Citation Elle ou moi
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Elle ou moi.
140 citations
Sois toujours avec moi... Prends n'importe quelle forme... Rends-moi fou ! Mais ne me laisse pas dans cet abîme où je ne puis te trouver ! Oh ! Dieu ! C'est indicible ! Je ne peux pas vivre sans ma vie ! Je ne peux pas vivre sans mon âme !
Que je m'appelle Albertine dans L'astragale de Brigitte Sy ou Leïla dans Les intranquilles de Joachim Lafosse, ça m'est égal, tant que le personnage n'est pas seulement défini par son prénom. Dans Le grand bain, je m'appelle Amanda, par exemple : j'étais hyper-heureuse que Gilles Lellouche pense à moi en tant qu'actrice et pas en tant que fille maghrébine. Mais je n'aurais eu aucun souci à m'appeler Samira, car ce rôle-là, c'était avant tout celui d'une femme forte.
Lorsque nous défendons un point de vue, nous nous défendons d'abord nous-même. Nous sommes les mercenaires de nos préjugés. Au nom de quelle raison supérieure pourrait-on nous convaincre d'abdiquer notre propre identité ? Changer d'avis sur une question importante n'est envisageable que si la différence entre les deux points de vue s'inscrit elle-même dans l'angle plus ou moins fermé de notre moi, ce territoire tellement surdéterminé que l'on peut se demander si c'est bien nous qui pensons ce que nous pensons, et si ce que nous appelons notre liberté n'est pas simplement le moyen de fournir un peu de jeu aux mécanismes serrés de notre esclavage.
Pour moi c'est un jour qui a beaucoup compté, ma communion solennelle. C'est le jour où j'ai appris que Dieu fond dans la bouche, pas dans la main.
Là où je dois peindre, j'écris un retangle de la taille que je veux qui joue, pour moi, le rôle d'une fenêtre ouverte par laquelle regarder l'historia.
Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »
Soyez insatiables. Soyez fous. C'est le voeu que j'ai toujours formé pour moi. Et aujourd'hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d'une nouvelle vie, c'est ce que je vous souhaite.
Et ce qui me fait souffrir, ce n'est pas tant la mort d'un amour que celle d'un être vraiment vivant que nous avions créé l'un et l'autre, que peut-être moi j'avais créé seule… Cet être était une union de vous et de moi, tels que nous nous voulions l'un et l'autre. C'était vous comme j'avais besoin que vous fussiez ; non pas un admirateur de ma personne comme vous avez prétendu, mais un homme qui m'aimait ; qui, à cause de cet amour, trouvait de l'intérêt à tout ce qui venait de moi ; devant lui, je pouvais avoir tous mes défauts et toutes mes qualités ; je pouvais me laisser aller au désordre… ce désordre lyrique et inattendu où tous les instincts se livrent en paroles et en cris pour ensuite permettre aux sûres directions de l'âme de retrouver la route et de continuer. Et j'imaginais qu'aucun de ces abandons ne troublait votre amour et votre confiance.
Que vous ayez fréquenté l'école ou que vous soyez analphabète, que vous viviez sur le boulevard ou sur la ruelle, vous prendrez des coups tout comme moi. Nous sommes tous dans le même bateau et nous allons tous recevoir les mêmes coups du même homme. Il se trouve précisément que cet homme est blanc. Tous nous avons subi, dans ce pays, l'oppression politique imposée par l'homme blanc, l'exploitation économique imposée par l'homme blanc et la dégradation sociale imposée par l'homme blanc.
Je rêvais peu dans ce temps-là, ou plutôt je croyais sentir que la faculté de rêver s'était transformée en moi. Il me semblait qu'elle avait passé des impressions du sommeil dans celles de la vie réelle.
Ma soeur, en m'élevant comme elle l'avait fait, avait exacerbé ma sensibilité. Dès que j'avais su parler, j'avais compris qu'on était injuste avec moi. Dans le petit monde où vivent les enfants, rien n'est plus vivement ressenti que l'injustice.
Oh ! Cette dernière chaîne de l'Himalaya, le dernier col très large qui s'inclinait vers une pente descendant à la steppe immense, déserte, où s'érige, sentinelle puérile mais émouvante, le fortin de la première ville tibétaine… Moi, je serais restée là des jours… des mois peut-être et parfois la folle envie me prend de louer des yacks, d'emmener deux ou trois serviteurs tibétains plus robustes que les miens et de remonter là-haut pour revoir… voir mieux, davantage, cela que je ne reverrai jamais…
Avec moi, la loi de Murphy accède au stade supérieur. La tartine, chez moi, ne se contente pas de tomber sur le côté où la confiture est étalée. Elle tombe quand je suis habillée en blanc. Finit sa course sur mes chaussures neuves. Le sucre attire une abeille. Qui me pique. Je fais une allergie.
Quand les jours allongèrent, je lus plus longtemps, pour être au lit avec elle au moment du crépuscule. Lorsqu'elle s'était endormie sur moi, que la scie dans la cour s'était tue, que le merle chantait et que, dans la cuisine, il ne restait plus de la couleur des objets que des tons de gris plus ou moins clairs ou sombres, j'étais parfaitement heureux.
Effectivement, je n'ai pas de grandes héroïnes de l'histoire, pas d'écrivains, pas de résistantes, parce que je suis partie d'une observation personnelle qui était que les héroïnes féminines sont complètement invisibilisées. Moi je n'ai pas le souvenir qu'on m'ait parlé de beaucoup de femmes dans les cours d'histoire, ou alors toujours des mêmes, alors qu'évidemment autant d'héroïnes que de héros ont eu un rôle à jouer, et y compris la petite histoire. C'est pour ça que je m'intéresse à la femme qui a inventé le maillot de bain, à certaines actrices, à une vieille dame retraitée qui a sauvé un phare...
Et que crois-tu que soit la vie ? Elle n'est quelque chose qu'autant qu'on la parcourt avec quelqu'un qui sait vous la faire aimer, vous y faire attacher quelque prix, et, pour moi, un tombeau où je serais avec toi serait le ciel pour moi.
Je suis né dans une planète, pas dans un pays. Si, bien sûr, je suis né aussi dans un pays, dans une ville, dans une communauté, dans une famille, dans une maternité, dans un lit... Mais la seule chose importante, pour moi comme tous les humains, c’est d’être venu au monde. Au monde ! Naître, c’est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.
Nous sommes la voisine sans histoires du deuxième étage au fond du couloir, celle dont la poubelle est toujours rentrée, qui vous sourit chaleureusement dans l’escalier et que l’on n’entend jamais derrière sa porte close. Dans nos vies muettes de désespoir, nous sommes cette Femme d’En Haut, avec ou sans foutu chat tigré ou fichu labrador qui court partout, et personne ne s’aperçoit que nous sommes furieuses. Nous sommes complètement invisibles. Je ne voulais pas le croire, ou je croyais que ça ne s’appliquait pas à moi, mais j’ai découvert que je n’étais pas différente des autres. L’enjeu est maintenant de savoir quelle stratégie adopter, que faire de cette invisibilité, comment la rendre incandescente.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Moi, la marche à pied, ça me fera toujours marrer. Du moins, jusqu'au jour où on m'expliquera clairement à quoi d'autre elle peut-être, la marche.
Il ne me fut jamais très difficile de trouver du travail, puisque ce n’était pas comme ouvrier spécialisé, mais comme manœuvre ou travailleur auxiliaire, que je cherchais à gagner mon pain. Je me trouvais ainsi dans la même situation que ceux qui secouaient de leurs pieds la poussière de l’Europe avec le dessein impitoyable de refaire leur existence dans un monde nouveau et de conquérir une nouvelle patrie. Détachés de toutes les considérations paralysantes de devoir et de rang, d’entourage et de tradition, ils saisissent chaque gain qui s’offre et font toutes les besognes, pénétrés de l’idée qu’un travail honorable n’abaisse jamais, quel qu’il soit. J’avais de même décidé de sauter à pieds joints dans ce monde nouveau pour moi pour y faire mon chemin. Je m’aperçus bientôt qu’il était moins difficile de trouver un travail quelconque que de le conserver. L’insécurité du pain quotidien m’apparut comme un des côtés les plus sombres de cette vie nouvelle.
Pardonne-moi, Dora. Peut-être est-ce la fatigue. Des années de lutte, l'angoisse, les mouchards, le bagne... Où trouverais-je la force d'aimer ? Il me reste au moins celle de haïr. Cela vaut mieux que ne rien sentir.
L'heureux Chevalier me releva, et mon pardon fut scellé sur cette même ottomane où vous et moi scellâmes si gaiement et de la même manière notre éternelle rupture.
Je soutiens, moi, que c'est la conjonction alternative OU qui sépare lesdits membres; je payerai la donzelle, OU je l'épouserai. A pédant, pédant et demi. Qu'il s'avise de parler latin, j'y suis grec; je l'extermine.
La seule chose importante, pour moi comme pour tous les humains, c'est d'être venu au monde. Au monde ! Naître, c'est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.

Emily Brontë
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