Citations sur corneille

D'un balcon chez mon frère J'ai vu.... que ne peut-on, madame, vous le taire ?

Mais chercher ton asile en la maison du mort ! Jamais un meurtrier en fit-il son refuge ?

Je parle de Néarque et non de votre époux

Deux sceptres en ma main, Albe à Rome asservie Parlent bien hautement en faveur de sa vie

Ce monstrueux dragon dont les fureurs la gardent [la toison d'or]

Avec la liberté Rome s'en va renaître

Je ne sais quel malheur aujourd'hui me menace Et coule dans ma joie une secrète glace

Quand Maurice peut tout du creux de son cercueil

Diègue : D'un affront si cruel Qu'à l'honneur de tous deux il porte un coup mortel, D'un soufflet

Il importe aux monarques Qui veulent aux vertus rendre de dignes marques....

Après les vains efforts de mes inimitiés, Sauve-moi de l'affront de tomber à leurs pieds

Souviens-toi.... Que tu me dois ton coeur, que mes faveurs t'attendent

Sur un lit de gazon, de faiblesse étendu, Il semblait déplorer ce qu'il avait perdu

.... et je vous l'ai tant dit, Prince, que ce discours vous dût être interdit

Et prévient, par un ordre à tous deux salutaire, Ou les maux qu'il prépare, ou ceux qu'il pourrait faire

L'exemple de ma mort les fortifiera mieux

Débile vaillance

C'est fait de votre vie et je vous le promets

Relève-toi, Rodrigue

Je mourrai tout ensemble heureux et malheureux

Trois sceptres conquis Font voir à quelle école il en a tant appris

Ceux qui de leur sang m'ont acheté l'empire, Et qui m'ont conservé le jour que je respire

Et reconnaissez-vous que tout ce qu'il m'a dit Par quelque impression ébranle mon esprit ?

Nos crimes sont pareils, ainsi que nos misères

Pour envoyer l'effroi sous l'un et l'autre pôle