Citations sur corneille

Et de quelle façon punissez-vous l'offense, Si vous traitez ainsi les voeux de l'innocence ?

Ton intérêt dès lors fit seul cette réserve ; Tu m'as laissé la vie afin qu'elle te serve

Si contre lui j'ai peine à croire ces témoins

Elle [l'histoire] ne dit point ce que devin : Rodogune après la mort de Démétrius, qui vraisemblablement l'amenait en Syrie prendre possession de sa couronne

Je verrai les lauriers d'un frère ou d'un mari Fumer encor d'un sang que j'aurai tant chéri ; Pourrai-je entre vous deux régler alors mon âme ?

v, 1, J'épargne à sa vertu d'éternels déplaisirs

Quittez ces contre-temps de froide raillerie

Et nous verrons alors l'effet de ces menaces

Qui le souffre a le coeur lâche, mol, abattu

Contre un si grand rival j'agis à force ouverte, Sans blesser son honneur, sans pratiquer sa perte

J'ajoute à ces tableaux la peinture effroyable De leur concorde impie, affreuse, inexorable

Mais l'amant qui vous charme et pour qui vous brûlez, Ne vous est après tout que ce que vous voulez ; Une mauvaise humeur, un peu de jalousie En fait assez souvent passer la fantaisie

Il fallait mettre au joug deux taureaux furieux

Cesse de soupirer, Rome, pour ta franchise

Le mal qui s'évapore en devient plus léger

Sous un nom si fameux qui vous rend préférable, L'héritier de Galba sera considérable

Il voit la servitude où le roi s'est soumis

S'il est prêt à partir, il peut en ce moment Enlever avec lui son otage aisément

Une douleur si sage et si respectueuse Ou n'est guère sensible ou guère impétueuse

En matière de fourbe il est maître, il y pipe

Depuis plus de six ans, il ne s'est fait combat Qui ne m'ait bien acquis ce grand nom de soldat

En vain de mon regard l'ingénieux langage Pour découvrir mon coeur a tout mis en usage

Apaise, ma Chimène, apaise ta douleur

Ah ! destins ennemis Qui m'enviez le bien que je m'étais promis

Appelez la mémoire ou l'esprit au secours