Citations sur corneille

Des arrêts du destin l'ordre est invariable

Mon coeur outré d'ennuis n'ose rien espérer

Ceux-là partout à charge et les vivants supplices De qui se condamne à les voir, Mais plus encore à charge à leurs propres caprices, Se donnent plus de mal qu'ils n'en font recevoir

Et je vous consolais au milieu de vos plaintes, Comme si notre Rome eût fait toutes nos craintes

Un chétif centenier des troupes de Mysie, Qu'un gros de mutinés élut par fantaisie

Ma consolation vous serait superflue

Un oracle m'assure, un songe me travaille

Je n'ai qu'à faire un pas et hausser la parole....

Donnez-vous à l'erreur encor quelque crédit ?

Apprenez en deux mots leur brutale insolence

Le bien public

Mon esprit en conçoit une mâle assurance

Mais, Madame, porter cette robe empestée Que de tant de poisons vous avez infectée....

Mille cris aussitôt de tous côtés s'entendent

J'irai, n'en doute point, au sortir de ces lieux, Soulever contre toi les hommes et les dieux

Rien plus ne le retarde, et déjà ses trompettes Aux confins de l'Artois lui servent d'interprètes

Et ce vieux droit d'aînesse est parfois si puissant Que pour remplir un trône il rappelle un absent

Quelque sévérité que sur eux on déploie

Puisque Sertorius m'impose ce devoir

Je t'ai préféré même à ceux dont les parents Ont jadis dans mon camp tenu les premiers rangs

Prends un siége, Cinna, prends, et sur toute chose Observe exactement la loi que je t'impose

Tous les dieux irrités Dans les derniers malheurs nous ont précipités

Othon, dont les hauts faits soutiennent le grand nom

L'amour [de Dieu] ne dort jamais, non plus que le soleil, Il sait l'art de veiller dans les bras du sommeil, Il sait dans la fatigue être sans lassitude

Et qu'un père incommode un homme de mon âge !