Citation Je n ai pas le temps
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Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème Je n ai pas le temps.
120 citations
Je ne suis pas politicien, ni même spécialisé en sciences politiques ; à vrai dire, je ne suis pas spécialisé dans l'étude de grand-chose. Je ne suis pas démocrate, je ne suis pas républicain et je ne me tiens pas même pour un Américain. Si nous étions Américains, vous et moi, il n'y aurait pas de problème. Ces Hongrois qui viennent de débarquer, ils sont déjà des Américains ; les Polonais sont déjà des Américains ; les émigrants italiens sont déjà des Américains. Tout ce qui est venu d'Europe, tout ce qui a les yeux bleus, est déjà américain – Et depuis le temps que nous sommes dans ce pays, vous et moi, nous ne sommes pas encore des Américains.
Je veux jouer encore...
Je veux rire des montagnes de rires,
Je veux pleurer des torrents de larmes,
Je veux boire des bateaux entiers de vin
De Bordeaux et d'Italie
Et danser, crier, voler, nager dans tous Les océans
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Je veux chanter
Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix...
Je l'aime tant le temps qui reste...Il y a des clichés sur moi comme il y en a sur tous les sujets. Je n’ai jamais aimé jouer les héros. Les gars très sympathiques et merveilleux à qui le monde fait des misères, je trouve ça abject. Ça n’existe pas. Pour moi, l’être humain est hyper faillible et vulnérable. Je trouve ça dégueulasse de faire croire aux gens que le monde est binaire. Les gentils d’un côté, les méchants de l’autre… Ça ne m’intéresse pas, c’est toujours la même chose. Je cherche des personnages humains. Pour certains, quand on n’est pas en train de sourire tout le temps, on est un rabat-joie. Eh bien, soit!
J’ai voulu la pluie. Je l’ai tant voulue que quand elle est venue, je ne savais plus comment l’arrêter. C’était une grosse pluie rose, vert, bleu, elle prenait la couleur d’un rien. Elle assommait les oiseaux. Il a plu comme ça pendant je ne sais pas combien de temps. Les vieux disaient qu’ils n’avaient jamais vu ça. Ils parlaient de leurs ancêtres et de Dieu? et du ciel et de tout sauf de la raison de la pluie : moi.
Je me suis longtemps refusée à imiter les confrères qui publient leurs Mémoires, persuadés que leur moi mérite exhibition et que les épisodes de leur vie personnelle et professionnelle suscite l’intérêt. Le journalisme est un métier comme un autre et la télévision n’est souvent qu’une usine à baudruches. A tous ceux qui m’interrogeaient à ce sujet, je n’ai cessé de déclarer qu’à ce petit jeu narcissique, on ne me prendrait pas. Publier cet ouvrage m’oblige à manger mon chapeau. Me voici à mon tour piégée dans ce paradoxe : écrire comme tout le monde, en espérant intéresser tout le monde à une vie qui ne serait pas celle de tout le monde. Il faut assumer ses contradictions et ne pas avoir peur de se désavouer. C’est dit…
Je n'ai pas du tout l'impression d'avoir « réussi dans la vie ». En revanche, j'ai concrétisé un rêve, celui de réaliser un film. Mais pour y parvenir, j'ai eu l'impression d'avoir eu à me battre, tout le temps, tout le temps, tout le temps...
Mais je n'ai trouvé un peu d'espace que dans le vol de mon faucon et dans la prière, la seule route que ce temps m'ait laissé est un chemin intérieur. J'ai creusé ma foi pour m'évader et cette évasion passe par le reclusoir. N'est-ce pas étonnant ?
Je préfère être malheureux de temps en temps parce que je n'arrive pas à obtenir ce que je veux, qu'heureux tout le temps parce que je n'ai envie de rien!
Je n'écris pas pour une petite élite dont je n'ai cure, ni pour cette entité platonique adulée qu'on surnomme la Masse... j'écris pour moi, pour mes amis et pour adoucir le cours du temps.
J’ai formulé et proclamé la loi suivante : À mesure que la culture se développe, l’ornement disparaît des objets usuels. Je croyais apporter à mes contemporains une joie nouvelle ; ils ne m’en ont pas remercié. Au contraire, ce message les a remplis de tristesse ; ils étaient accablés à l’idée de ne pouvoir “créer” un ornement nouveau. Le premier nègre venu, les hommes de tous peuples et de tous siècles avaient inventé des ornements, et nous seuls, les hommes du XIXè siècle, n’en étions point capables ! En effet, les maisons, les meubles, les objets unis que les hommes des siècles précédents ont construits ou fabriqués n’ont pas été jugés dignes de survivre : ils ont disparu. Nous ne possédons pas un établi de menuisier du temps des Carolingiens. Par contre, la moindre planche qui portait un ornement quelconque a été recueillie, nettoyée, soignée, et nous bâtissons des palais pour abriter cette moisissure ; et nous nous promettons entre les vitrines, et nous rougissons de notre impuissance.
« On ne va quand même pas croire à ces conneries », ai-je entendu. Il faut bien y croire puisque c’est là, puisque nous voilà cloîtrés, calfeutrés. Puisque jamais l’avenir n’a paru aussi incertain. Nous sommes confinés. J’écris cette phrase mais elle ne veut rien dire. Il est 6 heures du matin, le jour pointe à peine, le printemps est déjà là. Sur le mur qui me fait face, le camélia a fleuri. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Ça ne peut pas être. Cela ressemble aux histoires qu’on invente à Hollywood, à ces films que l’on regarde en se serrant contre son amoureux, en cachant son visage dans son cou quand on a trop peur. C’est le réel qui est de la fiction.
Je n’écris pas « pour», j’écris « parce que ». J’écris, parce que je dois consigner ce qui m’arrive, je ne vais pas à l’usine dans une démarche d’écriture, j’y vais pour gagner des sous, parce que je n’ai pas le choix, sans idée préconçue, juste pour vendre la force de mes bras. Mais quand on débarque à l’usine, c’est d’une telle violence et en même temps d’une telle organisation assez fascinante, qu’il a fallu que je réfléchisse là-dessus, et que j’essaie d’en faire quelque chose de beau, de manière littéraire, pour ne pas sombrer dans l’enfer de la machine. Au départ, j’écris pour moi, pour me sauver.
Que de temps j'ai perdu à ne pas lire Shakespeare! Telle est l'opinion que j'ai de cet homme chaque fois que je reprends une de ses pièces. Après Le Marchand de Venise, j'aborde une fois de plus Les Deux Gentilshommes de Vérone.
On se défend de lire ce qu'on écrit sur nous, d'abord parce que je n'ai pas le temps. ... Je préfère lire ce qu'on écrit sur les autres. Ca construit.
Avoir l'heure m'a toujours paru quelque chose de ridicule, de fondamentalement mensonger, peut-être parce qu'une nécessité interne que je n'ai moi même jamais réussi à comprendre m'a toujours fait regimbe contre le pouvoir du temps et me tenir à l'écart de ce que l'on a coutume d'appeler l'actualité, dans l'espoir que le temps ne passe pas, ne soit point révolu, que je puisse revenir en arrière et lui courir après, que là-bas tout soit alors comme avant ou plus précisément, que tous les moments existent simultanément, auquel cas rien de ce que raconte l'histoire ne serait vrai, rien de ce qui s'est produit ne s'est encore produit mais au contraire se produit juste à l'instant où nous le pensons, ce qui d'un autre côté œuvre naturellement sur la perspective désespérante d'une détresse perpétuelle et d'un tourment sans fin.
Il y a longtemps que je ne suis pas allé en forêt. Je n'aime pas beaucoup ces zones inhumaines, je préfère rester à distance, sur la route, près des maisons, de la lumière. Ce qui me met mal à l'aise, ce qui - soyons honnête - me fait peur, ce ne sont pas les arbres, qui n'ont jamais fait de mal à personne, qui poussent tranquillement depuis toujours, ce n'est pas non plus la vie secrète qui s'y cache, les bêtes, invisibles mais sans doute innombrables, les oiseaux, les vers, les insectes, tout ce qui grouille, les limaces, les rongeurs (les loups ?) dissimulés dans les feuillages et l'ombre, je n'ai pas peur d'un écureuil ou d'un hibou - non, ce qui m'inquiète et me maintient à l'écart, c'est au contraire l'absence de vie perceptible, d'humanité, quand on regarde de l'extérieur (en voiture par exemple, ou derrière la vitre d'un train qui passe), le silence qu'on imagine, l'immobilité apparente de cet enclos vert figé, si vaste, rien ne bouge là-dedans depuis des années, des siècles, de loin on peut même supposer que rien n'y respire. Et à l'intérieur, dans le vert, il n'y a pas de témoin.
Il est temps d'aborder cette autre part de ma vie, celle dont je ne voulais pas. Celle qui commença par un baiser de dépit et parce qu'on m'y avait obligée. Une longue route où malgré les épines, j'ai tout de même cueilli quelques roses.
Quand on est à la baille dans l'Atlantique Nord, on n'a même pas le temps de réciter une prière: on meurt de froid presque instantanément. J'aime bien la vie et je n'ai aucune envie de périr bêtement. C'est pourquoi le cordage que j'ai capelé autour de ma taille est solide.
Je refuse d'être écrasé par la culpabilité de ne pouvoir trouver le temps de lire ou d'aller au bout des lectures que j'ai commencées. Je passe ma vie à acheter des œuvres que je ne lis pas, je tapisse mes murs de livres que je lirai un jour. C'est toujours ça de donné aux libraires.
Je n'écris pas pour une petite élite dont je n'ai cure, ni pour cette entité platonique adulée qu'on surnomme la Masse. Je ne crois pas à ces deux abstractions, chères au démagogue. J'écris pour moi, pour mes amis et pour adoucir le cours du temps.
J'ai réalisé, à force, que la position d'immobilité met en capacité de réfléchir et de travailler intensément. Ma mémoire, soumise à ce temps compressé, fait remonter des informations que je ne soupçonne pas, elle restitue ce qu'elle a filtré et stocké. Je pars alors de quatre ou cinq idées fortes qui m'ont marqué pendant les mois que j'ai passés à ne rien faire : le temps m'a permis de les ruminer, de les travailler comme un minerai de base.
Je suis tout et je suis rien. Je suis ce qu'on a fait de moi. J'accepte ce prix, cette palme, longtemps refusée, car j'aurais voulu qu'on la donne à mes metteurs en scène. J'ai été le premier violon ou piano et j'ai eu des chefs d'orchestre exceptionnels. C'est à eux qu'il faut donner le prix. Ils sont tous morts, alors, je prends le prix pour eux, en leur mémoire, en l'honneur de leur force, de leur talent. C'est pour ça que je suis là, sinon je n'y serais pas.
Je demeurai longtemps immobile près d'Ellénore sans vie. La conviction de sa mort n'avait pas encore pénétré dans mon âme; mes yeux contemplaient avec un étonnement stupide ce corps inanimé.
En dessous de 35 ans, un homme a trop à apprendre, et je n'ai pas le temps de lui faire la leçon.
Les braves gens ne savent pas ce qu'il en coûte de temps et de peine pour apprendre à lire. J'ai travaillé à cela quatre-vingts ans, et je ne peux pas dire encore que j'y sois arrivé.
« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
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Tant d'amour : Chanson Le temps qui reste (2007) de Jean-Loup Dabadie
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Interview Trois Couleurs, Propos recueillis par Renan Cros, Octobre 2017 de Jean-Pierre Bacri
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Ma reine (2017) de Jean-Baptiste Andrea
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Passé composé (2021) de Anne Sinclair
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Entretien Madame Figaro, Le 14 mai 2018 de Axelle Lafont
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Du domaine des Murmures (2011) de Carole Martinez
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Sans référence de Georges Wolinski
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Le Livre de sable (1978) de Jorge Luis Borges
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Le « Journal du confinement » de Leïla Slimani (2020) de Leïla Slimani
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Émission Par les temps qui courent Joseph Ponthus : L'usine a enlevé tout le gras de mes textes, France Culture, février 2019 de Joseph Ponthus
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Ce qui reste du jour (1966-1972), Journal IX (1972) de Julien Green
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Contact, l'encyclopédie de la création (Emission de TV canadienne). de Alain Ducasse
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Austerlitz (2001) de W. G. Sebald
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Au printemps des monstres (2021) de Philippe Jaenada
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Appelez-moi Jeanne (2009) de Élise Fischer
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Mémoires du large de Eric Tabarly
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Le complexe de Shéhérazade de Joann Sfar
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Le Livre de sable (1978) de Jorge Luis Borges
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Interview Le Monde, le 3 février 2017 de Jean-Paul Dubois
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Au Festival de Cannes 2019 le 19 mai 2019, discours pour la remise de la Palme d’or d’honneur pour l’ensemble de sa carrière de Alain Delon
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Adolphe (1815) de Benjamin Constant
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Ecstasy and me. La folle autobiographie de Hedy Lamarr de Hedy Lamarr
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Conversations avec Eckermann de Johann Wolfgang Goethe
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