Citations sur rons.

Le ciel.... Qui me commande à mourir pour vos yeux

....Essuya l'air gresleux et pluvieux

Il n'avoit que la peau seulement animée, Sa bouche d'un long jeun palissoit affamée

L'autre au contraire, ardant, aime les armes, Si qu'en sa peau ne scauroit sejourner Sans bravement attaquer les allarmes

Le desespoir qui tourne encontre soy les armes

Au temps que le destin en Gaule fera naistre Henry second du nom, des autres rois le maistre

...Un estranger, Qui n'a rien seur sinon que le danger

Desur deux chesneteaux je gravay....

C'est une idole enfumée [un vieillard] Au coin d'une cheminée Qui ne fait rien que cracher

Quelquefois il te plaist pour l'esprit desfacher, Du luth au ventre creux les languettes toucher

Je mis, pour t'essayer encores devant-hier, Dans le creux de ma main des fueilles de coudrier

Adieu ma liberté, j'en appelle à tesmoing Ce mois qui du beau nom d'Aphrodite s'appelle ; Comme les jours d'avril, mon mal se renouvelle

Mais si le fat vieillissant temporise Jusqu'à porter au menton barbe grise

L'un grave en bronze, et dans le marbre à force Veut le naïf de nature imiter

Pour eux tombe en abondance Le glan des chesnes secous

Brisant les idoles feints De tes mains, De leurs dieux tu seras maistre

Et d'une voix toute caduque et rance

Il jugeoit un vieil cerf à la perche, aux espois, A la meule, andouillers et à l'embrunisseure

Je suis celuy qui fait mouvoir les cieux... Qui le premier hors de la masse esclos Donnay lumiere et fendi le chaos

Qui n'est jamais attaint du poignant aiguillon Ou soit de prophetie, ou soit de poësie

Deux petits ramerauz je porte à mon Olive, Denichez d'un grand orme à gravir malaisé

Jamais au coeur ne sera que je n'aie Le souvenir du favorable accueil, Qui reguarit et rengregea ma playe

[Les poëtes] vrais peintres de la nature

Mais abaye de loin, si de quelque personne... Au mi lieu de nos jeux nous estions espiez....

.... Comme on oit dans un bois Près le bord de la mer une confuse vois Des palles et butors, quand un larron ils trouvent Qui remarque leurs nids et leurs femmes qui couvent