Citations sur corneille

Et n'eût été Léonce, en la dernière guerre, Ce dessein avec lui serait tombé par terre

Mais si fumante encor d'un généreux courroux....

C'est mon trône, c'est moi qu'on prétend conquérir

Le prêtre avait à peine obtenu du silence, Et devers l'Orient assuré son aspect....

Je veux mettre d'accord l'amour et la nature, être père et mari dans cette conjoncture

Autre n'a mieux que toi soutenu cette guerre ; Autre de plus de morts n'a couvert notre terre

J'ose m'imaginer qu'à ses moindres exploits Les royaumes entiers tomberont sous ses lois

Vous même, dites-moi comme il faut que j'explique Ces inégalités de votre république

Ne m'obligez pas à faire à ses appas Un compliment de roi qui ne lui plairait pas

Le temps est un grand maître, il règle bien des choses

J'ai de l'ambition, mais je sais la régler ; Elle peut m'éblouir et non pas m'aveugler

Que ne peut ma haine avec un plein loisir Animer les bourreaux qu'elle saurait choisir, Repaître mes douleurs d'une mort dure et lente, Vous la rendre à la fois et cruelle et traînante !

Seigneur, l'occasion fait un coeur différent

S'il les [ses voeux] pousse trop loin, moi-même je l'en blâme

Ma foi, mon coeur, mon bras, tout vous est engagé

Et tout d'un temps on le voit y voler

Et les membres épars des mauvais interprètes [de l'énigme du sphinx] Ne laissaient dans ces murs que des bouches muettes

C'eût été se faire arrêter lui-même, et se précipiter dans un obstacle invincible au dessein qu'il voulait exécuter

Depuis qu'elle [Rome] se voit la maîtresse du monde, Depuis que la richesse entre ses murs abonde

Votre garde est doublée et par un ordre exprès Je vois ici deux rois observés de fort près

Quand pour vous acquérir je gagnais des batailles.... Que je semais partout la terreur et l'effroi

Je me privais de lui sans me vendre à personne

Puissé-je vous donner l'exemple de souffrir, Comme vous me donnez celui de vous offrir ?

Il [l'Orient] fit Vespasien chef d'un plus fort parti

On les [les taureaux qui lançaient le feu] a vus au joug, et le champ labouré