Citation Je ne vais pas bien
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Une Sélection de 70 citations et proverbes sur le thème Je ne vais pas bien.
70 citations
Que pensez-vous de l'au-delà? - - Je ne sais pas. J'ai déjà beaucoup à faire avec l'en deçà. Pourtant, si je vais au Paradis, j'y serai bien à cause du climat, mais si je vais en Enfer, j'y retrouverai beaucoup plus de relations.
Antoine de Caunes : Vous aviez un commentaire très violent sur le Coran en 2001, que l'islam était la religion la plus con du monde. Je voudrais savoir qu'est-ce qui vous a fait bouger...
Michel Houellebecq : Qu'est-ce qui m'a fait changer d'avis ? La lecture du Coran surtout, je ne l'avais peut-être pas lu suffisamment bien. Maintenant, je pense qu'une interprétation moyennement honnête du Coran n'aboutit pas au djihadisme. Il faut une interprétation très déshonnête pour aboutir au djihadisme.Helvétius essuya cette sortie avec la tranquillité la plus philosophique, et se contenta de dire, quand Marivaux fut parti: Comme je lui aurais répondu, si je ne lui avais pas l'obligation d'avoir bien voulu accepter mes bienfaits!
J'avais vingt ans.... ou bien vingt-cinq, ou plus, ou moins... Peu importe ! Je voulais vivre mais je ne savais pas pourquoi vivre, ni comment vivre. Je cherchais. Je cherchais jusqu'à l'angoisse, me cognant aux mirages de mes déserts.
Eh bien… voilà à quoi elle a servi, ma vie. Voilà, j’ai l’impression que je ne suis pas né pour rien… Quand je lis les courriers, quand je vais dans la rue, je me dis : T’as bien fait d’être là… Et quand je meurs, je serai là-haut. Crois-moi, je vais vous regarder...
je ne pourrais pas écrire mes Mémoires. Je crains d'être ennuyeux, et de m'ennuyer moi-même. Je suis en admiration quand je vois des artistes, des industriels, des sportifs dire : « Dans ces années-là, à Aubenas où je suis né, il y avait un marchand de crêpes qui s'appelait monsieur Raymond. Ma tante m'y emmenait quand j'avais bien travaillé. Ah, ces crêpes aux myrtilles ! » Non, je ne pourrais pas.
Je savais, après avoir tué Florence, que j'allais tuer aussi Antoine et Caroline et que ce moment, devant la télévision, était le dernier que nous passions ensemble. Je les ai câlinés. J'ai dû leur dire des mots tendres, comme « Je vous aime. » Cela m'arrivait souvent, et ils y répondaient souvent par des dessins. Même Antoine qui ne savait pas encore bien écrire savait écrire « Je t'aime ».
Pour ne pas désespérer complètement des hommes qui m’entouraient alors, il me fallait faire abstraction de leurs façons et de leur vie, et ne retenir que les raisons de leur déchéance. Alors je pouvais supporter ce spectacle sans découragement, alors ce n’étaient plus les hommes qui ressortaient de tous ces tableaux du malheur et du désespoir, de l’ordure et de la dépravation, mais les tristes résultats de tristes lois. Cependant, ayant moi-même bien du mal à vivre, j’étais gardé de capituler en quelque pitoyable sentimentalité à la vue des produits, résultat final de ce processus de dégradation. Non, ce n’est pas ainsi qu’il fallait le concevoir. Et il m’apparaissait que, seul, un double chemin pouvait conduire à l’amélioration de cet état :
Établir des bases meilleures de notre développement en s’inspirant d’un profond sentiment de responsabilité sociale.
Anéantir avec une décision brutale les rejetons non améliorables.Depuis la mode des voyages dans les lunes, tout le monde sait ce qu'est un compte à rebours. C'est le 5, 4, 3, 2, 1, 0, qui précède le départ des fusées. Je ne sais quoi (sûrement un mauvais ange) me souffle que ce compte qui tend vers zéro pourrait bien être la définition même du progrès. Je me garderai comme de la peste de dire du mal de cette divinité qui, dans les âmes simples, a remplacé Monseigneur Dupanloup et nous couvre de frigidaires, de transistors, de machines à laver et autres automobiles. Je ne me donnerai pas non plus le ridicule de prétendre à une âme compliquée. Je veux simplement faire état d'une constatation personnelle, très terre à terre, et à qui je dénie par avance toute valeur d'enseignement.
Je ne pense pas que c'était une erreur pour l'Europe, mais c'était bien plus problématique en Amérique. Je n'ai eu aucun problème concernant le fait que les gens sachent que j'étais bisexuel. Mais je n'avais aucune envie de tenir un drapeau ou d'être le représentant d'un quelconque groupe de personnes. Je savais ce que je voulais être, à savoir un auteur-compositeur et un interprète, et je sentais que l'on me résumait désormais à cette bisexualité et pour très longtemps. L'Amérique est très puritaine et je pense que ça m'a empêché de faire beaucoup de choses
Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »
J'ajoutai que mon coeur était sans doute une coquille dure que bien peu de gens arrivent à percer, et que c'était peut être pour cela que je n'arrivais pas à aimer correctement.
N'ai-je pas trouvé il y a quelques jours une sorte de devise que je prendrais très bien pour moi, si j'avais la manie d'avoir une devise: Plaisir passe intérêt. C'est tout à fait vrai pour moi, depuis toujours.
Je ne voyais pas pourquoi il me fallait peiner à l'école, tout comme plus tard je n'eus pas la concentration nécessaire pour faire des études et obéir à une discipline de vie et de travail. Il y avait toujours quelque chose qui me retenait. Je déviais toujours. En fait je n'ai pas fui les mariages et les emplois, j'ai simplement dévié. Je ne pouvais vivre qu'en transit, ou bien entre deux chaises, comme on dit. Dès que j'étais installé dans un appartement ou un emploi, les choses perdaient leur saveur. Je connaissais tout d'avance, et ce monde connu s'étendait devant moi comme un désert. Comme je m'ennuyais !
Je rêvais à un avenir où je trouverais enfin une place à laquelle je me sentirais bien, autorisée à être, plus séparée des autres ou moins. Je ne sais pas ce que je veux mais je veux pas les mêmes choses qu'eux.
Devant un écran, on peut réfléchir tranquillement et en silence aux questions qu'on ne veut pas soulever à voix haute. Je le quitte ou pas ? Je m'en vais ou je reste avec elle ? On peut penser aux aspects pratiques du divorce. Combien aurais je pour vivre et que vont dire les amis, la famille, les enfants ?
Personne ne peut se renier. Peut-être ne peut-on tout simplement pas faire tomber en se secouant toutes les influences qui ont marqué une enfance. Alain ne le pouvait pas, je ne le pouvais pas non plus. C'est pourquoi, dès le début de nos rapports, la fin était inévitable. Seulement, à ce moment-là, nous ne le savions pas encore. Ou bien nous ne voulions pas en convenir - en tous cas, pas moi.
Le bonheur était là et je l'avais laissé passer pour ne pas me compliquer l'existence. C'était si simple pourtant. Il suffisait de tendre la main. Le reste se serait bien arrangé d'une façon ou d'une autre. Tout finit par s'arranger quand on est heureux.
J’aime aller derrière les mots parce qu’il y a autre chose encore. Je ne vais pas à l’évidence. J’aime bien fouiller derrière les mots pour voir.
Je vais au collège, comme un ado normal; j'ai des parents à problèmes, des kilos en trop et je suis nul en tout. Au moins, on ne se méfie pas de moi. Et ça tombe bien.
Je garde un souvenir heureux de mon enfance, bien que si je devais définir d’un seul mot Villa Fiorito, le quartier où je suis né et où j’ai grandi, je choisirais le mot lutte. A Villa Fiorito, quand il y avait à manger, on mangeait, sinon, on ne mangeait pas.
La seule crainte, si l’on est en bonne santé, est celle de la faiblesse intellectuelle. Or je me sens en pleine capacité. Plus riche même, de l’expérience. Bien sûr, il y a certaines limites. Autrefois, pour un procès d’assises, comme celui de Bobigny, je pouvais travailler une nuit entière sur un dossier, me doucher, prendre un café et aller plaider. Aujourd’hui, je ne pourrais pas aller au-delà d’une heure du matin. Mais c’est assez minime. Ce n’est pas si désagréable de vieillir si l’on ne coupe pas la vie en étapes, si on ne se dit pas : « Maintenant c’est fini, je suis entrée dans la vieillesse ».
Plus d'une fois, au cours de ma vie, j'ai fait ce que je n'avais pas décidé, et ce que j'avais décidé, je ne l'ai pas fait. C'est un je-ne-sais-quoi qui agit; qui part rejoindre une femme que je ne veux plus voir; qui fait à un supérieur la remarque qui va me coûter ma carrière; qui continue à fumer bien que j'aie décidé d'arrêter, et qui cesse de fumer quand j'ai admis que je suis et resterai un fumeur.
Défiez-vous de ceux qui vous disent en vous parlant d'une personne qui vous est chère: - je crains que un tel, ou une telle, ne soit bien malade. On n'est pas oiseau de mauvais augure sans s'y plaire un peu.
C'est dans un état bien particulier que j'écris ces mots, puisque cette nuit je ne serai plus. Je me trouve sans le sou, au terme de mon supplice de drogué qui ne supporte plus la vie sans sa dose, et je ne puis endurer plus longtemps ma torture. Je vais sauter par la fenêtre, me jeter dans cette rue sordide. Il ne faudrait pourtant pas croire que la morphine, dont je suis l'esclave, ait fait de moi un être faible ou dégénéré. Lorsque vous aurez lu ces quelques pages hâtivement griffonnées, vous ne vous étonnerez pas – encore que vous ne puissiez jamais le comprendre parfaitement – que je me trouve devant cette unique alternative : l'oubli ou la mort.
Sans référence de Tristan Bernard
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Le Grand Journal - Interview de Michel Houellebecq, Canal plus, 12 janvier 2015
de Michel Houellebecq
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Eloges, Marivaux de Jean le Rond d'Alembert
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Parle-moi d'amour (1989) de Michel Quoist
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Extrait du magazine 13h15 le dimanche du 3 octobre 2021, entretien du 22 juin 2021 de Bernard Tapie
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Interview Le Figaro le 10 février 2009 de Jean-Loup Dabadie
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L'Adversaire (2000) de Emmanuel Carrère
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Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, éd. La Bibliothèque électronique du Québec, coll. « Polémique et propagande » de Adolf Hitler
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Les Terrasses de l'Ile d'Elbe (1976) de Jean Giono
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Interview de 2002 avec Blender de David Bowie
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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La Ballade de l'impossible (1987) de Haruki Murakami
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Journal littéraire (1893-1956) de Paul Léautaud
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Chien (1988) de Paul Nizon
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Désintégration (2019) de Emmanuelle Richard
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Lésions dangereuses de Christian Jungersen
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Moi, Romy (1990) de Romy Schneider
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Je l'aimais (2003) de Anna Gavalda
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Interview We Culte - Le Mag Culture, Juliette Gréco : « Le public a fait de ma vie un rêve éveillé » par Victor Hache, 17 mai 2015 de Juliette Gréco
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Thomas Drimm, 1 - La fin du monde tombe un jeudi (2009) de Didier Van Cauwelaert
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Yo soy el Diego (2000) de Diego Maradona
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Entretien au Monde, par Josyane Savigneau le 11 mars 2011 de Gisèle Halimi
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Faits et croyances de Victor Hugo
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Dagon (Dagon and Other Macabre Tales) - (1965) de Howard Phillips Lovecraft
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