Citation le sang d un
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème le sang d un.
40 citations
Le flinguer comme ça de sang froid, sans être tout à fait de l'assassinat, y aurait quand même comme un cousinage!
Alors, dans Besançon, vieille ville espagnole,
Jeté comme la graine au gré de l’air qui vole,
Naquit d’un sang breton et lorrain à la fois
Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ;
Si débile, qu’il fut, ainsi qu’une chimère,
Abandonné de tous, excepté de sa mère,
Et que son cou ployé comme un frêle roseau
Fit faire en même temps sa bière et son berceau.
Cet enfant que la vie effaçait de son livre,
Et qui n’avait pas même un lendemain à vivre,
C’est moi.Quand la chanson disait Tu reverras Paname
Ceux qu'un oeillet de sang allait fleurir tantôt
Quelque part devant Saint-Mihiel ou Neufchâteau
Entourant le chanteur comme des mains la flamme
Sentaient frémir en eux la pointe du couteauC'est beau d'être la puce d'un lion. Le lion humilié a dans sa chair le dard de l'insecte, et la puce peut dire : j'ai en moi du sang de lion.
Les récréations se passent maintenant derrière les buissons de prunelliers. Et, deux à deux, elles se fouettent mutuellement, bienheureuses quand le sang entoure leurs cuisses d'un mince et chaud reptile.
C'est dur de lutter contre une telle couche d'aliénation. Pendant ces treize siècles, on a arabisé le pays mais on a en même temps écrasé le tamazight, forcément. Ça va ensemble. L'arabisation ne peut jamais être autre chose que l'écrasement du tamazight. L'arabisation, c'est imposer à un peuple une langue qui n'est pas la sienne, et donc combattre la sienne, la tuer. Comme les Français quand ils interdisaient aux écoliers algériens de parler arabe ou tamazight parce qu'ils voulaient faire l'Algérie française. L'Algérie arabo-islamique, c'est une Algérie contre elle-même, une Algérie étrangère à elle-même. C'est une Algérie imposée par les armes, parce que l'islam ne se fait pas avec des bonbons et des roses. Il s'est fait dans les larmes et le sang, il s'est fait par l'écrasement, par la violence, par le mépris, par la haine, par les pires abjections que puisse supporter un peuple. On voit le résultat.
Le coeur, dérisoire métaphore d'un sentiment diffus, empêché, parce que, quelque interprétation que l'on en fasse, le coeur n'est pas d'or, il sert à peu de choses, pour ne pas dire à rien. Le coeur, dans le meilleur des cas, il parade les jours de fête, le temps du premier baiser, mais après la disette s'étend, épouse, s'incruste sur les flancs malingres du destin, et il n'y a plus que le sang qui parle et se déverse. Un sang noir.
Le battement sourd des foulons ébranlait les profondeurs sombres de la terre avec le bruit d'un gros coeur chargé de sang.
A l’abattage, les ouvriers étaient le plus souvent couverts de sang et celui-ci, sous l’effet du froid, se figeait sur eux. Pour peu que l’un d’eux s’adossât à un pilier, il y restait collé ; s’il touchait la lame de son couteau, il y laissait des lambeaux de peau. Les hommes s’enveloppaient les pieds dans des journaux et de vieux sacs, qui s’imbibaient de sang et se solidifiaient en glace ; puis une nouvelle couche s’ajoutait à la précédente, si bien qu’à la fin de la journée ils marchaient sur des blocs de la taille d’une patte d’éléphant.
L'homme est ainsi fait qu'il ne peut s'empêcher de taper dans un ballon qui approche. C'est dans le sang. Et quand un ballon s'éloigne, il se met à courir après.
Ces paroles ignobles de la Marseillaise où on parle du sang impur des ennemis, qui est un mot d'un racisme tel qu'on devrait avoir honte de l'enseigner aux enfants. Quels que soient les ennemis, qu'ils aient un sang impur, c'est quand même d'un racisme, j'aurais honte de l'enseigner à mes étudiants, ils ont tous un sang pur et l'impureté du sang est quelque chose qui me fait horreur. […] Ce n'est pas seulement un imaginaire raciste, c'est une tradition qui a été si longue qu'elle a fondé beaucoup de traditions politiques, beaucoup de philosophies du droit .
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir; - Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Il garde les mains dans ses poches, elles sont lourdes comme du plomb. «Lever les mains!» Un Allemand le vise avec un fusil. Il rougit, ses mains se lèvent lentement, les voilà en l'air au-dessus de sa tête: ils me paieront ça avec du sang.
Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, - Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, - Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois - Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Ils tombent épuisés, la bataille était rude. - Près d'un fleuve, au hasard sur le dos, sur le flanc, - Ils gisent, engourdis par tant de lassitude - Qu'ils sont bien, dans la boue et dans leur propre sang.
Dans cette Europe humide et noire, comment alors ne pas recevoir avec un tremblement de regret et de difficile complicité, ce cri du vieux Chateaubriand à Ampère partant en Grèce : « Vous n'aurez retrouvé ni une feuille des oliviers ni un grain des raisins que j'ai vus dans l'Attique. Je regrette jusqu'à l'herbe de mon temps. Je n'ai pas eu la force de faire vivre une bruyère. » Et nous aussi, enfoncés, malgré notre jeune sang, dans la terrible vieillesse de ce dernier siècle, nous regrettons parfois l'herbe de tous les temps, la feuille de l'olivier que nous n'irons plus voir pour elle-même, et les raisins de la liberté.
Laissez-moi vous emmener aux assises. Regardez comment, aujourd’hui, dans notre pays qui se veut celui des Droits de l’homme, on juge un homme pour un crime de sang. Observez le président quand il pose ses questions, devinez qui l’agace le plus : l’accusé, l’avocat qui le défend, ou l’avocat général qui l’accuse ? Prêtez attention aux arguments de ce dernier, chargé de prouver la culpabilité de l’homme du box : Est-il convaincant ? Fait-il des efforts pour l’être ?
O soleil poignardé d'où jaillit le sang de l'aurore ! Mon coeur cette nuit s'est pris dans un lourd lacis de lianes et je n'ai point retrouvé la clairière du sommeil...
Quand t'abats un arbre, dit-elle, à la fin il est couché par terre et la sève coule comme un sang. Quand t'abats une femme, elle reste debout.
Tu as commis un grand crime. Tu n'es plus un roi mais un assassin. Un meurtre abominable ensanglante tes mains. Te voilà couvert du sang de tes sujets.
Les mères vous font en saignant
Et vous tiennent toute la vie
Par un ruban de chair à vif
On est élevé dans des cages
On vit en mâchant des morceaux
Des seins arrachés en saignant
Qu'on accroche au bord des berceaux
On a du sang sur tout le corps
Et comme on n'aime pas le voir
On fait couler celui des autres
Un jour, il n'y en aura plus
On sera libres.Non, ne faites pas la fin
Mon amie a du chagrin
Elle attend le prince charmant
Elle attend le prince de sang
Qui viendra un jour la délivrer, la sauver.Il n'est rien si cruel ne si aimant le sang qu'est un tyran couard.
Lire c'est faire l'épreuve de soi dans la parole d'un autre, faire venir de l'encre par voie de sang jusqu'au fond de l'âme et que cette âme en soit imprégnée, manger ce qu'on lit, le transformer en soi et se transformer en lui.
Ne nous fâchons pas (1966) de Georges Lautner de Michel Audiard
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Les Feuilles d'automne (1831), I, Ce siècle avait deux ans de Victor Hugo
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Le Paysan de Paris chante de Louis Aragon
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L'Homme qui rit (1869) de Victor Hugo
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La Liberté ou l'Amour (1927) de Robert Desnos
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« Aux origines des cultures du peuple : entretien avec Kateb Yacine » (1987), dans Revue Awal, n° 9/1992 - Hommage à Kateb Yacine, Kateb Yacine, éd. MSH, 1992, p. 125
de Yacine Kateb
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Né d'aucune femme (2019) de Franck Bouysse
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Solitude de la pitié (1930), Le Chant du monde de Jean Giono
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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La cavale du géomètre de Arto Paasilinna
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Michel Serres, 9 mai 2008, France Culture, dans Vendredis de la philosophie. de Michel Serres
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Les Fleurs du Mal (1857) de Charles Baudelaire
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Les chemins de la liberté (1945), la mort dans l'âme de Jean-Paul Sartre
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Les Feuilles d'automne (1831), Ce siècle avait deux ans de Victor Hugo
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Poésies de René François Armand Prudhomme, dit Sully Prudhomme
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Prométhée aux Enfers in L'été, 1946 de Albert Camus
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Bête noire (2012) de Eric Dupond-Moretti
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L'Envers du Soleil (1970) de Jean-Baptiste Tati Loutard
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Grâce et dénuement (1997) de Cécile Gavriloff, dite Alice Ferney
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Charly 9 (2013) de Jean Teulé
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Cantilènes en gelée de Boris Vian
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Le roman d’Émilie Jolie (2004) de Philippe Chatel
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Artaxerxès, 37 de Jacques Amyot
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L'épuisement de Christian Bobin
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