Citation Est ce encore
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Une Sélection de 730 citations et proverbes sur le thème Est ce encore.
730 citations
... le silence au théâtre, c'est encore ce qu'on réussit le plus facilement...
Il pleut. C’est Noël.
Vers le Nord, c’est mieux :
Il y a la neige qui fait mal.
Et le froid, bien pire encore.
Et tout le monde est content
Parce qu’il faut l’être aujourd’hui.
Il pleut en ce jour de Noël.
Mais cela est préférable à la neige.
Car bien que ce soit
Le Noël conventionnel,
Quand mon corps refroidit
J’ai le froid mais pas Noël.
Je laisse sentir cette période à ceux qui le souhaitent,
Et Noël à ceux qui l’ont fait,
Car si j’écris un autre quatrain
J’en aurais les pieds gelés.
Je ne veux pas faire partie des ingrats
Mais avec ces cieux obscurs,
On a mis dans mes chaussures
Seulement ce que la pluie m’a apporté.Etre debout, c'est être encore trop grande, trop haute face au choc terrassant de la vérité. Pour soutenir cette vérité sans vertige, il faut être à terre, déjà tombée.
Par la politesse, dès le premier abord, les hommes qui n'ont pas encore eu le temps de savoir s'ils ont du mérite commencent par s'en supposer, c'est à dire par faire ce qui peut mutuellement leur être le plus avantageux ainsi que le plus agréable.
Ce qui est chouette le premier jour de Roland-Garros, c'est que tous les Français sont encore en compétition.
J'ai le sentiment d'avoir tout réussi. Je suis heureux de tout ce qui m'est arrivé et de tout ce qui m'arrive encore aujourd'hui. Et je sais que je dois aussi cela à Jéhovah. Enfin, à Dieu, appelez-le comme vous voulez...
Pour tous ces primitifs, crâne très réduit, cervelle d'idiot. La brute antique est avant tout une atroce machine qui happe, un ventre qui digère. L'intellect ne compte pas encore. Cela viendra plus tard.
Changer d'heure ? Avait-il lancé, et puis quoi encore ? Ils pourraient demander à la lune de se lever à l'ouest tant qu ils y sont, ces ânes ! Ne compte pas sur moi pour me plier à cette couillonnade !
Revenir sur ses pas quand on a fait fausse route, c'est encore ce qu'on peut faire de mieux.
Encore heureux s'il arrive à décrocher un poste quelconque, il n'est pas agrégé, sa thèse, je ne sais pas ce qu'elle vaudra...
L'homme qui ne dort pas, et je n'ai depuis quelques mois que trop d'occasion de le constater sur moi-même, se refuse plus ou moins consciemment à faire confiance au flot des choses. Frère de la Mort... Isocrate se trompait, et sa phrase n'est qu'un amplification de rhéteur. Je commence à connaître la mort ; elle a d'autres secrets, plus étrangers encore à notre présente condition d'homme. Et pourtant, si enchevêtrés, si profonds sont ces mystères d'absence et de partiel oubli, que nous sentons bien confluer quelque part la source blanche et la source sombre.
Un homme politique n'a pas eu honte de me dire récemment, lors d'une réception à l’Élysée : « Vous êtes trop moderne, trop violente, trop passionnante, trop libre mais, pour un Français, vous restez la femme des Choses de la vie, Madame.» Je ne suis pourtant pas aussi vulgaire qu'on pourrait le penser. Je suis comme il est normal, dans ce pays. Même si je constate de plus en plus qu'une chose m'irrite constamment : savoir que je suis attrayante pour tout le monde ! Encore ! Ou plus que jamais. Mais j'en ai assez.
Les limites de son rôle dérivent de la nature de ses vertus. Et ces vertus, c’est encore aux lectures d’enfance que je vais aller demander en quoi elles consistent. Ce livre que vous m’avez vu tout à l’heure lire au coin du feu dans la salle à manger, dans ma chambre au fond du fauteuil revêtu d’un appuie-tête au crochet, et pendant les belles heures de l’après-midi, sous les noisetiers et les aubépines du parc, où tous les souffles des champs infinis venaient de si loin jouer silencieusement auprès de moi, tendant sans mot dire à mes narines distraites l’odeur des trèfles et des sainfoins sur lesquels mes yeux fatigués se levaient parfois, ce livre, comme vos yeux en se penchant vers lui ne pourraient déchiffrer son titre à vingt ans de distance, ma mémoire, dont la vue est plus appropriée à ce genre de perceptions, va vous dire quel il était « le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier. J’en aimais par-dessus tout deux ou trois phrases qui m’apparaissaient comme les plus originales et les plus belles de l’ouvrage.
Je rêve que l'enfance m'est rendue, et je secoue ma tête grise. Quoi, vous me hantez encore, images que je croyais depuis longtemps oubliées?
L'instant décisif de l'évolution humaine dure toujours. C'est pourquoi les mouvements spirituels et révolutionnaires, qui déclarent nul tout ce qui fut jadis, le font à juste titre, car rien encore ne s'est produit.
Le racisme dans le police, c’était Charonne, en 1962. Le racisme dans la police c’était il y a 30 ans l’assassinat, parce que c'en était un, de Malik Oussekine (...) La famille de Malik Oussekine et tous ceux qui ont pleuré la mort de Malik Oussekine attendent toujours aujourd'hui les excuses de la police française pour cet assassinat. La violence et le racisme dans la police, c’était, il y a 15 ans, Zyed et Bouna, pour lesquels nous attendons encore les excuses de la police. Le racisme dans la police, c’est évidemment aujourd’hui Théo, c’est évidemment Adama.
S'ils s'improvisent conservateurs de la banquise, rapporteurs d'ossements et d'algues, photographes des terres lointaines et des moindres actions de leur vie quotidienne, c'est qu'il y a quelque chose d'encore plus fragile qu'ils veulent sans doute sauver. Pas seulement le lieu où ils se tiennent mais la croyance en un retour- la ville bruyante et la maison lointaine, le lien avec qui les attend.
Le souvenir du pays est un de ceux qui ne se perdent pas : l'amour du sol sur lequel on est né, où l'on a joui du premier bonheur, la pensée des lieux auxquels se rattachent nos premières sensations, sont des pensées qui ne meurent point, un amour qui survit à l'âge et qui brûle encore de tout son feu dans le cerveau déjà glacé du vieillard.
Quand j’étais enfant, je marchais à peine. Pour aller d’un endroit à un autre, je courais. Et puis, à un moment donné, j’ai arrêté de courir. Quand je cours aujourd’hui, mais que je ne cours plus, je redeviens un enfant. Quand j’écris de la poésie, j’en suis moins sûr. Cependant, mon enfance me rappelle une indistinction entre réalité et imaginaire. Dans une certaine mesure, cela persiste. Le premier livre qui m’a marqué, ce sont les contes de fées d’Andersen. J’ai cru en eux. Pour moi, la Petite Sirène était une vraie personne, et encore aujourd’hui, je ne suis pas loin de penser que la Petite Sirène est réelle.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La vérité c’est que j’absorbais tout ce que je pouvais jusqu’à devenir l’air autour d’eux, jusqu’à être aspiré dans leurs poumons, puis recraché, puis aspiré encore pour saisir l’essence même de leur bonheur. J’aurais bu leur sang si ça m’avait permis de comprendre ce que c’est que d’avoir une famille comme les autres.
Méchant ! s'exclama La Force en s'adressant au prisonnier. Tu croyais bien avoir tué le roi, mais il n'est pas mort ! - Si fait, répondit l'autre, il l'est, et s'il ne l'était pas, je le tuerais encore.
Ce que je sais plus encore, c'est que ma mère était un génie de l'amour. Comme la tienne, toi qui me lis.
Dès fois, je me dis que la vie c'est vraiment un coup de chance quand même. On trouve qu'on a pas de bol, mais on pense pas aux gens qui en ont encore moins que nous... Si, si, ça existe.
Il n'y a point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice.
Le rendez-vous de Senlis de Jean Anouilh
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Noël (1922) de Fernando Pessoa
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La Courte échelle (1993) de Noëlle Chatelet
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Carnets tome 1, 4 février 1802 de Joseph Joubert
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Vu à la radio (2001) de Laurent Ruquier
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Paris Match, 22 octobre 2009. de Prince Rogers Nelson, dit Prince
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Souvenirs entomologiques (1870-1889) de Jean Henri Fabre
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Des grives aux loups (1979) de Claude Michelet
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Proverbe de Proverbes kurdes
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Le Planétarium (1959) de Nathalie Sarraute
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Alexis ou le Traité du vain combat (1929) de Marguerite Yourcenar
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Romy Schneider intime, d'Alice Schwarzer (2018) de Romy Schneider
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Le château de Boncourt de Adelbert von Chamisso de Boncourt
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Journal intime (1948) de Franz Kafka
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Vidéo de juin 2020, exhumée le 22 mai 2021 sur Twitter par Pierre Liscia de Audrey Pulvar
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Un monde sans rivage (2019) de Hélène Gaudy
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Le Robinson suisse (1812) de Johann David Wyss
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Entretien exclusif en deux épisodes au Monde, par Jean Birnbaum, 30/12/2021 de Michel Houellebecq
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Un jour ce sera vide (2020) de Hugo Lindenberg
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L'assassinat d'Henri IV. Mystères d'un crime (2009) de Jean-Christian Petitfils
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Le livre de ma mère (1954) de Albert Cohen
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Kiffe kiffe demain (2004) de Faïza Guène
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De l'esprit des lois (1748) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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