour des rubans la France entière Fut en proie à de longs débats ; La fleur des champs brille à ta boutonnière

Ah ! préférez à leur audace [de Voltaire et des siens] L'esprit d'un frère coupe-choux

Nous nous aimions sans nous connaître ; Nos baisers se croisaient dans l'air

C'est l'air natal qui séchera tes larmes

Dans la soupente d'un portier, Je naquis au rez-de-chaussée

Mais nos fils, pesants gastronomes, Boiront et ne chanteront point

Ne souffrons pas qu'elle bourdonne, Qu'elle bourdonne autour de nous

Les petits coups, selon toi, Sentent le buveur qui chancelle

Notre gloire est sans seconde ; Français, où sont nos rivaux ?

Voir, c'est avoir, allons courir, Car tout voir c'est tout conquérir

Mes enfants, dans ce village, Suivi de rois, il passa, Voilà bien longtemps de ça

Sur les coussins où la douleur l'enchaîne, Quel mal, dis-tu, vous fait ce roi des rois ?

Jeune, gentille et bien faite, Elle est fraîche et rondelette

Pour le théâtre ayant quitté l'aiguille

Il a pour guide une fillette

Et près d'aimables étourdis à la contre-danse il répète : Comme vous j'ai dansé jadis

Béni sois-tu, vin détestable ! Bien qu'au maître de ce banquet Des flatteurs vantent ton bouquet

Les rois boiront, Tous en rond ; Les lauriers serviront D'échalas à nos vignes

Peu faite pour être ouvrière, Dans les cartes cherchons mon sort