Citations sur corneille

Et de ses courtisans souvent les plus heureux Vous pressent à genoux de lui parler pour eux

Et quand la renommée a passé l'ordinaire, Si l'on n'en veut déchoir, il faut ne plus rien faire

Ô qu'il est doux de voir une ferveur divine Dans les religieux nourrir la sainteté !

Plus cette faveur sur la terre est diffuse, Plus elle y fait briller ta grâce et ton amour

Quand on veut soutenir ceux que le sort accable, à force d'être juste on est souvent coupable, Et la fidélité qu'on garde imprudemment Après un peu d'éclat traîne un long châtiment

Le mien d'avec le vôtre en ce point seul diffère

Mais ce qui m'en déplaît et qui me désespère, C'est de perdre la soeur pour éviter le frère, Et me violenter à fuir ton entretien, Puisque te voir encor, c'est m'exposer au sien

De grâce, dites-moi, vous connaissez-vous bien ?

Plus plein d'étonnement que de timidité

Les Parthes à la foule, aux Syriens mêlés Bénissent à l'envi le prince et Rodogune

Votre plainte, madame, aurait pour toute issue Un nouveau déplaisir de la voir mal reçue

Je ne demande plus que pour de si beaux feux Votre absolu pouvoir hasarde un je le veux

Ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois

Et sous l'indigne appât d'un coup d'oeil affété

Il frissonne, il chancelle, il trébuche, il expire

Obtenir de Médée avec dextérité Ce que refuserait son courage irrité

Il demeure à ces mots sans parole, sans force

Ne crains pas toutefois que j'éclate en injures

Le peu qu'ils ont gagné vous fait assez juger Qu'ils n'y mettront jamais qu'un contre-poids léger

Je me suis accusé de trop de violence

Attale qu'en otage ont nourri les Romains

Les accommodements ne font rien en ce point

Je tâche avec respect à vous faire connaître Les forces d'un amour que vous avez fait naître

D'un des pans de sa robe il [Pompée] couvre son visage

Puisque cette grandeur à son trône attachée....