Citations sur corneille

Et de ses intérêts un si grand abandon

Et d'un tel contre-temps il fait tout ce qu'il fait Que, quand il tâche à plaire, il offense en effet

Puisqu'il tient à bonheur d'être l'un de nous deux

Dans mon sort ravalé je sais vivre en princesse ; Je fuis l'ambition, mais je hais la faiblesse

Donc, sans plus de langage, Tu veux bien m'en donner quelques baisers pour gage ?

Bien que leur naissance au trône les destine

Tant qu'ils [les hommes] ne sont qu'amants, nous sommes souveraines

Si ce peu que j'ai ajouté quelquefois par la nécessité de fournir une strophe n'est point une liberté qu'il soit à propos de retrancher

Vous en fîtes l'échange, et, prenant Martian, Vous laissâtes pour fils ce prince à ce tyran

Faites ouvrir le champ, vous voyez l'assaillant

Si dessous sa valeur ce grand guerrier s'abat

C'est lui seul qui bannit ces petits malheureux

La paix avec tous deux en même temps traitée, Se trouve avec tous deux à ce prix arrêtée

Ayez pour lui, monsieur, des sentiments meilleurs ; Il s'est bien converti dans un si long voyage, C'est un tout autre esprit sous le même visage

Ai-je de bons avis ou de mauvais soupçons ?

Lui, d'une voix tombante, offrant ce don fatal....

Mais leurs sanglants discords qui nous donnent des maîtres

Puisque c'est la chasser, Seigneur, je me retire

C'est ce qu'on nomme crime et ce qu'il a puni

De peur que l'ignorant [sa mort], ce peuple ne se flatte, N'attende encor ce prince et n'ait quelque raison De courir en aveugle à qui prendra son nom

Cette digne vertu de l'âme la mieux née

Et, de quelque façon que l'on me considère

Et si c'est un bienfait qu'il faut rendre aujourd'hui, Comme il parla pour vous, vous parlerez pour lui

Et vient sacrifier à votre élection [que vous ferez d'un de nous] Toute notre espérance et notre ambition

Le Dieu que j'ai juré connaît tout, entend tout