Citation Elle ou moi
Découvrez une citation Elle ou moi - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Elle ou moi issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Elle ou moi.
140 citations
Sois toujours avec moi... Prends n'importe quelle forme... Rends-moi fou ! Mais ne me laisse pas dans cet abîme où je ne puis te trouver ! Oh ! Dieu ! C'est indicible ! Je ne peux pas vivre sans ma vie ! Je ne peux pas vivre sans mon âme !
Moi, je sens mon corps à peine, je ne sais pas où ma vie commence ni où elle finit et je ne réponds pas toujours quand on m'appelle, tant ça m'étonne, parfois, d'avoir un nom.
J'ai été beaucoup aimée, vous le savez ; j'ai souvent aimé moi-même. J'étais fort belle ; je puis le dire aujourd'hui qu'il n'en reste rien. L'amour était pour moi la vie de l'âme, comme l'air est la vie du corps. J'eusse préféré mourir plutôt que d'exister sans tendresse, sans une pensée toujours attachée à moi. Les femmes souvent prétendent n'aimer qu'une fois de toute la puissance du coeur ; il m'est souvent arrivé de chérir si violemment que je croyais impossible la fin de mes transports. Ils s'éteignaient pourtant toujours d'une façon naturelle, comme un feu où le bois manque.
J’ai tant regardé la rivière
et le soleil
et le doux ciel,
que j’ai lâché mon roseau vert.
Il est allé dans l’eau si claire,
il est allé jusqu’à la mer !
J’ai voulu cueillir aussitôt
un autre roseau si beau,
mais je me suis coupée aux herbes,
mes cheveux ont traîné dans l’eau...
(Ah ! rendez-moi donc mon roseau
et ma prairie et ma rivière !)
J’ai vu passer le fils du roi ;
il m’a dit : « Ma belle, pourquoi,
le long de la jolie rivière,
pourquoi pleures-tu là ? »
Ha ! Ha !
C’était le fils du roi.
Il m’a dit : « Viens avec moi,
et si tu veux tu seras reine.
Tu auras pour filer la laine
un rouet d’or, et un fuseau
aussi léger qu’un os d’oiseau !»
Las! je suis reine et prisonnière
dans un royaume merveilleux.
Mon cœur, mon cœur a tant de peine,
pleurez, pleurez, mes yeux.
Où sont mes sœurs et ma rivière ?
J’ai perdu mon roseau vert.Le temps passe et je « passe » dans le temps, c'est un phénomène que je vis, que je sens, qui me transporte irrésistiblement. Tout ce dont je suis sûr, c'est qu'il est plus âgé que moi, mais quand a-t-il commencé ? C'est l'idée de « création », présente dans un grand nombre de traditions religieuses, en particulier dans la Genèse, qui nous interpelle. Elle implique qu'il fut un temps pendant lequel il n'y avait « rien », que le monde n'a pas toujours existé, qu'il est apparu soudain comme sortant d'un néant primordial ou du chapeau d'un magicien. Cette idée est purement spéculative. Une invention de l'esprit humain.
Je suis né dans une planète, pas dans un pays. Si, bien sûr, je suis né aussi dans un pays, dans une ville, dans une communauté, dans une famille, dans une maternité, dans un lit... Mais la seule chose importante, pour moi comme tous les humains, c’est d’être venu au monde. Au monde ! Naître, c’est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.
Ne cherche pas à connaître, il est défendu de le savoir, quelle destinée nous ont faite les Dieux, à toi et à moi, ô Leuconoé ; et n'interroge pas les Nombres Babyloniens. Combien le mieux est de se résigner, quoi qu'il arrive ! Que Jupiter t'accorde plusieurs hivers, ou que celui-ci soit le dernier, qui heurte maintenant la mer Tyrrhénienne contre les rochers immuables, sois sage, filtre tes vins et mesure tes longues espérances à la brièveté de la vie. Pendant que nous parlons, le temps jaloux s'enfuit.
Cueille le jour, et ne crois pas au lendemainJe ne tiens pas à me spécialiser. Il serait redoutable pour moi de considérer que j'excelle dans un domaine. J'ai la chance énorme de pouvoir caresser, ici ou là. Ce qui m'intéresse, c'est la fenêtre ouverte.
J'ai pensé à leur rencontre. J'ai frotté mes parents comme du cuivre ancien pour en effacer le noir. Redressé leur têtes, aminci leurs corps, rallumé leurs yeux. Ils avaient dû s'aimer l'espace d'un instant, quand ils avaient tournoyé sous les lampions du 14 juillet, à moins qu'ils ne soient restés fixes pendant que le reste se mettait à tourner. Ton père était beau, avait dit ma mère, et il était doux, et il dansait comme un dieu. J'ai pensé à leur rencontre mille fois, le plus souvent la nuit, quand j'avais l'impression d'étouffer. Il fallait qu'ils se soient aimés, sinon quelle raison j'avais d'exister, moi, de respirer, de prendre la place d'un autre ? Mais alors, il était parti où, cet amour ? Je l'ai cherché sous mon lit, dans les murs froids, dans la forêt, dans les yeux de ma mère puis dans ceux d'autres femmes, et j'ai fini par comprendre qu'il s'était changé en pierre. Elle avait dû rouler quelque part, passer par le trou d'une poche, et peut-être même qu'ils l'avaient un peu cherchée, mais va-t'en retrouver une pierre dans la caillasse du monde.
Quitter son pays est dans l’ordre des choses ; quelquefois, les événements l’imposent ; sinon, il faut s’inventer un prétexte. Je suis né dans une planète, pas dans un pays. Si, bien sûr, je suis né aussi dans un pays, dans une ville, dans une communauté, dans une famille, dans une maternité, dans un lit... Mais la seule chose importante, pour moi comme tous les humains, c’est d’être venu au monde. Au monde ! Naître, c’est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.
Je me suis toujours tenu à distance du politique. Je m’en suis toujours méfié et je refuse les zones opaques en politique. Je viens d’adhérer au Parti breton, parce que je pense qu’il est nécessaire de faire entendre sa voix. Ce parti me semble éviter les « ismes.» J’ai beaucoup discuté avec des amis déjà au Parti breton avant d’adhérer moi-même, car je voulais savoir dans quoi je m’engageais. Connaissant l’histoire politique de la Bretagne, je préférai faire quelque chose axé vers le développement et l’avenir. Au Parti breton, j’ai trouvé des gens réalistes qui permettent l’échange, le dialogue sans extrémisme pour construire avec du sens et du bon sens. Moi je veux marcher avec mes semblables pour donner du sens. La Bretagne doit s’ouvrir et devenir un pôle tourné vers l’avenir. On ne transforme pas les choses par la violence, les frontières tomberont d’elles même le jour où les gens seront heureux. Ma devise, celle de ma famille : ne jamais renoncer. C’est aussi, un peu, celle de tous les Bretons.
En battant des oeufs, Virginie fredonnait Parlez-moi d'amour... Elle chantait tout le temps: des chansons à la mode, des chansons réalistes clamant la détresse des faubourgs ou de vieilles romances.
Lorsque nous défendons un point de vue, nous nous défendons d'abord nous-même. Nous sommes les mercenaires de nos préjugés. Au nom de quelle raison supérieure pourrait-on nous convaincre d'abdiquer notre propre identité ? Changer d'avis sur une question importante n'est envisageable que si la différence entre les deux points de vue s'inscrit elle-même dans l'angle plus ou moins fermé de notre moi, ce territoire tellement surdéterminé que l'on peut se demander si c'est bien nous qui pensons ce que nous pensons, et si ce que nous appelons notre liberté n'est pas simplement le moyen de fournir un peu de jeu aux mécanismes serrés de notre esclavage.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.J'ai fait pour toi, cruelle,
Des serments et des voeux,
Et j'ai fait sentinelle
Souvent une heure ou deux.
Alors, dis-moi, ma chère,
Pour plaire à tes beaux yeux,
De plus que puis-je faire?Papa, est-ce qu'on choisit sa vie ou est-ce que c'est elle qui choisit ? Réponds-moi, c'est important.
Ma vie se définit et se déroule sans que je la pense. Ce n'est point qu'elle m'échappe, mais plutôt qu'elle me semble accordée en vue de tel ou tel accomplissement attendu, si bien que c'est une direction qui m'entraîne. Ma vie se vit sans moi.

Emily Brontë
Références de Emily Brontë - Biographie de Emily Brontë
Plus sur cette citation >> Citation de Emily Brontë (n° 142553) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean-Paul Sartre
Références de Jean-Paul Sartre - Biographie de Jean-Paul Sartre
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Paul Sartre (n° 25259) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Guy de Maupassant
Références de Guy de Maupassant - Biographie de Guy de Maupassant
Plus sur cette citation >> Citation de Guy de Maupassant (n° 117581) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Madeleine Ley
Références de Madeleine Ley - Biographie de Madeleine Ley
Plus sur cette citation >> Citation de Madeleine Ley (n° 168848) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Hubert Reeves
Références de Hubert Reeves - Biographie de Hubert Reeves
Plus sur cette citation >> Citation de Hubert Reeves (n° 153779) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Amin Maalouf
Références de Amin Maalouf - Biographie de Amin Maalouf
Plus sur cette citation >> Citation de Amin Maalouf (n° 170384) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Horace
Références de Horace - Biographie de Horace
Plus sur cette citation >> Citation de Horace (n° 154986) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jacques Perrin
Références de Jacques Perrin - Biographie de Jacques Perrin
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Perrin (n° 174650) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean-Baptiste Andrea
Références de Jean-Baptiste Andrea - Biographie de Jean-Baptiste Andrea
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Baptiste Andrea (n° 172182) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Amin Maalouf
Références de Amin Maalouf - Biographie de Amin Maalouf
Plus sur cette citation >> Citation de Amin Maalouf (n° 170382) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Jean-Yves Lafesse
Références de Jean-Yves Lafesse - Biographie de Jean-Yves Lafesse
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Yves Lafesse (n° 172883) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Robert Sabatier
Références de Robert Sabatier - Biographie de Robert Sabatier
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Sabatier (n° 26671) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Georges Picard
Références de Georges Picard - Biographie de Georges Picard
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Picard (n° 171440) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165201) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Eugène Scribe
Références de Eugène Scribe - Biographie de Eugène Scribe
Plus sur cette citation >> Citation de Eugène Scribe (n° 96711) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Grégoire Delacourt
Références de Grégoire Delacourt - Biographie de Grégoire Delacourt
Plus sur cette citation >> Citation de Grégoire Delacourt (n° 137106) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Louis Calaferte
Références de Louis Calaferte - Biographie de Louis Calaferte
Plus sur cette citation >> Citation de Louis Calaferte (n° 113453) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :





Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Elle ou moi
Toutes les citations sur Elle ou moi Citations Elle ou moi Citation Elle ou moi et Proverbe Elle ou moi Citation sur elle Citations courtes elle
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens