Citations sur corneille

Vous avez dans son coeur fait de si grands progrès....

Ces dévots indiscrets dont le zèle incommode, Pour les rendre saints à leur mode, Leur forme une conduite et fait des lois à part, Au lieu de s'avancer par un secret mérite, Perdent ce qu'en commun dans la règle on profite, à force de vivre à l'écart

Et je soupçonnerais un crime dans les voeux D'un homme qui s'attache à tout ce que je veux !

Leur retraite [des serviteurs de Dieu] en vrais biens se voit toujours féconde, Et trouve un plein repos dans la digne fierté Qui leur fait négliger le monde

Dépêche, ou ces longueurs t'attireront ma haine

L'auditeur, qui communément n'a qu'une teinture superficielle de l'histoire

C'est contre mon pouvoir que les traîtres conspirent

Si sa beauté dès lors n'eût allumé nos feux, Le devoir auprès d'elle eût attaché nos voeux

Et [il] n'oppose à mes voeux que son propre mérite

Et du consul Brutus l'astre prédominant Dissipa tout d'un coup ce honneurs ! étonnant

Et de dépositaire et de libérateur, Il s'érige en tyran et lâche usurpateur

Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront, Et saura faner vos roses Comme il a ridé mon front

Vous savez le surplus, Et je vous en ferais des récits superflus

Si l'on guérit le mal, ce n'est qu'en apparence

Enfin avec douceur tâchez de la réduire à venir dans le camp, à s'y laisser conduire

Don Lope : Vous êtes notre juge, il faut vous adoucir. - Carlos : Vous y pourriez peut-être assez mal réussir

Touche, je veux t'aimer, tu seras mon souci

Daigne du juste ciel la bonté souveraine.... n'épandre sur vous que des prospérités

Vous avez des clartés que mon insuffisance....

Est-ce là agir en père ? Agissez donc enfin, madame, en souveraine

Je le vois bien, madame ; et vous et ce cher frère Abondez en raisons pour cacher le mystère

Si jamais jusque-là votre guerre m'engage

Diègue : D'un affront si cruel Qu'à l'honneur de tous deux il porte un coup mortel, D'un soufflet

Sous vous l'État n'est plus en pillage aux armées

J'ai craint un ennemi, mon bonheur me le livre