Citations sur boileau

C'est ainsi qu'une femme en doux amusements Sait du temps qui s'envole employer les moments

Un libertin à rompre et jeûnes et carêmes

Bientôt, ressuscitant les héros des vieux âges, Homère aux grands exploits anima les courages

Son coeur, toujours nourri dans la dévotion, De trop bonne heure apprit l'humiliation

Il [Ronsard] vit... Tomber de ses grands mots le faste pédantesque

Dans Florence jadis vivait un médecin

Ronsard.... Vient.... changer, sans respect de l'oreille et du son, Lycidas en Pierrot et Philis on Toinon

Aux usages reçus il faut qu'on s'accommode

Plus qu'aucun des mortels par la honte abattu, En vain j'arme contre elle une faible vertu ; Ainsi toujours douteux, chancelant ou volage....

Je hais ces vains auteurs.... Ils ne savent jamais que se charger de chaînes, Que bénir leur martyre, adorer leur prison....

Les oppresseurs du peuple à leur tour gémissants

Ainsi s'expliqueront nos censeurs sourcilleux

Et voyant contre Dieu le diable accrédité N'osent qu'en bégayant prêcher la vérité

Retourne-t'y-en

Non, pour louer un roi que tout l'univers loue, Ma langue n'attend pas que l'argent la dénoue

Ton oncle, dis-tu, l'assassin M'a guéri d'une maladie ; La preuve qu'il ne fut jamais mon médecin, C'est que je suis encore en vie

La nature, féconde en bizarres portraits, Dans chaque âme est marquée à de différents traits

Le vers le mieux rempli, la plus noble pensée, Ne peut plaire à l'esprit quand l'oreille est blessée

Le son des flûtes imprimant dans l'oreille le mouvement de sa cadence

Il faut qu'en cent façons pour plaire il [l'auteur dramatique] se replie, Que tantôt il s'élève et tantôt s'humilie....

C'est par là que Molière illustrant ses écrits...

Aujourd'hui même encor de deux sens affaibli, Retiré de la cour et non mis en oubli....

Les livres sur Évrard fondent comme la grêle

Dans peu tu te maries

Alors, sans consulter si Phébus l'en avoue, Ma muse toute en feu me prévient et te loue