Citations sur rons.

: Le riche dessous toy ne craint point que son bien Par faux accusement ne demeure plus sien

À l'envi sont jà cueillis Les verds tresors de la plaine, Les coquerets et les lis, La rose et la marjolaine

Les sieges sont de tuf, et autour de la pierre Comme un passement verd court un sep de lierre

Il dit ainsi ; le gean d'autre part Le mesuroit d'un terrible regard

L'azuré martinet puisse voler devant Avecque la mouette et le plongeon....

Trois ou quatre fois à l'embrunir du jour Il fit sonner le marteau sur ma porte

Plusieurs croient que le poëte et l'historien soient d'un mesme mestier ; mais ils se trompent beaucoup

Là l'espieu dans la main, courageux je devance Ma chasse de vingt pas, je la tance et retance, Je la presse et la hue, allant tout à l'entour

Herbes, qui boutonnez, vertes ames sacrées, Si sous mon harigot reverdir je vous voy

Et quoy, veux-je rentrer en un nouveau servage ?

[Couronnes] Que tant de fois, signe d'une main firte, J'allois pendant à l'essueil de ma porte

Des dames le vouloir n'est jamais mesuré, Qui d'une extreme ardeur tantost se passionne

Du sang infet de ces gros lezars vers Soit ta poitrine et ta gorge souillée

Cachant l'enfant aux replis de mon sein, Je le sauvai de l'espée homicide

Et me plairoit, entre les vieux tombeaux De mes ayeux, bastir des murs nouveaux, Et r'habiter la cendre de mes peres

Au fond d'une caverne une tygre felonne L'a nourry de chair crue....

.... D'un animal marche-tard ocieux [la tortue], Fit une lyre au son delicieux, Au ventre creux, Aux accords delectables

Nous vivons, mon Belleau, une vie sans vie

Ils tariront le coulant des fontaines

Les loups suivant la trace hurlent Ton ombre par les bois

Je ne sçaurois chanter, et quand je le voudrois, Je jure par ton bouc qu'encor je ne pourrois : Car on m'a pris d'emblée à ceste matinée L'anche de mon bourdon que tu m'avois donnée

La perte des grands rois sont les langues flateuses

Ces deux masles garçons, Pollux bon à combattre Aux cestes emplombez, et Castor souverain à picquer un cheval....

Nous les freres puinez combaterons ensemble, Je dy Castor et moy, ou vous si bon vous semble

Venus n'a point ny myrte ny laurier Digne de toy ny digne de ma teste