Citation Elle ou moi
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Elle ou moi.
140 citations
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il y a chez moi une aversion telle de la politique qu'aujourd'hui, où c'est vraiment un devoir de voter, je m'abstiens.
- Comment Dieu, qui est amour et miséricorde, peut-il nous abandonner, nous et ceux que nous aimons, dans les moments où nous avons le plus besoin de lui ?
- Je serai franc avec vous. C’est une question qui me tourmente moi aussi. La meilleure réponse qui m’a été fournie vient du sermon d’un prêtre âgé que j’ai entendu voilà des années. Il voyageait au Moyen-Orient et avait été impressionné par la splendeur des tapis persans qu’il y avait vus. Ces merveilleuses créations si habilement tissées et ornées de motifs magnifiques. Il s’était trouvé un jour dans un magasin où étaient exposés quelques-uns de ces tapis et s’était glissé derrière l’un d’eux, suspendu au plafond. Alors qu’il examinait l’envers du tapis, il s’étonna à la vue du chaos que formaient les fils. Une telle beauté d’un côté, la confusion totale de l’autre, l’envers et l’endroit d’un même projet. Le message lui apparut clairement. Dans cette vie, nous ne voyons que l’envers du tapis. Nous ne savons pas pourquoi ni comment nos souffrances et nos malheurs font partie d’un ensemble parfait. C’est la raison pour laquelle il importe tant d’avoir la foi.Ma vie se définit et se déroule sans que je la pense. Ce n'est point qu'elle m'échappe, mais plutôt qu'elle me semble accordée en vue de tel ou tel accomplissement attendu, si bien que c'est une direction qui m'entraîne. Ma vie se vit sans moi.
Julien, indigné de sa lâcheté, se dit: Au moment précis où dix heures sonneront, j'exécuterai ce que, pendant toute la journée, je me suis promis de faire ce soir, ou je monterai chez moi me brûler la cervelle.
Je sentais la caresse légère de ses doigts sur mon cou comme une brûlure, et, à un coup de roulis brusque, son pied se posa sur le mien, et elle me ceintura de ses bras tièdes, en riant d’un rire un peu précipité ; j’étais hors d’état de rien dire, mais je pressai ce pied nu, tout glacé sur les planches humides, son bras s’attarda une seconde autour de moi, et je sentis l’odeur d’enfance et de forêt de ses cheveux. En cet instant, je ne la désirais même plus, je ne sentais plus rien que le vent fortifiant qui nous giflait de claquements d’ailes rudes, et qu’une tendresse ouvrant ses mille bras dans une nuit confiantes, sûre de les refermer sur leur mesure même de douce chaleur.
Pour des personnes comme toi et moi, le plus important, c’est la rage. Sans rage, nous serions incapables de trouver la force pour ôter la vie. Certains sont différents : ils obéissent à d’autres instincts ou ont grandi dans une violence inouïe ; ces gens-là te regardent depuis des cavernes inconnues. Pour eux, la vie c’est le puits. Tu ne peux pas les tuer et ils t’achèveraient si tu t’élevais contre eux. Nous, nous ne sommes pas comme ça, nous avons besoin d’elle, de cette rage effrénée qui ne laisse aucun répit. Tes muscles s’agitent, toute ta peau papillonne, tu noircis de l’intérieur tandis qu’à l’extérieur ton corps rougeoie : elle fera de toi un homme meurtri à la quête désespérée de sa place dans le monde. Tu devras alors te chercher tous les motifs de haine, mépriser ce qui t’entoure et, plus important encore, te convaincre que cette rage est nécessaire .
Et ce qui me fait souffrir, ce n'est pas tant la mort d'un amour que celle d'un être vraiment vivant que nous avions créé l'un et l'autre, que peut-être moi j'avais créé seule… Cet être était une union de vous et de moi, tels que nous nous voulions l'un et l'autre. C'était vous comme j'avais besoin que vous fussiez ; non pas un admirateur de ma personne comme vous avez prétendu, mais un homme qui m'aimait ; qui, à cause de cet amour, trouvait de l'intérêt à tout ce qui venait de moi ; devant lui, je pouvais avoir tous mes défauts et toutes mes qualités ; je pouvais me laisser aller au désordre… ce désordre lyrique et inattendu où tous les instincts se livrent en paroles et en cris pour ensuite permettre aux sûres directions de l'âme de retrouver la route et de continuer. Et j'imaginais qu'aucun de ces abandons ne troublait votre amour et votre confiance.
J'ai pensé à leur rencontre. J'ai frotté mes parents comme du cuivre ancien pour en effacer le noir. Redressé leur têtes, aminci leurs corps, rallumé leurs yeux. Ils avaient dû s'aimer l'espace d'un instant, quand ils avaient tournoyé sous les lampions du 14 juillet, à moins qu'ils ne soient restés fixes pendant que le reste se mettait à tourner. Ton père était beau, avait dit ma mère, et il était doux, et il dansait comme un dieu. J'ai pensé à leur rencontre mille fois, le plus souvent la nuit, quand j'avais l'impression d'étouffer. Il fallait qu'ils se soient aimés, sinon quelle raison j'avais d'exister, moi, de respirer, de prendre la place d'un autre ? Mais alors, il était parti où, cet amour ? Je l'ai cherché sous mon lit, dans les murs froids, dans la forêt, dans les yeux de ma mère puis dans ceux d'autres femmes, et j'ai fini par comprendre qu'il s'était changé en pierre. Elle avait dû rouler quelque part, passer par le trou d'une poche, et peut-être même qu'ils l'avaient un peu cherchée, mais va-t'en retrouver une pierre dans la caillasse du monde.
J'ai fait pour toi, cruelle,
Des serments et des voeux,
Et j'ai fait sentinelle
Souvent une heure ou deux.
Alors, dis-moi, ma chère,
Pour plaire à tes beaux yeux,
De plus que puis-je faire?Je soutiens, moi, que c'est la conjonction alternative OU qui sépare lesdits membres; je payerai la donzelle, OU je l'épouserai. A pédant, pédant et demi. Qu'il s'avise de parler latin, j'y suis grec; je l'extermine.
Ma voisine se tourna vers moi en riant, de sorte que je ne sus jamais si elle répondait gentiment à ma caresse ou si elle se réjouissait du triomphe de ma maîtresse. Les femmes ne perdent jamais une occasion de se montrer mystérieuses.
Moi, la marche à pied, ça me fera toujours marrer. Du moins, jusqu'au jour où on m'expliquera clairement à quoi d'autre elle peut-être, la marche.
Suis-je un? Je suis l'étang où elle se mêle à moi. Je n'ai jamais connu pareil manque ni pareil désir, comme si j'allais mourir de soif ou de folie si je ne la tenais pas entre mes bras, si je ne m'étendais pas à côté d'elle. Pourtant je ne meurs pas et je ne la tiens pas entre mes bras. Mais je n'ai jamais su grand-chose, et peut-être en est-il ainsi de tout amour tôt ou tard.
Une fille sans tabou est une mauvaise amoureuse. ... La femme moderne fera des tas d'homosexuels dans l'avenir, parce qu'elle se veut libérale. Moi, je suis très conservateur là-dessus. Je suis un réac amoureux.
Vous savez ce que ça représente aujourd’hui d’entretenir une âme, une conscience ? Attention, article de luxe ! Faites le compte et vous verrez que cela revient plus cher qu’un SUV ! Et je vous parle d’une âme, d’une conscience normale, pas de celle de Shakespeare, Tchekhov ou Kafka. À propos, c’était de la bonne qualité, du moins c’est ce qu’on m’en a dit, parce que moi, personnellement, je n’ai rien lu de ce qu’ils ont écrit.
Archimède : Primo : Monsieur, je ne couche jamais sous les ponts, quelle que soit la saison. Secundo : à partir de Novembre, je ne connais que deux solutions convenables : la prison ou la Côte d'Azur. Ça c'est mon truc !
Arsène : Tu y es déjà allé ?
Archimède : Oui Monsieur, mais je ne supportais pas la nourriture.
Arsène : C'est pas de la prison que je te parle, c'est de la Côte d'Azur.
Archimède : Moi aussi, c'est de la Côte d'Azur. Je ne supporte pas l'huile d'olive.Pour moi, on peut parler de chef-d'oeuvre quand j'éprouve la sensation puissante et claire d'avoir vécu ou pensé ce que l'oeuvre je suis en train de lire, regarder ou écouter, exprime, qu'elle dit exactement la même chose que moi, mais au moyen d'une phrase meilleure, d'une composition plastique ou musicale plus belle que je n'aurais pu l'imaginer. Il m'arrive d'éprouver de manière fugace un sentiment de beauté et de bonheur. Si cela m'arrive en lisant un livre, c'est pour moi de la grande littérature, si cela se produit au cinéma, c'est pour moi du grand cinéma.
Une troupe de cavaliers, disent-ils, ou de soldats à pied, une escadre, rien n'est plus beau sur la terre bleu et sombre. Mais, moi, je dis : c'est celui-là ou celle que l'on aime d'amour.
Ah non mais attention quand je parle de l'enveloppe tu vois, je parle pas l'enveloppe que tu envoies par la poste. Je parle de l'enveloppe que tu vois. Celle qui enveloppe tout. Les paquets de biscuits, les sachets de cocaïne, ton esprit, etc ... Non, l'enveloppe c'est vraiment global.. Mais uniquement liée au spirit généralement. Oui alors un biscuit tu me diras ça n'a pas de spirit, c'est juste un biscuit. Mais avant, c'était du lait, des oeufs. Et dans les oeufs, il y a la vie potentielle... Le potential life dans une coquille, une enveloppe ... qui elle même était contenu dans la poule . eh oui... Non vraiment tout ça c'est une question d'awareness ... et puis même si le biscuit est physiquement différent d'une bouteille de lait, d'une poule ... il subsiste le spirit de la bouteille et de la poule dans le biscuit ... et ça toi tu le ressens quand tu le manges. Et que parfois c'est bon parfois c'est pas bon. C'est pour ça que j'ai fais des films avec des réplicants. Pour montrer que parfois tout se ressemble physiquement (l'enveloppe), mais que le spirit est totally différent ... il y a le mec gentil, le mec pourri... et tout ça c'est moi. Et oui ... Et en plus, c'est moi ! Car moi je suis acteur ! Alors quand je joue un rôle, il y a le personnage, son répliquant ..et moi. Donc, on est deux plus un, et c'est moi. Donc un. Donc quand il y a un gentil, un méchant, il y a aussi moi avec mon caractère ... quand tu fais le calcul tu obtiens ce que je suis. Alors après il faut intégrer tout ça dans LES environnements et alors ça se complexifie. Car quand je suis dans ma Mercedes je suis un violent roader ! Ou un dead drunk driver ! Mais sur le tournage je suis parfois répliquant. Alors quand je remonte dans ma Mercedes je ne suis plus un répliquant. Il ne faut pas se tromper .... Tu comprends ?
Pour moi, la littérature est une sorte de trésor sans limites, une brocante où chacun peut fouiller et trouver ce qu'il veut. Il y a tant de formes différentes, tant de genres littéraires, des romans, des récits, des correspondances, des journaux, des sensibilités et des écritures différentes... Il y en a trop, certes, mais il y en a pour tout le monde. C'est une connexion mystérieuse, magique, la sensibilité d'un auteur qui rencontre celle d'un lecteur.
Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »
e lui offrais les contentements du monde, livrée sans mesurage, faisant ce qu'il aimait et que je découvrais en explorant son corps. Afin de lui ôter les charmes de la drive, je lui ouvris des cantiques dans les graines, je semai des douceurs dans chacun de ses pores, je suçai son âme, je léchai sa vie. Je m'efforçais de nous fondre l'un à l'autre, et lui offrir une ancre. Ma coucoune se fit chatrou pour l'aspirer et le tenir. […] elle se fit chouval-bois qu'il pouvait chevaucher autour d'un point central, elle se fit petit-gibier-tombé à lover dans sa main pour s'endormir cent ans, et elle s'écartela pour devenir béante, chemin-grand-vent sans murs ni horizon ou il pouvait aller tout en restant en moi.
Effectivement, je n'ai pas de grandes héroïnes de l'histoire, pas d'écrivains, pas de résistantes, parce que je suis partie d'une observation personnelle qui était que les héroïnes féminines sont complètement invisibilisées. Moi je n'ai pas le souvenir qu'on m'ait parlé de beaucoup de femmes dans les cours d'histoire, ou alors toujours des mêmes, alors qu'évidemment autant d'héroïnes que de héros ont eu un rôle à jouer, et y compris la petite histoire. C'est pour ça que je m'intéresse à la femme qui a inventé le maillot de bain, à certaines actrices, à une vieille dame retraitée qui a sauvé un phare...
J'ai été beaucoup aimée, vous le savez ; j'ai souvent aimé moi-même. J'étais fort belle ; je puis le dire aujourd'hui qu'il n'en reste rien. L'amour était pour moi la vie de l'âme, comme l'air est la vie du corps. J'eusse préféré mourir plutôt que d'exister sans tendresse, sans une pensée toujours attachée à moi. Les femmes souvent prétendent n'aimer qu'une fois de toute la puissance du coeur ; il m'est souvent arrivé de chérir si violemment que je croyais impossible la fin de mes transports. Ils s'éteignaient pourtant toujours d'une façon naturelle, comme un feu où le bois manque.
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Journal, 11 octobre 1877 de Edmond de Goncourt
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Dernière danse (2018) de Mary Higgins Clark
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Le jardin fermé (1994), Carnets XVI de Louis Calaferte
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Le Rouge et le Noir (1830) de Henri Beyle, dit Stendhal
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Le Rivage des Syrtes (1951) de Julien Gracq
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Le Puits (2013) de Ivan Repila
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Laissez-moi de Marcelle Sauvageot
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Cent millions d'années et un jour (2019) de Jean-Baptiste Andrea
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L'Ennui (1820), IV de Eugène Scribe
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Le Mariage de Figaro (1784), III, 15, Figaro de Pierre Augustin Caron de Beaumarchais
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Inutile et adorable (1963) de Roger Fournier
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Le chat de Philippe Geluck
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Adieu Zanzibar (2009) de Abdulrazak Gurnah
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Pensées, provocs et autres volutes (2006) de Serge Gainsbourg
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Un cheval entre dans un bar (2016) de David Grossman
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Archimède le clochard (1959) de Gilles Grangier de Michel Audiard
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Le cinéma et moi (2006) de Krzysztof Kieslowski
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Odes et fragments, Sappho (trad. Yves Battistini), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 2005 de Sapho
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Citations cultes de JCVD de Jean-Claude Van Damme
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Portrait de Norman Rush, le romancier des utopies, Télérama, le 03/09/2015 de Norman Rush
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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Texaco (1992) de Patrick Chamoiseau
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France TV Info, 29 septembre 2016 de Pénélope Bagieu
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Oeuvres posthumes, Confession d'une femme de Guy de Maupassant
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