Citations sur rons.

Invaincu commander à chacune personne

Et le col [il] luy dessembla Loin de ses testes difformes

C'est une idole enfumée [un vieillard] Au coin d'une cheminée Qui ne fait rien que cracher

Il jugeoit un vieil cerf à la perche, aux espois, à la meule, andouillers et à l'embrunisseure

....Ainsi en prend à ceux Qui veulent quereller à gens plus vaillans qu'eux

Un orme fut, dont la cyme estoit pleine De mainte branche, où les corbeaux au soir Prenoient leur perche et se souloient assoir

Si la beauté se perd, fais-en part de bonne heure, Tandis qu'en son printemps tu la vois fleuronner

Assemblez sur mon corps la France et l'italie Et toutes les cités qui sentirent les coups De ma dextre invaincue, et m'enterrez desscus

Je m'asseuroy qu'au changement des cieux Cest an nouveau romproit ma destinée

Le coeur me bat d'espoir

Son sein vous esclouit, gardez de l'offenser [Dieu]

[La terre] Et, en lieu de donner des moissons abondantes, Ne poussoit que chardons et qu'espines mordantes

Un soleil voit naistre et mourir la rose ; Mille soleils ont veu naistre m'amour

Paroles piafées, qui ressemblent plustost à un jargon de gueux....

Ô ma belle maistresse, hé que je voudrois bien Qu'après nostre trespas, dans nos fosses ombreuses, Nous fussions la chanson des bouches amoureuses !

.... Ou sous le frais d'un antre, ou dessous la froideur D'un chesne dont les bras s'opposent à l'ardeur

Cachant l'enfant aux replis de mon sein, Je le sauvai de l'espée homicide

.... Dès la terre gelée Des scythes englacés, jusques à la hallée Des Mores bazanez

Il arrosa de vin la victime immolée, Effondra le taureau, entrailles et jambons De sel bien saupoudrez jetta sur les charbons

Mais d'où vient que mon bouc qui sautoit si alaigre, Qui gaillard dans ces prez cossoit contre mes boeufs

L'un avecques les retz enveloppe une beste ; L'autre à dens de mastins ensanglante sa queste : L'un avec le vautret acule le sangler, Et l'autre fait les ours aux dogues estrangler

Les baisers colombins ne vous defaillent point

Je n'ose envenimer ma langue à .l a satyre

....Et, te baisant, mener les boeufs en pasturage, Esclisser des paniers, et faire du fromage

Le plus souvent les princes s'abestissent De deux ou trois que mignons ils choisissent