Citations sur c. delav.

Morte à de faux plaisirs, cachée à tous les yeux

Un regard, un vain signe, un bruit léger me glace

Je vais à soixante ans recommencer ma vie !

Sentant son coeur faillir, elle [Jeanne d'Arc] baissa la tête, Et se prit à pleurer

Ah ! que la vérité nous donne d'éloquence !

Ce coeur chargé d'ennuis et gonflé d'amertume

Un infidèle ami que j'avais mal jugé, Qui déchire la main dont il fut protégé

Édouard : Et vous voulez, monsieur, remplacer un tel homme ! - Godwin : Lui succéder ; hors vous, qui peut le remplacer ?

Cet acte, revêtu de la forme prescrite

Obscur ou fastueux, qu'importe notre asile ? Ah ! le premier des biens est un amour tranquille

En souvenir de moi, protégez-la toujours

Nos guerriers, instruits par vos leçons, Comme un rêve insensé méprisent mes soupçons

Leur tribu [des brames].... de son front [de Brama] élancée

J'ignore où la fureur me pourrait égarer

Un je ne sais quel vague empoisonne l'étude

Sur un sable mobile ou des flots écumants

Je proclame Que je suis bon chrétien

En loyal chevalier j'ai réclamé mes droits

Du lieu saint, à pas lents, je montais les degrés Encor jonchés de fleurs et de rameaux sacrés

À qui réserve-t-on ces apprêts meurtriers ?

Ah ! de ces dons heureux les mains qui l'ont orné [un homme heureusement doué] à des tourments sans fin ne l'ont pas condamné

Je parierais que cet homme-là plaide en séparation

Mes yeux s'ouvrent enfin, la raison m'est rendue Pour mesurer l'abîme où je suis descendue

Et peut-être demain je meurs chargé de honte, Traîné sur l'échafaud, lentement déchiré

Ouvrez-moi, m'a-t-il dit, un accès dans son coeur