Citation de moi meme
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360 citations
À quoi bon emprunter sans cesse le même vieux sentier ? Vous devez tracer des sentiers vers l'inconnu. Si je ne suis pas moi, qui le sera ? La marche est une lecture du lieu qui prélude à la compréhension inépuisable de Soi.
Une victoire sur l'amour-propre nous permet de descendre profondément dans le Moi et nous livre, d'un même mouvement, la connaissance de l'Autre. A une certaine profondeur le secret de l'Autre ne diffère pas de notre propre secret.
Quelquefois, je me disais qu'il passait peut-être toute une journée sans penser une seconde à moi. Je le voyais se lever, prendre son café, parler, rire, comme si je n'existais pas. Ce décalage avec ma propre obsession me remplissait d'étonnement. Comment était-ce possible. Mais lui-même aurait été stupéfait d'apprendre qu'il ne quittait pas ma tête du matin au soir. Il n'y avait pas de raison de trouver plus juste mon attitude ou la sienne. En un sens, j'avais plus de chance que lui.
Chaque livre, pour moi, libérait un parfum, une voix, une époque, un moment, une douleur, une présence; chaque livre m'irradiait ou m'accablait d'une ombre; j'étais comme terrifiée de sentir sous mes doigts ces pétillements de l'âme noués dans une même rumeur.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.L'heureux Chevalier me releva, et mon pardon fut scellé sur cette même ottomane où vous et moi scellâmes si gaiement et de la même manière notre éternelle rupture.
Je ne fais pas de plans, je n'en ai jamais fait. Les quelques fois où j'essayai, ils tombèrent très vite à l'eau, ce qui est normal. J'embarque mes héros au début de mes livres, je les mets en rapport et les laisse un long moment se débrouiller sans moi. Je veux dire que les propos ou les gestes qu'ils s'inspirent les uns les autres précisent leur personnalité, au départ confuse, et qu'il suffit d'attendre pour que leurs caractères s'imposent. Même si au départ ils sont pratiquement libres, j'en aurais vu beaucoup s'écarter radicalement de leur rôle original. [...] Ils ne tournèrent casaque qu'une fois le bateau parti, et pour mon plus grand plaisir : je n'ai jamais été autoritaire d'abord, et ensuite, tous ces renversements me plaisaient. C'est très agréable d'écrire un livre dans ces conditions, avec autant de curiosité, peut-être plus que le lecteur.
Et je savais déjà que je ne serais pas jugée à la même aune qu’elles. En tant que première First Lady afro-américaine à entrer à la Maison-Blanche, j’étais « autre » presque par défaut. Si on prêtait a priori une certaine dignité, attachée à la fonction, aux femmes blanches qui m’avaient précédée, j’étais consciente que, pour moi, ce n’était pas gagné d’avance. J’avais appris de mes déconvenues de la campagne que je devrais être meilleure, plus rapide, plus intelligente et plus forte que jamais. Je devrais gagner la sympathie du public. Je craignais que beaucoup d’Américains ne se retrouvent ni en moi ni dans mon parcours. Je n’aurais pas le luxe de m’installer lentement dans mon nouveau statut avant d’être jugée. Et, pour ce qui était des jugements, j’étais plus vulnérable que jamais aux craintes infondées et aux stéréotypes raciaux tapis juste sous la surface de la conscience collective, que la rumeur et les allusions insidieuses feraient inévitablement remonter. J’étais émue et ravie d’être première dame, mais je n’ai pas cru une seconde me glisser dans un rôle prestigieux ou facile.
Il n'y a jamais eu de grande différence pour moi entre le désir et le désir d'écrire - c'est le même élan vital, le même besoin d'éprouver la matérialité de la vie.
Pour moi, on peut parler de chef-d'oeuvre quand j'éprouve la sensation puissante et claire d'avoir vécu ou pensé ce que l'oeuvre je suis en train de lire, regarder ou écouter, exprime, qu'elle dit exactement la même chose que moi, mais au moyen d'une phrase meilleure, d'une composition plastique ou musicale plus belle que je n'aurais pu l'imaginer. Il m'arrive d'éprouver de manière fugace un sentiment de beauté et de bonheur. Si cela m'arrive en lisant un livre, c'est pour moi de la grande littérature, si cela se produit au cinéma, c'est pour moi du grand cinéma.
Quand je donne des concerts, je suis de nouveau connecté au monde, mais cela n'a plus le même goût qu'avant. Je porte la mort en moi, les gens le savent. Ils viennent me dire au revoir.
Il aura fallu que j'écrive pour, enfin, me retourner sur moi-même et reprendre la conversation interrompuue avec ceux que je portais en moi, et qui étaient morts. Car tu n'as jamais été plus vivant qu'au bout de ma plume.
D'après ce que je vois, nous souffrons, vous et moi, de la même maladie grave : la curiosité. Vous savez que le mot curieux vient du latin cura : le soin ? Soyons fiers de notre défaut : être curieux, c'est prendre soin.
Après cela, que l’on en pense, que l’on en juge, que l’on en dise et que l’on en fasse tout ce que l’on voudra dans le monde, je ne m’en embarrasse guère ; que les hommes s’accommodent et qu’ils gouvernent comme ils veulent, qu’ils soient sages ou qu’ils soient fous, qu’ils soient bons ou qu’ils soient méchants, qu’ils disent ou qu’ils fassent même de moi ce qu’ils voudront après ma mort ; je m’en soucie fort peu : je ne prends déjà presque plus de part à ce qui se fait dans le monde ; les morts avec lesquels je suis sur le point d’aller ne s’embarrassent plus de rien, ils ne se mêlent plus de rien, et ne se soucient plus de rien. Je finirai donc ceci par le rien, aussi ne suis-je guère plus qu’un rien, et bientôt je ne serai rien.
Mes enfants n'avaient pas besoin de moi, je ne m'intéressais pas à moi-même, et toute vie qui ne se voue pas à un but déterminé est une erreur.
Tu es plus que ma vie, tu es ce qui la fait déborder au-delà d'elle-même. Toi par qui j'ai honte de n'être que moi...
Dire: Aimer c'est délivrer l'autre de mes bonnes intentions - et de moi-même paraîtra excessif. Pourtant c'est en me détachant de toi et en m'ancrant en moi que je commence véritablement d'aimer.
La vie humaine est un songe : d'autres l'ont dit avant moi, mais cette idée me suit partout. Quand je considère les bornes étroites dans lesquelles sont circonscrites les facultés de l'homme, son activité et son intelligence ; quand je vois que nous épuisons toutes nos forces à satisfaire des besoins, et que ces besoins ne tendent qu'à prolonger notre misérable existence ; que notre tranquillité sur bien des questions n'est qu'une résignation fondée sur des chimères, semblables à celles des prisonniers qui auraient couvert de peintures variées et de riantes perspectives les murs de leur cachot ; tout cela mon ami, me rend muet. Je rentre en moi-même, et j'y trouve un monde, mais plutôt en pressentiments et en sombres désirs qu'en réalité et en action ; et alors tout s'embrouille en moi, et, perdu dans mes rêves, je poursuis en souriant ma route dans le monde.
Ni Juifs, ni chiens, ni niggers...Est-ce ma faute si la formule, ces mots féroces que j’ai entendus répéter jusqu’à New York même et par d’honnêtes gens, m’obsède ? Est-ce que nous sommes des punaises pour ces honnêtes Américains ? Est-ce que nous avons marché sur l’eau pour venir chez eux ? Est-il honorable à l’heure actuelle, dites-moi, qu’en Amérique – dans des villes des U.S.A. qui se flattent d’être à l’avant-garde pour tout le progrès -, à partir d’une certaine heure, le soir, les Juifs et les nègres ne puissent sortir de leurs maisons, qu’ils y soient relégués, comme des pestiférés, sous peine de représailles plus ou moins couvertes par des lois honteuses d’elles-mêmes ? Je suis du côté des « niggers ». Je n’en ai ni gloire ni humiliation. Je n’ai pas choisi.
Chaque artiste garde ainsi, au fond de lui, une source unique, qui alimente pendant sa vie ce qu'il est et ce qu'il dit. Quand la source est tarie, on voit peu à peu l'oeuvre se racornir, se fendiller. Ce sont les terres ingrates de l'art que le courant invisible n'irrigue plus. Le cheveu devenu rare et sec, l'artiste couvert de chaumes, est mûr pour le silence, ou les salons, qui reviennent au même. Pour moi, je sais que ma source est dans L'Envers et l'Endroit, dans ce monde de pauvreté et de lumière où j'ai longtemps vécu et dont le souvenir me préserve encore des dangers contraires qui menacent tout artiste, le ressentiment et la satisfaction.
J'ai été beaucoup aimée, vous le savez ; j'ai souvent aimé moi-même. J'étais fort belle ; je puis le dire aujourd'hui qu'il n'en reste rien. L'amour était pour moi la vie de l'âme, comme l'air est la vie du corps. J'eusse préféré mourir plutôt que d'exister sans tendresse, sans une pensée toujours attachée à moi. Les femmes souvent prétendent n'aimer qu'une fois de toute la puissance du coeur ; il m'est souvent arrivé de chérir si violemment que je croyais impossible la fin de mes transports. Ils s'éteignaient pourtant toujours d'une façon naturelle, comme un feu où le bois manque.
De même les paresseux essaient en vain de travailler... moi j'essaie en vain de ne rien faire.
La notion d'intelligence elle- même a perdu pour moi son apparente simplicité. Je ne parle plus de l'intelligence mais, au pluriel, d'intelligences.
Partout où il y a un malheureux, Dieu envoie un chien. Je l'ai éprouvé vingt fois depuis. L'homme ne le voit pas toujours. J'en ai connu un qui avait l'honneur de sa misère et qui n'a jamais voulu se donner à moi après la mort du mendiant aveugle son maitre, ni manger autre chose que du pain mendié dans le ruisseau au lieu des mets de ma table, parce que ce pain de l'aumône lui rappelait son premier état et son dévouement au pauvre. Il ne m'a même jamais par donné d'avoir essayé de le séduire par l'intérêt de sa gourmandise. « Tu ne m'as pas connu pour ce que je vaux, semblait-il dire ; mon honneur m'est plus cher que tes richesses. » J'étais riche alors, mais il était chien.
Même sans prendre un crayon, j'ai toujours écrit. Ecrire est devenu pour moi une manière de combler le temps entre l'intolérable naissance et l'intolérable mort.
De la marche (1862) de Henry David Thoreau
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Mensonge romantique et vérité romanesque (1961) de René Girard
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Passion simple (1991) de Annie Ernaux
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Texaco (1992) de Patrick Chamoiseau
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Les Liaisons dangereuses (1782) de Pierre Choderlos de Laclos
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Derrière l'épaule (1998) de Françoise Sagan
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Devenir (2018) de Michelle Obama
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Celle que vous croyez (2016) de Camille Laurens
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Le cinéma et moi (2006) de Krzysztof Kieslowski
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Interview de Johnny Clegg, Paris Match, 2019 de Johnny Clegg
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Olivier (2011) de Jérôme Garcin
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Les chevaliers du subjonctif (2004) de Erik Orsenna
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Mémoire des pensées et sentiments (1762) de Jean Meslier
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Vingt-quatre Heures de la vie d'une femme (1929) de Stefan Zweig
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L'ignorance étoilée (1974) de Gustave Thibon
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Eloge du mariage, de l'engagement et autres folies (2000) de Christiane Singer
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Les Souffrances du jeune Werther (1774) de Johann Wolfgang Goethe
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« Les mémoires » de Joséphine Baker, recueillis par Marcel Sauvage (1949) de Joséphine Baker
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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Oeuvres posthumes, Confession d'une femme de Guy de Maupassant
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Le veilleur de nuit de Sacha Guitry
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Où en est la psychologie de l'enfant, 1983 de René Zazzo
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Mémoires inédits de Lamartine (1790-1815) de Alphonse de Lamartine
Références de Alphonse de Lamartine - Biographie de Alphonse de Lamartine
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La Première Habitude (2000) de Françoise Lefèvre
Références de Françoise Lefèvre - Biographie de Françoise Lefèvre
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