Citation Elle ou moi
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Elle ou moi.
140 citations
Une troupe de cavaliers, disent-ils, ou de soldats à pied, une escadre, rien n'est plus beau sur la terre bleu et sombre. Mais, moi, je dis : c'est celui-là ou celle que l'on aime d'amour.
Chérie, viens près de moi
Ce soir je veux chanter
Une chanson pour toi.
Une chanson sans larmes
Une chanson légère
Une chanson de charme.
Le charme des matins
Emmitouflés de brume
Où valsent les lapins.
Le charme des étangs
Où de gais enfants blonds
Pêchent des caïmans.
Le charme des prairies
Que l´on fauche en été
Pour pouvoir s´y rouler.
Le charme des cuillères
Qui raclent les assiettes
Et la soupe aux yeux clairs.
Le charme de l´oeuf dur
Qui permit à Colomb
Sa plus belle invention.
Le charme des vertus
Qui donnent au péché
Goût de fruit défendu.
J´aurais pu te chanter
Une chanson de chêne
D´orme ou de peuplier.
Une chanson d´érable
Une chanson de teck
Aux rimes plus durables.
Mais sans bruit ni vacarme
J´ai préféré tenter
Cette chanson de charme.
Charme du vieux notaire
Qui dans l´étude austère
Tire l´affaire au clair.
Le charme de la pluie
Roulant ses gouttes d´or
Sur le cuivre du lit.
Le charme de ton coeur
Que je vois près du mien
Quand je pense au bonheur.
Le charme des soleils
Qui tournent tout autour
Des horizons vermeils.
Et le charme des jours
Effacés de nos vies
Par la gomme des nuits.
Vous savez ce que ça représente aujourd’hui d’entretenir une âme, une conscience ? Attention, article de luxe ! Faites le compte et vous verrez que cela revient plus cher qu’un SUV ! Et je vous parle d’une âme, d’une conscience normale, pas de celle de Shakespeare, Tchekhov ou Kafka. À propos, c’était de la bonne qualité, du moins c’est ce qu’on m’en a dit, parce que moi, personnellement, je n’ai rien lu de ce qu’ils ont écrit.
Tant qu'il n'y a pas identification et identité totale, et osmose totale entre le personnage et l'acteur, pour moi il n'y a pas de jeu. Je suis rigoureusement contre cette fameuse distanciation qu'on prône à l'heure actuelle. Car je trouve que les gens reçoivent un battement au coeur qu'on parle du chômage, de la condition sociale, de la conviction humaine ou de la bombe atomique.
Papa, est-ce qu'on choisit sa vie ou est-ce que c'est elle qui choisit ? Réponds-moi, c'est important.
Une dame disait un jour devant moi, d'elle-même, comme la chose la plus naturelle du monde: - - Je ne pense jamais, cela me fatigue; - ou, si je pense, je ne pense à rien. - Comme dit Hugo: ceci est grand jusqu'au sublime.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Parce que je sens que là-haut, dans les Cieux, les anges l'un à l'autre se parlant bas, ne peuvent, parmi leurs termes brûlants d'amour, en trouver un d'une dévotion pareille à celui de « Mère » ; en conséquence, je vous ai dès longtemps de ce nom appelée, vous qui êtes plus qu'une mère pour moi et remplissez le coeur de mon coeur, où vous installa la Mort en affranchissant l'esprit de ma Virginie. Ma mère, — ma propre mère, qui mourut tôt n'était que ma mère, à moi ; mais vous êtes la mère de Celle que j'ai si chèrement aimée, et m'êtes ainsi plus chère que la mère que j'ai connue, de cet infini dont ma femme était plus chère à mon âme qu'à cette âme sa vie.
J'ai fait pour toi, cruelle,
Des serments et des voeux,
Et j'ai fait sentinelle
Souvent une heure ou deux.
Alors, dis-moi, ma chère,
Pour plaire à tes beaux yeux,
De plus que puis-je faire?Si on m'avait demandé ce qui se passait exactement en moi et ce que signifiaient les évènements, j'aurais été incapable de bredouiller trois mots. Mais déjà je savais que ma situation était identique à celle des autres habitants de la station, que tout ce que j'avais vécu,appris ou entrevu, faisait partie d'un seul tout, terrifiant et incompréhensible.
N'importe où et quoi que je fasse, lorsqu'elle est loin de moi, je sens toujours qu'il me manque un organe vital: son coeur.
J'aurais pu lutter contre une vivante, non contre une morte. S'il y avait une femme à Londres que Maxime aimât, quelqu'un à qui il écrivit, rendît visite, avec qui il dîna, avec qui il couchât, j'aurais pu lutter. Le terrain serait égal entre elle et moi. Je n'aurais pas peur. La colère, la jalousie sont des choses qu'on peut surmonter. Un jour cette femme vieillirait, ou se lasserait, ou changerait et Maxim ne l'aimerait plus. Mais Rebecca ne vieillirait jamais.
Certains opposent la Géométrie à la Poésie. Quant à moi, lorsque la poésie languit, je fais volontiers de la géométrie, et je vois assez souvent, par réaction naturelle contre un abus de géométrie de quelques jours ou heures, la poésie renaître.
La seule chose importante, pour moi comme pour tous les humains, c'est d'être venu au monde. Au monde ! Naître, c'est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.
Je suis né dans une planète, pas dans un pays. Si, bien sûr, je suis né aussi dans un pays, dans une ville, dans une communauté, dans une famille, dans une maternité, dans un lit... Mais la seule chose importante, pour moi comme tous les humains, c’est d’être venu au monde. Au monde ! Naître, c’est venir au monde, pas dans tel ou tel pays, pas dans telle ou telle maison.
La vitesse, quelle bêtise que la vitesse ! Elle crée des aberrations comme le Paris Dakar ou les Jeux Olympiques. Savoir qu'un autre que moi a accompli un temps plus court que le mien peut m'aider à progresser. Qu'il soit considéré comme "meilleur" ou qu'il ait pulvérisé un record, en revanche, ne m'apporte rien. J'accepterais de traverser le désert à toute vitesse pour sauver un enfant, pas pour être le plus rapide.
Ma principale intelligence aura consisté à guetter la paresse ou l'absence de gens beaucoup plus intelligents que moi afin de proposer de les remplacer momentanément. La chance appartient à ceux qui se sont rendus disponibles le jour où elle passait.
Ni Juifs, ni chiens, ni niggers...Est-ce ma faute si la formule, ces mots féroces que j’ai entendus répéter jusqu’à New York même et par d’honnêtes gens, m’obsède ? Est-ce que nous sommes des punaises pour ces honnêtes Américains ? Est-ce que nous avons marché sur l’eau pour venir chez eux ? Est-il honorable à l’heure actuelle, dites-moi, qu’en Amérique – dans des villes des U.S.A. qui se flattent d’être à l’avant-garde pour tout le progrès -, à partir d’une certaine heure, le soir, les Juifs et les nègres ne puissent sortir de leurs maisons, qu’ils y soient relégués, comme des pestiférés, sous peine de représailles plus ou moins couvertes par des lois honteuses d’elles-mêmes ? Je suis du côté des « niggers ». Je n’en ai ni gloire ni humiliation. Je n’ai pas choisi.
Quelle souffrance que d'être ainsi vivant. Quelle abomination, quelle pourriture! Comment mon corps, ce corps qui est à moi, qui appartient ou qui est le maître de cet esprit pas particulièrement attaché à la vie, a-t-il la force, le courage d'exister?
C'est vrai qu'aujourd'hui je suis un peu tiraillé, parce que je me dis que j'aurais dû rester encore plus longtemps, que j'aurais dû essayer d'aller dans telle région où je n'irai peut-être jamais, j'aurais dû rester des mois dans certains pays et pas aller dans d'autres. De nouveau, maintenant, germe en moi l'idée de ce retour sur le lieu du crime et j'ai envie de retourner sur ces lieux qui ont été forts pour moi, qui m'ont apporté une grande jouissance. Donc les regrets commencent… Ils commencent toujours un peu à naitre au bout de six mois ou un an… Il y a des regrets qui remontent. Puis ils se mélangent avec les bons souvenirs.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Bambou a été pour moi la meilleure des personnes. Elle a empêché Serge de se ruiner, de s'abîmer, elle lui a donné un enfant, une nouvelle famille, elle était jeune, belle, et elle tolérait sa façon de lui parler (...) Serge a rencontré Bambou quelques temps après mon départ, à partir de là je savais qu'il était sauf.
On peut tout contre moi, excepté me décevoir. Avec ou sans mérite, je suis trop établi dans la vie surnaturelle pour que le démon de l'Illusion puisse avoir sur mon âme un pouvoir quelconque.
Moi, les mots j'aime bien. J'aime bien les phrases longues, les soupirs qui s'éternisent. J'aime bien quand les mots cachent parfois ce qu'ils disent ou le disent d'une manière nouvelle.
Les gens vraiment superficiels sont ceux qui aiment une seule fois dans leur vie. Ce qu'ils appellent leur loyauté, leur fidélité, je l'appelle, moi, léthargie, routine ou manque d'imagination.

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J. M. G. Le Clézio
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Raymond Depardon
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