Citation nous n avons jamais
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Une Sélection de 70 citations et proverbes sur le thème nous n avons jamais.
70 citations
Notre cauchemar actuel, la Bombe, s'y trouve déjà en germe. En 1959, ce n'était déjà pas drôle, cela l'est encore moins maintenant car le risque n'a fait que croître. Cela n'a jamais rien eu de subliminal. A part cette succession de fous criminels qui sont au pouvoir depuis 1945, et qui auraient pu y faire quelque chose, nous autres, pauvres moutons, nous avons vécu en proie à une peur élémentaire et universelle. Sans doute avons-nous tous essayé, à un degré quelconque, de vivre dans la lente escalade de l'impuissance et de la terreur, soit en essayant de penser à autre chose, soit en perdant carrément la tête. Parmi ces différentes manifestations d'impuissance, une solution se présentait : en faire de la fiction, le cas échéant, comme ici sur le fond d'un lieu et d'une époque plus pittoresques.
Nous n’avons jamais, jamais, jamais échoué en Amérique lorsque nous avons agi ensemble. Et aujourd’hui, en ce moment et cet endroit, faisons en sorte que de recommencer, tous ensemble. Recommençons à nous écouter, à nous entendre, à nous voir. Faites preuve de respect les uns envers les autres. La politique ne doit pas être un feu qui détruit tout sur son passage.
Je n'ai jamais rencontré Marine Le Pen. Nous avons échangé par téléphone. Aujourd'hui, elle est la seule candidate qui n'est pas pieds et poings liés devant les Allemands. Manifestement, elle est la seule à avoir le tempérament pour rétablir la souveraineté de la France. Elle a, je crois, le sens de l'État au point de préserver notre nation.
Nous avons toujours besoin d'un point extérieur sur lequel nous appuyer, afin d'appliquer le levier de la critique. C'est particulièrement vrai en psychologie, où, de par la nature de la matière, nous sommes beaucoup plus impliqués subjectivement que dans toute autre science. Comment, par exemple, pouvons-nous prendre conscience des particularités nationales si nous n'avons jamais eu l'occasion de considérer notre propre nation de l'extérieur ? La considérer de l'extérieur signifie la considérer du point de vue d'une autre nation. Pour ce faire, nous devons acquérir une connaissance suffisante de la psyché collective étrangère, et au cours de ce processus d'assimilation, nous rencontrons toutes ces compatibilités qui constituent le préjugé national et la particularité nationale. Tout ce qui nous irrite chez les autres peut nous conduire à la compréhension de nous-mêmes.
Nous avons tous éprouvé ces sentiments-là un jour ou l’autre. Œdipe ou pas, c’est un plaisir, après tant d’années, de prendre la place de son père, et c’est un plaisir parfaitement innocent. D’ailleurs, pourquoi en vouloir à oedipe ? Il n’a été qu’une victime. Ce pauvre Œdipe n’a jamais eu l’intention de faire de mal à qui que ce soit.
Si nous sommes la plus grande nation qui ait jamais existé sous le soleil, c’est avant tout, semble-t-il, parce que nous avons réussi à susciter cette frénésie du travail chez nos salariés ! Nous possédons bien sûr d’autres raisons de nous glorifier, comme par exemple notre consommation d’alcool qui atteint une valeur annuelle d’un milliard deux cent cinquante millions de dollars et qui double tous les dix ans.
Nous avons nos génies ; ils ont ici leur journalistes : et tous nous font trembler parce que nous ne savons jamais ce qu'ils pensent. Une affaire les intéresse-t-elle ? Ils la montent en épingle. Dans le cas contraire ils font autour d'elle la grande conspiration du silence.
On nous a souvent dit que l'histoire est indifférente, mais nous avons toujours tendance à considérer sa ladrerie ou sa générosité comme faisant partie d'un plan préétabli; nous n'écoutons jamais réellement...
J'ai décidé de faire une sorte d'autobiographie avec des anecdotes qui me sont revenues à l'esprit en lisant ces journaux, des commentaires aussi, et j'ai parlé des gens qui m'ont été si importants, ils me manquaient dans cette lecture, alors nous avons fait un mélange, qui, je pense, n'a jamais été fait, de journaux de l'époque et de souvenirs d'aujourd'hui.
Nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons, jamais plus irrémédiablement malheureux que si nous avons perdu la personne aimée et son amour.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Nous savons tous ici que le droit est la plus puissante des écoles de l'imagination. Jamais poète n'a interprété la nature aussi librement qu'un juriste la réalité.
Cette Europe qui jamais ne cessa de parler de l'homme, jamais de proclamer qu'elle n'était inquiète que de l'homme, nous savons aujourd'hui de quelles souffrances l'humanité a payé chacune des victoires de son esprit.
Un archéologue fouille toujours animé d'un double espoir. Nous ne savons jamais si nous trouvons ce que nous cherchons, ou si nous cherchons ce que nous trouvons.
Jamais nous n'avons été plus libres que sous l'occupation allemande.
Nous avons déjà dit que la mémoire de Crébillon était surprenante: elle le fut jusqu'à la fin de sa vie, il n'écrivait jamais ses pièces qu'au moment où il fallait les faire représenter.
Le vent s'est calmé, la terre est humide de rosée,
la tempête d'étoiles dans le ciel va s'arrêter.
Et bientôt chacun d'entre nous va dormir sous la terre, nous
qui n'avons jamais laissé les autres dormir dessus.Nos vies n'ont pas d'importance, elles coulent au fond du temps, pourtant nous avons existé et rien ne l'empêchera : bien que liquides, nos joies ne s'évaporent jamais.
La vie est triste, courte, amère et décevante
Nous ne savons jamais si nous sommes aimés
Nous ne savons jamais si l'ami qui nous vante
Ne nous a pas d'un mot la veille diffamésMoi je ne comprenais pas les enfants qui aimaient aller chez leurs grands-parents. Elles me terrifiaient ces vieilles personnes, à vouloir qu'on les aime et qu'on touche leurs peaux en gants de toilette. Tout sombrait chez eux : les bajoues, le cou, les bras, les lèvres. Ils voulaient nous faire jouer à des jeux trop vieux pour nous : ils ne comprenaient pas que nous étions des enfants modernes. Ils avaient chez eux des produits qui n'existaient pas ailleurs. Des savons écaillés qui trempaient dans un jus maronnâtre, des granules d'arnica, des boîtes de nourriture qu'on ne voyait jamais dans nos supermarchés, c'était comme aller dans un pays étranger, la vieillesse.
Nous ne savons jamais quelles vies nous influençons ou non, ni quand ni pourquoi. Du moins, pas avant que l'avenir n'ait submergé le présent. Nous l'apprenons quand il est trop tard.
Les images que nous avons tous vues de l’agression de Michel Zecler sont inacceptables. Elles nous font honte. La France ne doit jamais se résoudre à la violence ou la brutalité, d’où qu’elles viennent. La France ne doit jamais laisser prospérer la haine ou le racisme.
Je n'avais jamais noté combien l'âge nous rend libres. A vingt ans, nous sommes le produit de notre éducation, mais à quarante ans, enfin, le résultat de nos choix - si nous en avons fait.
Seul à seul avec soi, dans la certitude de soi, dans la solitude de soi : voici un autre enfer. Horreur d'être clos dedans soi, de ne pouvoir être que seulement soi. Infiniment et finement soi, et jamais rien d'autre. Finir là où tout a commencé : en soi, pour soi, à soi, vers soi, au fin fond de soi. Être ramené à soi, à soi seul, comme dans une souricière. Et non seulement n'être que soi, mais n'être que le sempiternel même soi, un soi sans issue, habiter sa tautologie, se confondre avec ce que nous avons fini par être : rien que soi. Soi et rien d'autre. C'est à devenir fou.
Le bonheur, la possession de la beauté, ne sont pas des choses inaccessibles et nous avons fait oeuvre inutile en y renonçant à jamais.
L'Homme qui apprenait lentement (2012) de Thomas Pynchon
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Discours d’investiture devant le Capitole à Washington 20 janvier 2021 de Joe Biden
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Interview Le Figaro, 2 avril 2017, par Emmanuel Galiero de Marie-France Garaud
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Ma vie, souvenirs, rêves et pensées (1961) de Carl Gustav Jung
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Défendre Jacob (2012) de William Landay
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La Jungle (1905) de Upton Sinclair
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Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
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Justine de Lawrence Durrell
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Munkey Diaries : Le journal intime de Jane Birkin de Jane Birkin
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Malaise dans la civilisation (1930) de Sigmund Freud
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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La guerre de Troie n'aura pas lieu (1935), II, 5, Hector de Jean Giraudoux
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Les Damnés de la terre (1961) de Frantz Fanon
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Le Cerveau de Kennedy (2005) de Henning Mankell
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Situations III (1949) de Jean-Paul Sartre
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Eloges, Crébillon de Jean le Rond d'Alembert
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Insomnie et autres poèmes de Marina Tsvétaeva
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Oona & Salinger (2014) de Frédéric Beigbeder
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Coup d'éventail (1856) de Claudia Bachi
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La fille de son père (2010) de Anne Berest
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22/11/63 (2013) de Stephen King
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Emmanuel Macron, vendredi 27 novembre 2020, sur Facebook. de Emmanuel Macron
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Concerto à la mémoire d'un ange (2010) de Eric-Emmanuel Schmitt
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Rompre de Yann Moix
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A la recherche du temps perdu, A l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919) de Marcel Proust
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