Citations sur corneille

Va jusqu'en Orient pousser tes bataillons

Mais dérober son âme à de si doux appas Pour attacher son coeur à ce qu'on n'aime pas

Ces tristes vêtements où je lis mon malheur Sont les premiers effets qu'ait produits sa valeur [de Rodrigue]

Quant au grand Perpenna, s'il est si redoutable, Remettez-moi le soin de le rendre traitable

Et de dépositaire et de libérateur, Il s'érige en tyran et lâche usurpateur

Nous triomphons, Attale, et ce grand Nicomède Voit quelle digne issue à ses fourbes succède

Paris est un grand lieu plein de marchands mêlés.... Et, parmi tant d'esprits plus polis et meilleurs, Il y croît des badauds autant et plus qu'ailleurs

J'aimai votre tendresse et vos empressements

Elle [Sabine] ne sert pas davantage à l'action que l'infante à celle du Cid, et ne fait que se laisser toucher, comme elle, à la diversité des événements

Elle seule en ces lieux d'elle-même dispose

Je donnai par devoir à son affection Tout ce que l'autre avait par inclination

[Il] Met l'épée à la main, tourne en fuite le reste

C'est mettre un jaloux hors de peine

Les Parthes.... tantôt vainqueurs, tantôt presque enfoncés, Sur l'une et l'autre armée également heureuse, Virent longtemps voler la victoire douteuse

Cette vieille amitié faisait votre entretien

Exercez-la, monsieur, et gouvernez le prince

Ils prennent pour affront la pitié qu'on a d'eux

Il lui donna bataille, où mille beaux exploits....

Hélas ! qu'il était grand quand je l'ai cru s'éteindre, Votre amour, et qu'à tort ma flamme osait s'en plaindre !

Que les hommes, les dieux, les démons et le sort Préparent contre nous un général effort

Et noyons dans l'oubli ces petits différents Qui de si bons guerriers font de mauvais parents

Cherche la vérité dans la sainte Écriture, Et lis du même esprit Le texte impérieux de sa doctrine pure Que tu le vois écrit

Il aura peu de peine à fléchir son dédain

Je crains que ce don n'ait jamais son aveu

S'il vous a désunis, sa mort va vous rejoindre