Citations sur corneille

Qui pourra mieux que moi vous montrer la douleur Que lui donne du roi l'invincible malheur ?

Une vaine parure, inutile à sa peine

Nos princes ont-ils eu des soldats plus fidèles [que les chrétiens] ?

Mais que vous semble encor maintenant de Paris ?

La seule vérité donne aux afflictions Des consolations Durables à l'égal de la sainte parole

J'en vois quelque partie en ce désir inceste

Et pour en colorer l'emportement honteux

Jusqu'au dernier éclat pousser sa frénésie

On n'entend que des cris, on ne voit que des larmes

Le bonheur qu'il [Dieu] diffère en devient plus diffus

.... toi-même, des tiens devenu le bourreau, Au sein de ton tuteur [Cicéron] enfonças le couteau

Que cette joie est courte, et qu'elle est cher vendue !

Rien plus ne le retarde, et déjà ses trompettes Aux confins de l'Artois lui servent d'interprètes

Brisons là ; ce discours deviendrait ennuyeux

Je puis faire arriver en six jours, voire en six heures, ce qui s'est passé en six ans

Et comme ils font pour eux, faisons aussi pour nous

J'espère à mon retour Ne vous entretenir que de propos d'amour

Et comme à l'échauffer j'appliquerai mes soins

Ai-je peu de raison Quand de mes yeux aux siens je fais comparaison ?

Toi, son vivant portrait, que j'adore dans l'âme

Après avoir deux fois essayé la menace....

Ennuyé de la plume, il la quitta soudain, Et fit danser un singe au faubourg Saint-Germain

Tu m'estimes bien lâche, imprudente rivale

Va-t'en, et ne rends plus la victoire douteuse, La dispute déjà m'en est assez honteuse

Ce serait bien, seigneur, de tout point me confondre