Citations sur corneille

Adieu, sors ; et surtout garde bien qu'on te voie

Il fait tous ses efforts pour gagner mes parents, Et, s'il les peut fléchir, quant à moi, je me rends ; Non, à dire le vrai, que son objet me tente ; Mais, mon père content, je dois être contente

En vérité, monsieur, quelque approbation qu'ait emportée votre nouvelle Jocaste

Jour, qui fais la couleur, et toi, nuit, qui l'effaces, Exaltez sa grandeur

La valeur n'attend pas le nombre des années

Sur leur ordre éternel [des dieux] mon esprit se repose

Obtenir de Médée avec dextérité Ce que refuserait son courage irrité

La timide équité détruit l'art de régner

Chastes feux

Tu t'en souviens, Cinna ; tant d'heur et tant de gloire Ne peuvent pas sitôt sortir de ta mémoire

Rendons-lui donc visite, Et, comme ambassadeur, proposez cet hymen.... Je seconderai Rome et veux vous introduire

Souffrez que ma vertu dans mon coeur rappelée Vous consacre une foi lâchement violée

Ce n'était qu'un prétexte à faire sa retraite

Qu'avez-vous dit, madame, et que supposez-vous Pour la faire douter du sort de son époux ?

Et, s'il avait affaire à quelque maladroit....

Tu m'estimes bien lâche, imprudente rivale

Quelle énigme est ceci, madame ?

Il aura peu de peine à fléchir son dédain

Je vous rends Aristie et finis cette crainte Dont votre âme tantôt se montrait trop atteinte

Ah ! si tu le voyais, tu serais plus constant à courir sans relâche au bonheur qui t'attend

Ce généreux exploit, ces nobles sentiments, Méritent de ma part de hauts remercîments

Vous qui mettez sa tête à couvert de la foudre

Grâces aux dieux, Cinna, ma frayeur était vaine ; Aucun de tes amis ne t'a manqué de foi

Et je vous consolais au milieu de vos plaintes, Comme si notre Rome eût fait toutes nos craintes

Quand un homme une fois a droit de nous haïr