Citations sur corneille

Et la mort que mes voeux s'efforcent de hâter Est l'unique degré par où j'y veux monter

Va, porte cette crainte à des coeurs ravalés

Qu'il se donne à Mandane, il n'aura plus de crime. - Eurydice : Qu'il s'y donne, madame, et ne m'en dise rien

Sans chercher d'autre gloire au pied de l'Aventin

Aux deux bouts de la terre en est-il un [roi] si vain Qu'il prétende égaler un citoyen romain ?

L'un m'invite à le suivre, et l'autre me fait peur ; Mais l'exemple souvent n'est qu'un miroir trompeur

Et mes feux dans mon âme ont beau s'en mutiner....

Ô mon fils ! ô ma joie ! ô l'honneur de nos jours ! ô d'un état penchant l'inespéré secours !

Votre amour en tous deux fait ce combat d'esprits

De tous les deux côtés on me donne un mari, Encor tout teint du sang que j'ai le plus chéri

Pour tous remercîments il faut que je te chasse

Et quoi qu'étale ici le monde, Ce n'est qu'avec dédain que l'oeil s'y doit prêter

Il est beau de tenter des choses inouïes

Un excès de plaisir nous rend tous languissants, Et, quand il surprend l'âme, il accable les sens

Quelle pâle lumière Dissipe ces horreurs, et frappe ma paupière ?

Qui chérit son erreur ne la veut pas connaître

L'âme de cette reine, à la douleur ouverte, à toute sa famille imputerait sa perte

Et la seule pensée [de conspirer] est un crime d'État

Néarque : Je tiens leur culte impie [des païens]. - Polyeucte : Et je le tiens funeste

Parlez ; notre amitié par ce doute est blessée

Et lors d'un noeud sacré l'inviolable étreinte

Le second Théodose avait pris leur modèle [des empereurs sans autorité] ; Sa soeur à cinquante ans le tenoit en tutèle

Prusias : Purge-toi d'un forfait si honteux et si bas. - Nicomède : M'en purger ! moi, seigneur ! vous ne le croyez pas

Je souhaiterais, pour ne point gêner du tout le spectateur, que ce qu'on fait représenter devant lui en deux heures se pût passer en effet en deux heures

Le roi.... eût livré ce grand homme [Annibal], S'il n'eût par le poison lui-même évité Rome