Citations sur corneille

La perte de nos biens et de nos libertés

Immolez, non à moi, mais à votre couronne, Mais à votre grandeur, mais à votre personne...

Je l'ai trouvé, seigneur, au bout de cette allée, Où la clarté du ciel semble toujours voilée

Quoi ! voilà donc enfin de quoi vous vous flattez !

Ces neveux qui peut-être auront peine à les suivre.... Et n'en auront le sang que pour dégénérer

J'observerai, seigneur, ces avis importants

Explique, explique mieux le fond de ta pensée

Et je puis dire enfin que jamais potentat N'eut à délibérer d'un si grand coup d'État

Un vainqueur s'adoucit auprès de sa captive

J'ajoute à ces tableaux la peinture effroyable De leur concorde impie, affreuse, inexorable [des triumvirs]

Le voulant secourir, César nous eût surpris ; Vous voyez sa vitesse

.... Que si près du port, contre toute apparence, Un orage si prompt brisât notre espérance

Sans regret, sans murmure et sans étonnement

Si près de voir sur soi fondre de tels orages, L'ébranlement sied bien aux plus fermes courages

Si vous vous expliquiez un peu plus clairement

Sire, j'en ai trop dit, mais l'affaire vous touche

Son coeur suivra le sceptre, en quelque main qu'il brille

Quand un homme une fois a droit de nous haïr

Et peu de généreux vont jusqu'à dédaigner, Après un sceptre acquis, la douceur de régner

Unulphe, oubliez-vous Que vous parlez à moi, qu'il était mon époux ?

Et nous ouvrant son coeur nous ouvrit ses trésors

Sa femme, dont je le fais encore si passionné

Qui donne le portrait, promet l'original

L'ambition, l'orgueil, l'intérêt, l'avarice, Revêtus de son nom [du roi], nous donnèrent des lois

Voulez-vous demeurer dedans la rêverie ?