Citation De eau sur la
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480 citations
À côté d'eux, il y a une vieille dame avec un visage très doux. Parfois l'âge réussit cela, au lieu de creuser les traits, il les adoucit, les rides font des sourires aux yeux, la peau devient duveteuse et douce comme celle d'un bébé avec simplement les sillons en plus, les paupières se sont un peu affaissées sur les yeux mais juste assez pour effacer la dureté du regard.
Ils avancent dans le bruit lourd des chaînes.Ils se traînent, frappent la terre de leur malheur. c'est le bruit du fer qui claque et gémit dans le vent. La longue file des épuisés et des mourants. Leurs grimaces de douleur et leurs lèvres brûlées. Leurs yeux aveugles. Leur peau déchirée. Et on dirait que ce n'est pas une caravane qui passe, mais une seule personne, une seule douleur qui pose son pas sur la plaine et l'écrase.
Le chêne un jour dit au roseau :
« Vous avez bien sujet d'accuser la nature ;
Un roitelet pour vous est un pesant fardeau.
Le moindre vent qui d'aventure
Fait rider la face de l'eau
Vous oblige à baisser la tête :
Cependant que mon front, au Caucase pareil,
Non content d'arrêter les rayons du soleil,
Brave l'effort de la tempête.
Tout vous est aquilon, tout me semble zéphyr.
Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage
Dont je couvre le voisinage,
Vous n'auriez pas tant à souffrir :
Je vous défendrais de l'orage.
Mais vous naissez le plus souvent
Sur les humides bords des royaumes du vent.
La nature envers vous me semble bien injuste.Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Quoi qu'il fît, il ne pouvait échapper à ses définitions. Il ne devait pas se faire d'illusions. Le Kanun était plus puissant qu'il ne semblait. Il étendait son pouvoir partout, sur les terres, sur les bornes des champs, il pénétrait dans les fondations des maisons, les tombes, les églises, les routes, les marchés, les noces, il gravissait les alpages et montait même plus haut, jusqu'au ciel, d'où il retombait sous forme de pluie pour remplir les voies d'eau, qui étaient la cause d'un bon tiers des meurtres.
La poésie peut être une affaire vitale, l'apothéose de toutes lucidités, l'arrachement du bandeau que la vie met sur les yeux des vivants pour qu'ils n'aient pas trop peur à cet instant dernier qu'est chaque instant passant.
La poésie au fond, c'est faire voler la lourdeur du monde sur la légèreté des vers, comme un caillou ricoche sur l'eau.
L'amour est semblable à l'année, sa plus belle saison est son printemps. Tout n'est encore que promesses et que fleurs, il est vrai; mais ces impalpables parfums suffisent à vous nourrir plus délicieusement que les fruits les plus savoureux, et même au milieu des riches moissons de l'été, au sein des abondantes récoltes de l'automne, la pensée se reporte toujours avec un bonheur mêlé de regret, sur ces limpides matinées d'avril, où l'oiseau chantait moins doucement sur les feuilles que notre amour dans notre coeur.
La grande pirogue qui était devenue monstre, poisson naviguant sur les hautes eaux, avec sa chambre de comptes et les enfers d'en dessous ; l'eau à l'infini comme une glace qu'il faut casser pour contempler ton image ; le fond des eaux où les boulets t'ont ensouché ;
N'ayant rien vu qui ressemblât à un étang, et craignant d'être sur la mauvaise route, il s'arrêta et regarda autour de lui. Dans l'océan de ténèbres, il put distinguer une ferme isolée et un rideau d'arbres, dominés par la sombre montagne.
Le culte du présentisme se situe à l'exact opposé du désir d'inscrire ses actes dans la longue durée. Le grec antique n'est pas l'homme de Zuckerberg. Il ne veut pas coller à l'écran du miroir comme l'insecte sur le pare-brise du présent. Les réseaux sociaux sont des entreprises de désagrégation automatique de la mémoire. Aussitôt postée, l'image est oubliée. Le nouveau Minotaure du World Wild Web a renversé le principe de l'impérissabilité. Gonglé de l'illusion d'apparaître, on se fait absorber par la matrice digitale, grand sac stomacal. Nul héros grec n'a besoin d'un site internet. Il préfère riposter que poster.
Un matin d'hiver, il partit avant le jour, bien équipé, une arbalète sur l'épaule et un trousseau de flèches à l'arçon de la selle.
L'amour est une chose sérieuse comme la terre, sérieuse comme nos plaines vides où souffle un vieux chant de guerre, comme nos plaines sous lesquelles sont enterrées plusieurs strates de cadavres, nos marécages, nos steppes, l'amour remonte le cours du temps, il revient aux origines, il réveille les conflits, déterre les haches, il demande de préciser sa loyauté, de déposer une obole sur son seuil avant d'entrer, on ne reste jamais à un seul niveau du temps, aucune unité de lieu, d'espace, l'amour rappelle qu'il y a des frontières et qu'on ne les franchit pas impunément.
Nous chanterons les grandes foules agitées par le travail, le plaisir ou la révolte ; les ressacs multicolores et polyphoniques des révolutions dans les capitales modernes ; la vibration nocturne des arsenaux et des chantiers sous leurs violentes lunes électriques ; les gares gloutonnes avaleuses de serpents qui fument ; les usines suspendues aux nuages par les ficelles de leurs fumées ; les ponts aux bonds de gymnastes lancés sur la coutellerie diabolique des fleuves ensoleillés ; les paquebots aventureux flairant l'horizon ; les locomotives au grand poitrail, qui piaffent sur les rails, tels d'énormes chevaux d'acier bridés de longs tuyaux, et le vol glissant des aéroplanes, dont l'hélice a des claquements de drapeau et des applaudissements de foule enthousiaste.
Chaque couple a ses pierres d’achoppement ; on presse un bouton, on allume l’orage. Pour vider la rancoeur, croit-on, on remet sur le métier le tissu des discordes qui n’ont pas d’issue ; on dit les mots agaçants, on souligne les évidences, on gratte les plaies, on cherche le point de rupture. Un jeu malsain d’enfants. On joue à être bête, on joue à être naïf, on soulève les sujets cent fois évoqués, qu’on attaque par un angle nouveau, on s’affronte.
Sur ce sentiment inconnu, dont l'ennui, la douceur m'obsèdent, j'hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse.
Dans ce tableau sans défauts visibles, il faut s'arrêter sur les détails. Personne n'a l'idée de le faire. Ils préfèrent la douce et rassurante surface des sentiments, lisse et souple, ne surtout pas discerner les tâches noires, les dysfonctionnements, les tourments.
J'ai un âge où, apparemment, mon avis compte. On me sonde, on me consulte avant de me traîner de force dans des lieux hostiles. Quand vos enfants cessent de vous demander d'où ils viennent et ne vous disent plus où ils vont, disait un proverbe affiché à l'entrée du Super-U l'été dernier, c'est qu'ils sont devenus des ados. Je me souviens que mon père l'avait lu à haute voix, avec l'air d'un disciple de Confucius qui médite les paroles du Maître. Alors qu'en réalité, c'était juste une grosse connerie écrite au marqueur bleu effaçable sur un panneau d'hypermarché, entre la météo du jour et « Le Conseil de votre poissonnier »...
Attraper le bonheur, c'est vouloir retenir un papillon dans sa main ou le prendre avec un filet. Tu précipites le filet sur lui et il s'abîme, c'est un bonheur gâché. Si c'est un bonheur agile, on ne ne peut le faire prisonnier et l'on court sans fin, c'est une agitation inutile, le bonheur est parti. Parfois il se laisse prendre sans dommage, il ne s'est pas débattu et il reste bien sage, un peu frileux sous le filet. C'est un bonheur fragile, fatigué, malade peut-être. Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l'abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l'emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois il meurt. Il faut être comme l'arbre à papillons, prêt à accueillir le bonheur, et tu verras, il viendra sur ton épaule.
Je sais que si je parle, si j'essaye de dire quelque chose, ce sont les larmes qui vont sortir. Et avec elles, ce chagrin immense qui dort en moi et que je ne sais pas arrêter quand il se réveille. Comme les vagues dans lesquelles Baptiste m'emmène et qui me tirent sous l'eau, m'écrasent et m'aspirent à nouveau au moment même où je crois qu'elles me délivrent. Puis me recrachent à demi asphyxié sur la rive, un peu moins vivant.
C'est un été sur la péninsule armoricaine, qu'importe qu'il pleuve, qu'il vente, les éclaircies sont généreuses, ils se baigneront dans la darse ou ils iront explorer pour la centième fois la grotte Absinthe qu'il faut forcer avec le flux pour rejoindre ses entrailles, un théâtre de reflets qui s'ouvre sur trente mètres de large, là aussi voilà un secret, le secret des falaises, il règne dans cette cavité une semi-obscurité, l'eau y est fraîche, les voix résonnent, les respirations font de la buée entre les parois, et alors que leurs jambes ne sont plus que des pointillés mobiles, ils ont la sensation d'être immergés dans l'instant même, pris dans le miel des photons et des reflets, autant dire l'éternité, l'éternité de Kergat...
Les habitants de ce pays furent transportés d'Afrique dans ce qu'on appelait le Nouveau – monde sur des bateaux négriers où ils mourraient en tas. On n'ose estimer à près de cinquante millions le nombre d'hommes de femmes et d'enfants qui furent ainsi arrachés à la Matrice et coulèrent au fond de l'océan ou furent échoués comme écume au long des côtes amérindiennes.
La solitude est une chose bien étrange. Elle vous envahit, tout doucement et sans faire de bruit, s'assoit à vos côtés dans le noir, vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur votre peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre coeur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin. C'est une compagne de chaque instant, qui vous serre la main pour mieux vous tirer vers le bas quand vous luttez pour vous redresser.
Personne sur le plateau de télévision n'eut la grossièreté de lui demander mais au fait, un directeur de cabinet de Pierre Laval, ça faisait quoi exactement de ses journées en 1942 ? Notamment les 16 et 17 juillet ?
Vous avez mis le pied gauche sur la rainure de cuivre, et de votre épaule droite vous essayez en vain de pousser un peu plus le panneau coulissant. Vous vous introduisez par l'étroite ouverture en vous frottant contre ses bords, puis, votre valise couverte de granuleux cuir sombre couleur d'épaisse bouteille, votre valise assez petite d'homme habitué aux longs voyages, vous l'arrachez par sa poignée collante, avec vos doigts qui se sont échauffés, si peu lourde qu'elle soit, de l'avoir portée jusqu'ici, vous la soulevez et vous sentez vos muscles et vos tendons se dessiner non seulement dans vos phalanges, dans votre paume, votre poignet et votre bras, mais dans votre épaule aussi, dans toute la moitié du dos et dans vos vertèbres depuis votre cou jusqu'aux reins.
La Noce d'Anna (2005) de Nathacha Appanah
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Bakhita (2017) de Véronique Olmi
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Fables (1668 à 1694), Livre premier, XXII, le Chêne et le Roseau de Jean de La Fontaine
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Avril brisé (1978) de Ismaïl Kadaré
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La Dame blanche (2007) de Christian Bobin
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Saltatempo (2001) de Stefano Benni
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Histoire morale des femmes (1848) de Ernest Legouvé
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La Case du Commandeur (1981) de Edouard Glissant
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Musashi, La Parfaite Lumière (2000) de Eiji Yoshikawa
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Un été avec Homère de Sylvain Tesson
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La légende de Saint Julien l'Hospitalier (1877) de Gustave Flaubert
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Le dernier amour d'Attila Kiss de Julia Kerninon
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Manifeste du futurisme, Le Figaro, 20 février 1909. de Filippo Tommaso Marinetti
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Rien n'est noir (2019) de Claire Berest
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Bonjour tristesse (1954) de Françoise Sagan
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Le malheur du bas de Inès Bayard
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Comment (bien) rater ses vacances (2010) de Anne Percin
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Les Dames de nage (2009) de Bernard Giraudeau
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Un jour ce sera vide (2020) de Hugo Lindenberg
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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La Case du Commandeur (1981) de Edouard Glissant
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Insaisissable, tome 1 : Ne me touche pas de Tahereh Mafi
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Des gens très bien (2011) de Alexandre Jardin
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La Modification (1957) de Michel Butor
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