Citations sur lamart.

[Byron] La nuit est ton séjour, l'horreur est ton domaine

Jamais d'aucun mortel le pied.... N'imprima sur la terre une plus forte trace

Mais, pour monter à lui [dieu], notre esprit abattu Doit emprunter d'en haut sa force et sa vertu

L'homme vit un jour sur la terre Entre la mort et la douleur

La société, en constituant toute propriété, a trois objets en vue : rémunérer le travail, perpétuer la famille, accroître la richesse publique

Ces nuages.... qu'un souffle léger.... Roule en flocons de pourpre aux bords du firmament

Honte à qui peut chanter pendant que les sicaires.... Jettent les dieux proscrits aux rires populaires, Ou traînent aux égouts les bustes des Césars

....Les pieds nus, de peur qu'on m'entendît marcher, J'ai descendu la pente

.... à peine au loin la voile.... Blanchit en ramenant le paisible pêcheur

Les séparations et les longs désespoirs N'ont-ils pas éclairci, dis-moi, ses cheveux noirs ?

Ici c'est ce vieillard que l'ingrate Ionie A vu de mers en mers promener ses malheurs

Et, quand le saint vieillard, au retour du matin, Vint rallumer la lampe éteinte avec l'aurore

Je ne veux pas d'un monde où tout change, où tout passe, Où, jusqu'au souvenir, tout s'use et tout s'efface

Comme un lutteur grandi, qui sent son bras plus fort

Les poëtes ont dit qu'avant sa dernière heure En sons harmonieux le doux cygne se pleure

La douteuse lueur [de la lune], dans l'ombre répandue

Ton coeur était l'or pur caché dans le filon, Qui n'attend pour briller que l'heure et le rayon

.... un autre poëte.... Dans son âme envie et répète Ton hymne nocturne aux forêts

Le rayon qui blanchit ses vastes flancs de pierre [du Colisée]

[O mer !] je ferme au branle de ta lame Mes regards fatigués du jour

Le souffle se taisait dans son sein endormi [d'une morte], Et sur l'oeil sans regard la paupière affaissée Retombait à demi

Là jamais ne s'élève Bruit qui fasse penser ; Jusqu'à ce qu'il s'achève, On peut mener son rêve Et le recommencer

Toi que j'ai recueilli sur sa bouche expirante Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois saint, don d'une main mourante, Image de mon Dieu

[Au soir] Les brises du matin se posent pour dormir, Le rivage se tait, la voile tombe vide

Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente, L'aigle à fendre les airs d'une aile indépendante, L'abeille à composer son miel