Citation Elle ou moi
Découvrez une citation Elle ou moi - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Elle ou moi issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Elle ou moi.
140 citations
Nous sommes la voisine sans histoires du deuxième étage au fond du couloir, celle dont la poubelle est toujours rentrée, qui vous sourit chaleureusement dans l’escalier et que l’on n’entend jamais derrière sa porte close. Dans nos vies muettes de désespoir, nous sommes cette Femme d’En Haut, avec ou sans foutu chat tigré ou fichu labrador qui court partout, et personne ne s’aperçoit que nous sommes furieuses. Nous sommes complètement invisibles. Je ne voulais pas le croire, ou je croyais que ça ne s’appliquait pas à moi, mais j’ai découvert que je n’étais pas différente des autres. L’enjeu est maintenant de savoir quelle stratégie adopter, que faire de cette invisibilité, comment la rendre incandescente.
Au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés, ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité, par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer, qu'en répondant : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi. »
Et ce qui me fait souffrir, ce n'est pas tant la mort d'un amour que celle d'un être vraiment vivant que nous avions créé l'un et l'autre, que peut-être moi j'avais créé seule… Cet être était une union de vous et de moi, tels que nous nous voulions l'un et l'autre. C'était vous comme j'avais besoin que vous fussiez ; non pas un admirateur de ma personne comme vous avez prétendu, mais un homme qui m'aimait ; qui, à cause de cet amour, trouvait de l'intérêt à tout ce qui venait de moi ; devant lui, je pouvais avoir tous mes défauts et toutes mes qualités ; je pouvais me laisser aller au désordre… ce désordre lyrique et inattendu où tous les instincts se livrent en paroles et en cris pour ensuite permettre aux sûres directions de l'âme de retrouver la route et de continuer. Et j'imaginais qu'aucun de ces abandons ne troublait votre amour et votre confiance.
Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles ! Voilà où réside notre liberté : nous sommes libres de jouer avec les cartes que l'on nous a distribuées. Et nous sommes également libres d'y jouer comme nous l'entendons, en fonction - là est l'ironie - de la chance de chacun, de sa patience, de son intelligence, son intuition et son audace : vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu. Que reste-t-il donc de la liberté de choix dans ce cas ? Pas grand-chose, selon ta mère, sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer, de jouer ou de ne plus jouer, d'essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d'y renoncer, bref - nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l'inertie. C'est en gros ce que disait ta mère, mais avec des mots à moi. Pas les siens. Avec les siens, je n'en suis pas capable
Pour moi c'est un jour qui a beaucoup compté, ma communion solennelle. C'est le jour où j'ai appris que Dieu fond dans la bouche, pas dans la main.
Je rêvais peu dans ce temps-là, ou plutôt je croyais sentir que la faculté de rêver s'était transformée en moi. Il me semblait qu'elle avait passé des impressions du sommeil dans celles de la vie réelle.
Elle avait des bas de soie noire montant au-dessus du genou. Je n'avais pu encore la voir jusqu'au cul (ce nom que j'employais avec Simone est de beaucoup pour moi le plus joli des noms du sexe).
Pour moi, on peut parler de chef-d'oeuvre quand j'éprouve la sensation puissante et claire d'avoir vécu ou pensé ce que l'oeuvre je suis en train de lire, regarder ou écouter, exprime, qu'elle dit exactement la même chose que moi, mais au moyen d'une phrase meilleure, d'une composition plastique ou musicale plus belle que je n'aurais pu l'imaginer. Il m'arrive d'éprouver de manière fugace un sentiment de beauté et de bonheur. Si cela m'arrive en lisant un livre, c'est pour moi de la grande littérature, si cela se produit au cinéma, c'est pour moi du grand cinéma.
J'avais un rapport charnel à la pellicule. C'est ma plus belle déclaration d'amour au cinéma. Dans les années 1980, je les achetais à la casse où les bobines abîmées étaient envoyées. Des informateurs me prévenaient des arrivages, je fonçais pour les rapporter chez moi et les restaurer. Je me suis ruiné pour acheter mes films préférés.
Pour moi, la littérature est une sorte de trésor sans limites, une brocante où chacun peut fouiller et trouver ce qu'il veut. Il y a tant de formes différentes, tant de genres littéraires, des romans, des récits, des correspondances, des journaux, des sensibilités et des écritures différentes... Il y en a trop, certes, mais il y en a pour tout le monde. C'est une connexion mystérieuse, magique, la sensibilité d'un auteur qui rencontre celle d'un lecteur.
Oh ! Cette dernière chaîne de l'Himalaya, le dernier col très large qui s'inclinait vers une pente descendant à la steppe immense, déserte, où s'érige, sentinelle puérile mais émouvante, le fortin de la première ville tibétaine… Moi, je serais restée là des jours… des mois peut-être et parfois la folle envie me prend de louer des yacks, d'emmener deux ou trois serviteurs tibétains plus robustes que les miens et de remonter là-haut pour revoir… voir mieux, davantage, cela que je ne reverrai jamais…
Il y a chez moi une aversion telle de la politique qu'aujourd'hui, où c'est vraiment un devoir de voter, je m'abstiens.
Je ne sais pas si tu appelleras cela un mariage brillant. Moi, cela me fait l'effet d'un mariage au temps où les rois épousaient les bergères, et encore la bergère est-elle moins qu'une bergère, mais d'ailleurs charmante.
Dans un roman, une maison ou une personne tient entièrement sa signification, son existence même, de l'écrivain. Ici, une maison ou une personne ne tient de moi que sa signification la plus restreinte: sa vraie signification est bien plus grande, gigantesque. Elle est d'exister ici et maintenant, comme vous et moi, et comme aucun personnage de l'imagination ne peut exister. Son immense poids, son mystère et sa dignité tiennent en ce fait.
Vanessa cédait au rire fou. Ce rire généreux qu’elle avait, cette pluie de gaîté tendre, dégonflait ma mauvaise humeur, me ramenait par la main au jardin Selvaggi. Elle braqua sur moi la lanterne que secouaient encore ses accès de rire et je sentis, à mon front, le contact fortifiant, la chaleur fondante de ses doigts familiers qui me dépeignaient.
Moi, les mots j'aime bien. J'aime bien les phrases longues, les soupirs qui s'éternisent. J'aime bien quand les mots cachent parfois ce qu'ils disent ou le disent d'une manière nouvelle.
Vous savez ce que ça représente aujourd’hui d’entretenir une âme, une conscience ? Attention, article de luxe ! Faites le compte et vous verrez que cela revient plus cher qu’un SUV ! Et je vous parle d’une âme, d’une conscience normale, pas de celle de Shakespeare, Tchekhov ou Kafka. À propos, c’était de la bonne qualité, du moins c’est ce qu’on m’en a dit, parce que moi, personnellement, je n’ai rien lu de ce qu’ils ont écrit.
Je suis menacé (que ne disent-ils pas ? ) d'un rose vif, d'une pluie continuelle ou d'un faux pas sur mes bonds. Ils regardent mes yeux comme des vers luisants s'il fait nuit ou bien ils font quelques pas en moi du côté de l'ombre.
Norma Jeane travaillait énormément, de façon obsessionnelle. Quand j'ai commencé mes recherches, j'ai revu, par ordre chronologique, tous les films dans lesquels elle a joué: Quand la ville dort, Les hommes préfèrent les blondes, Sept ans de réflexion, Bus Stop, Les Misfits... C'était une véritable artiste qui de film en film améliorait son jeu, sa présence. C'est, pour moi, un aspect fondamental du livre, montrer comment cette femme a vraiment travaillé pour être actrice alors que jamais personne n'a reconnu son intelligence, sa sensibilité, sa capacité d'imagination. J'ai voulu montrer ce versant de sa personnalité, l'indéniable talent qu'elle avait en dépit de sa timidité et de son manque d'assurance. Le monde l'a mal comprise ou pas comprise du tout. Elle n'était qu'un sex-symbol.
Que vous ayez fréquenté l'école ou que vous soyez analphabète, que vous viviez sur le boulevard ou sur la ruelle, vous prendrez des coups tout comme moi. Nous sommes tous dans le même bateau et nous allons tous recevoir les mêmes coups du même homme. Il se trouve précisément que cet homme est blanc. Tous nous avons subi, dans ce pays, l'oppression politique imposée par l'homme blanc, l'exploitation économique imposée par l'homme blanc et la dégradation sociale imposée par l'homme blanc.
Lorsque nous défendons un point de vue, nous nous défendons d'abord nous-même. Nous sommes les mercenaires de nos préjugés. Au nom de quelle raison supérieure pourrait-on nous convaincre d'abdiquer notre propre identité ? Changer d'avis sur une question importante n'est envisageable que si la différence entre les deux points de vue s'inscrit elle-même dans l'angle plus ou moins fermé de notre moi, ce territoire tellement surdéterminé que l'on peut se demander si c'est bien nous qui pensons ce que nous pensons, et si ce que nous appelons notre liberté n'est pas simplement le moyen de fournir un peu de jeu aux mécanismes serrés de notre esclavage.
Archimède : Primo : Monsieur, je ne couche jamais sous les ponts, quelle que soit la saison. Secundo : à partir de Novembre, je ne connais que deux solutions convenables : la prison ou la Côte d'Azur. Ça c'est mon truc !
Arsène : Tu y es déjà allé ?
Archimède : Oui Monsieur, mais je ne supportais pas la nourriture.
Arsène : C'est pas de la prison que je te parle, c'est de la Côte d'Azur.
Archimède : Moi aussi, c'est de la Côte d'Azur. Je ne supporte pas l'huile d'olive.Le temps passe et je « passe » dans le temps, c'est un phénomène que je vis, que je sens, qui me transporte irrésistiblement. Tout ce dont je suis sûr, c'est qu'il est plus âgé que moi, mais quand a-t-il commencé ? C'est l'idée de « création », présente dans un grand nombre de traditions religieuses, en particulier dans la Genèse, qui nous interpelle. Elle implique qu'il fut un temps pendant lequel il n'y avait « rien », que le monde n'a pas toujours existé, qu'il est apparu soudain comme sortant d'un néant primordial ou du chapeau d'un magicien. Cette idée est purement spéculative. Une invention de l'esprit humain.
Duncan: Permettez-moi de vous le dire franchement, avec ma franchise habituelle. - Lady Duncan: Franchement ou non, cela revient au même.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

Claire Messud
Références de Claire Messud - Biographie de Claire Messud
Plus sur cette citation >> Citation de Claire Messud (n° 174426) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michel de Montaigne
Références de Michel de Montaigne - Biographie de Michel de Montaigne
Plus sur cette citation >> Citation de Michel de Montaigne (n° 155674) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Marcelle Sauvageot
Références de Marcelle Sauvageot - Biographie de Marcelle Sauvageot
Plus sur cette citation >> Citation de Marcelle Sauvageot (n° 161297) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Amos Oz
Références de Amos Oz - Biographie de Amos Oz
Plus sur cette citation >> Citation de Amos Oz (n° 158102) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Pierre Desproges
Références de Pierre Desproges - Biographie de Pierre Desproges
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Desproges (n° 148679) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Charles Nodier
Références de Charles Nodier - Biographie de Charles Nodier
Plus sur cette citation >> Citation de Charles Nodier (n° 98456) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Georges Bataille
Références de Georges Bataille - Biographie de Georges Bataille
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Bataille (n° 72948) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Krzysztof Kieslowski
Références de Krzysztof Kieslowski - Biographie de Krzysztof Kieslowski
Plus sur cette citation >> Citation de Krzysztof Kieslowski (n° 172550) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Daniel Bevilacqua, dit Christophe
Références de Daniel Bevilacqua, dit Christophe - Biographie de Daniel Bevilacqua, dit Christophe
Plus sur cette citation >> Citation de Daniel Bevilacqua, dit Christophe (n° 168536) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Norman Rush
Références de Norman Rush - Biographie de Norman Rush
Plus sur cette citation >> Citation de Norman Rush (n° 165150) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alexandra David-Neel
Références de Alexandra David-Neel - Biographie de Alexandra David-Neel
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandra David-Neel (n° 153510) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Edmond de Goncourt
Références de Edmond de Goncourt - Biographie de Edmond de Goncourt
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond de Goncourt (n° 102199) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Marcel Proust
Références de Marcel Proust - Biographie de Marcel Proust
Plus sur cette citation >> Citation de Marcel Proust (n° 68523) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






James Agee
Références de James Agee - Biographie de James Agee
Plus sur cette citation >> Citation de James Agee (n° 162137) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Julien Gracq
Références de Julien Gracq - Biographie de Julien Gracq
Plus sur cette citation >> Citation de Julien Gracq (n° 166137) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Grégoire Delacourt
Références de Grégoire Delacourt - Biographie de Grégoire Delacourt
Plus sur cette citation >> Citation de Grégoire Delacourt (n° 142768) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






David Grossman
Références de David Grossman - Biographie de David Grossman
Plus sur cette citation >> Citation de David Grossman (n° 165308) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






André Breton
Références de André Breton - Biographie de André Breton
Plus sur cette citation >> Citation de André Breton (n° 150570) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Joyce Carol Oates
Références de Joyce Carol Oates - Biographie de Joyce Carol Oates
Plus sur cette citation >> Citation de Joyce Carol Oates (n° 164502) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Malcolm X
Références de Malcolm X - Biographie de Malcolm X
Plus sur cette citation >> Citation de Malcolm X (n° 152725) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Georges Picard
Références de Georges Picard - Biographie de Georges Picard
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Picard (n° 171440) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michel Audiard
Références de Michel Audiard - Biographie de Michel Audiard
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Audiard (n° 157197) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Hubert Reeves
Références de Hubert Reeves - Biographie de Hubert Reeves
Plus sur cette citation >> Citation de Hubert Reeves (n° 153779) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Eugène Ionesco
Références de Eugène Ionesco - Biographie de Eugène Ionesco
Plus sur cette citation >> Citation de Eugène Ionesco (n° 21626) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :





Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Elle ou moi
Toutes les citations sur Elle ou moi Citations Elle ou moi Citation Elle ou moi et Proverbe Elle ou moi Citation sur elle Citations courtes elle
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens