Citations sur corneille

Enfin chez les chrétiens les moeurs sont innocentes

Toutes les dignités que tu m'as demandées, Je te les ai sur l'heure et sans peine accordées

Laisse aller tes soupirs, laisse couler tes larmes

Adieu, mais souviens-toi que c'est sur ta promesse Que mon esprit reprend quelque tranquillité

Et ma famille enfin à Corinthe abordée

Vous adorez en vain des monstres impuissants

Vous en aviez déjà sa parole pour gage

Mon âme a secoué le joug de cent remords

Les désastres d'Othon ainsi que moi vous frappent

À moins d'une secrète et forte antipathie

Elle a le coeur trop bon pour se voir avec joie Le rebut d'un tyran dont elle fut la proie

Enfin chez les chrétiens les moeurs sont innocentes

Votre sévérité, sans produire aucun fruit, Seigneur, jusqu'à présent a fait beaucoup de bruit

Et celui dont le ciel pour un sceptre fait choix, Jusqu'à ce qu'il le porte, en ignore le poids

De moment en moment votre garde s'écoule

Il abaisse à nos pieds l'orgueil des diadèmes

Elle [Rome] a nourri vingt ans un prince votre fils.... Si vous faites état de cette nourriture

Et tout ce que la gloire a de vrais partisans Le hait [Auguste] trop puissamment pour aimer ses présents

Et je me rends, seigneur, à ces hautes bontés

Ce grand corps tous les ans change d'âme et de coeurs, C'est le même sénat et d'autres sénateurs

Ô vous à ma douleur objet terrible et tendre, Éternel entretien de haine et de pitié

Sais-tu que ce vieillard fut la même vertu ?

Les plus clairvoyants y sont bien empêchés

Et reconnaissez-vous que tout ce qu'il m'a dit Par quelque impression ébranle mon esprit ?

Seigneur, vous pardonnez aux chaleurs de son âge