Citations sur corneille

Cependant que Félix donne ordre au sacrifice

Et si jusqu'à ce point on me croit important, Que mes ressentiments puissent vous être à craindre

Il est vrai que je rêve, et ne saurais résoudre Lequel je dois des deux le premier mettre en poudre, Du grand Sophi de Perse, ou bien du grand Mogor ? - Eh ! de grâce, monsieur, laissez-les vivre encor

Un astre plus bénin vient d'éclaircir tes jours

Byzance ouvre, dis-tu, l'oreille à ces menées

Jamais à ses désirs mon coeur ne fut rebelle

Ô mânes de mon père !.... N'ayant pu vous venger, je vous irai rejoindre

Tous deux près de Galba marchaient d'un pas égal

Que direz-vous, madame, Du dessein téméraire où s'échappe mon âme ?

Je serais plus sévère et tiens qu'à juste titre Vous lui pouvez tantôt en faire un bon chapitre

Toutes les dignités que tu m'as demandées, Je te les ai sur l'heure et sans peine accordées

Mais puisque mon devoir m'imposait d'autres lois....

Quand la perte est vengée, on n'a plus rien perdu

Et [il] prévient, par un ordre à tous deux salutaire, Ou les maux qu'il prépare, ou ceux qu'il pourrait faire

S'il les [ses voeux] pousse trop loin, moi-même je l'en blâme

.... Votre espoir trop prompt prend trop de vanité Des termes obligeants de ma civilité

Je t'adopte pour fils, accepte-moi pour père

Il [le roi] m'envoie Faire office vers vous de douleur et de joie

La main qui me tue Rend sous mes déplaisirs ma constance abattue

Je voudrais comme vous faire grâce à son âge

Et d'autant que l'honneur m'est plus cher que le jour, D'autant plus maintenant je te dois de retour

Depuis cinquante ans que le Cid tient sa place sur nos théâtres, l'histoire ni l'effort de l'imagination n'y ont rien fait voir qui en ait effacé l'éclat

Fiers enfants de l'honneur, nobles emportements

Une sincère humilité, Une parfaite charité, Un ferme désaveu de toute propre estime

Son ombre épouvanta votre grand Annibal