Citations sur corneille

Un regard désarmé de toutes ses rigueurs Et tel qu'il est enfin quand il gagne les coeurs

Si près de voir mon feu récompensé, ô Dieu ! l'étrange peine !

Si bien que le sénat prenant un juste ombrage

Un colosse d'État qui de vous seul attend L'âme qu'il n'a pas de lui-même

Ton illustre audace Fait bien revivre en toi les héros de ma race ; C'est d'eux que tu descends, c'est de moi que tu viens

Je pourrai le résoudre à perdre une maîtresse Dont l'âge peu sortable et l'inclination Répondent assez mal à son affection

Dieux ! que vous me gênez par cette défiance ! - Pour subsister en cour c'est la haute science

Mon âme jouira de ton inquiétude, Je rirai de ta peine

Parmi ce grand amour que j'avais pour Sévère

Les sentiments de douleur qu'il en peut légitimement concevoir devraient du moins l'emporter à faire quelques reproches à celle dont il se croit trahi, et lui donner par là l'occasion de le désabuser

Mais s'il fallait encor que l'on en vînt aux coups, Je combattrais pour elle en soupirant pour vous

À deux milles d'ici j'ai su le rencontrer

Et, comme notre esprit jusqu'au dernier soupir Toujours vers quelque objet pousse quelque désir, Il se ramène en soi n'ayant plus où se prendre, Et, monté sur le faîte, il aspire à descendre

Vous saurez seulement qu'en ce lieu de délices On servit douze plats, et qu'on fit six services

Mon crime redoublé n'émeut point ta colère ?

On te croirait toujours abattu sans effort

Parnes, soles, appuis, jambages

Si vous voulez ma main, n'engagez point la vôtre

Mes exemples un jour ayant fait place aux vôtres

Que parlez-vous ici d'Albe et de sa victoire ?

Suivez votre caprice, offensez vos amis

Mille cris aussitôt de tous côtés s'entendent

Qui se venge à demi court lui-même à sa peine

Ma vie est presque usée, et ce reste inutile Chez mon frère avec vous trouvait un sûr asile

À mes confus regrets soyez donc moins sévère