Citations sur corneille

La règle de l'unité de jour a son fondement sur ce mot d'Aristote, que la tragédie doit renfermer la durée de son action dans un tour de soleil, ou tâcher de ne le passer pas de beaucoup

Et quiconque se plaint cherche à se consoler

J'ai de l'ambition, mais je sais la régler ; Elle peut m'éblouir et non pas m'aveugler

Envieux l'un de l'autre, ils mènent tout par brigue

Ces mutins ont pour chefs les gens de Laodice

Ah ! quel âpre tourment, quels douloureux abois !

Combats pour m'affranchir d'une condition Qui me livre à l'objet de mon aversion

Vous pouvez, comme maître absolu de son sort, Le servir, le chasser, le livrer vif ou mort

Vous vous échapperez sans doute en sa présence

Je n'ai point fait la pièce qui vous pique ; je l'ai reçue de Paris avec une lettre qui m'a appris le nom de l'auteur ; il l'adresse à un de nos amis qui vous en pourra donner plus de lumière

Et cet abattement que lui cause la peste

Bien que, selon Aristote, le seul but de la poésie dramatique soit de plaire aux spectateurs et que la plupart de ces poëmes leur aient plu, je veux bien avouer toutefois que beaucoup d'entre eux n'ont pas atteint le but de l'art

Contelui dextrement le naturel des femmes

Que même votre Rome en a pris jalousie

Quant à l'unité de lieu, je n'en trouve aucun précepte ni dans Aristote ni dans Horace ; c'est ce qui porte quelques-uns à croire que la règle ne s'en est établie qu'en conséquence de l'unité du jour, et à se persuader ensuite qu'on le peut étendre jusques où un homme peut aller et revenir en vingt-quatre heures ; cette opinion est un peu licencieuse

.... Sur tant de vassaux je n'ai d'autorité Qu'autant que votre zèle a de fidélité

... il me reste un moyen De faire agir pour toi son crédit et le mien

Et mes yeux, éclairés des célestes lumières, Ne trouvent plus aux siens [de Pauline] leurs grâces coutumières

Je soupirais pour vous en combattant pour elle [Albe] ; Et, s'il fallait encor que l'on en vînt aux coups, Je combattrais pour elle en soupirant pour vous

Les bienfaits ne sont pas toujours ce que tu penses ; D'une main odieuse ils tiennent lieu d'offenses

Reprenez un orgueil digne d'elle [Rome] et de vous

En vain contre le roi vous opposez vos armes ; Sa majesté brillante avec de si doux charmes Peut mettre en un moment vos desseins à l'envers

Il [Dieu] est seul de nos coeurs l'allégresse épurée, Et seul notre félicité

Au nom de cet amour, daignez suivre mes pas [devenir chrétienne]. - Pauline : C'est peu de me quitter, tu veux donc me séduire ?

La flotte.... Croit surprendre la ville, et piller la contrée