Citations sur corneille

Mes yeux, puis-je vous croire et n'est-ce point un songe Qui sur mes tristes voeux a formé ce mensonge ?

Sire, j'en ai trop dit, mais l'affaire vous touche

Et tout d'un temps on le voit y voler

Et sous l'indigne appât d'un coup d'oeil affété

Il faut bonne mémoire après qu'on a menti

En ces jours consacrés à la dévotion, Il faut mieux épurer l'oeuvre et l'intention

Je n'ai qu'à faire un pas et hausser la parole....

Un effroi général

Mais sous le ciel tout change, et les plus valeureux N'ont jamais sûreté d'être toujours heureux

Je crois sur sa parole, et lui dois tout crédit

Il me faut des effets et non pas des promesses

Avec moi, si tu veux, aime toute la terre, Sans craindre que jamais je t'en fasse la guerre

Et tu crois m'éblouir avec cet artifice ?

Et j'estime Que ce peu que j'ai dit est l'avis de Maxime

Mais sur le grand César je puis fort peu de chose

Toutes les dignités que tu m'as demandées, Je te les ai sur l'heure et sans peine accordées

Et bien qu'en ses douceurs mon déplaisir se noie, Je ne passe de l'une à l'autre extrémité Qu'avec un reste obscur d'esprit inquiété

Enfin notre bonheur est-il bien affermi ?

Pour le temps, il m'a fallu réduire en soulèvement tumultuaire une guerre qui n'a pu durer moins d'un an

Leur vaine amitié cède à leur politique

Quoi ! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné !

Prenez donc en ces lieux liberté tout entière

Quatre monstres marins courbent sous ce fardeau

Je meure, en vos discours si je puis rien comprendre

Seigneur, voyez ces yeux Déjà tout égarés, troubles et furieux.... Cette gorge qui s'enfle