Citation L ete qui
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1420 citations
Que reste-t-il d'une idée puisée voilà vingt-trois ans dans un livre lu d'une traite un soir d'adolescence ? C'est une page de - Siddharta Iil souffrait de la maladie d'Alzheimer. Sa mémoire était un paquet déchiqueté après Noël, les enfants Alzheimer s'étaient barrés avec le cadeau. - de Hermann Hesse, un bouquin lu la première fois à l'âge de dix-sept ans sur les conseils d'un professeur de français dont il faudrait parler un jour, on ne rend jamais assez hommage à ceux qui donnent. L'histoire d'un jeune homme qui se cherche, se perd et se retrouve, l'histoire d'une quête qui s'achève au bord d'un fleuve. Le héros écoute couler le fleuve et le fleuve lui raconte que le passé n'existe pas.
Plongez-vous dans de longues études; il n'y a de continuellement bon que l'habitude d'un travail entêté. Il s'en dégage un opium qui engourdit l'âme.
La polygamie est normale et même indispensable pour le bon équilibre du foyer conjugal. Si tu étais un peu reconnaissante, tu remercierais plutôt Allah d’avoir été seule pendant toutes ces années. Tu as bien profité de ta jeunesse sans partage. C’est égoïste à présent de montrer de l’amertume. Et puis, serais-tu plus sage que le Tout-Puissant qui a autorisé les hommes à avoir jusqu’à quatre épouses ? Es-tu plus importante que les épouses du Prophète qui ont accepté dignement cette polygamie ? Penses-tu être un homme pour affirmer qu’on ne peut aimer plusieurs femmes à la fois ?
Dans les fermes, on en prenait soin, des chiens, même s'il s'agissait des seuls animaux pas véritablement productifs, fidèles commis pourtant, à qui l'on confiait bien souvent les tourments et les secrets de l'âme, qui semblaient avoir été conçus pour cela également, et peut-être surtout, en échange d'un peu de soupe et parfois de caresses.
Je ne serais pas arrivée là si ma mère, un jour de 1959, n’avait pas décidé d’abandonner son mariage et ce qui allait avec : trois enfants âgés de 8, 6 et 3 ans. C’était une décision extrêmement courageuse, féministe et réfléchie. Aujourd’hui, j’ajouterais même « admirable », même si, sur le moment, les effets ont été dévastateurs, aussi bien pour elle que pour nous, ses enfants. Ce geste a immédiatement infligé un démenti à toutes sortes de mythes. Il m’a d’emblée donné une distance par rapport à ce que tout le monde prend pour des évidences. C’est pour cela qu’il est constitutif de mon être. « La vie vous fait des cadeaux en bien et en mal », dit un proverbe africain que j’affectionne. Eh bien, ce geste de ma mère fut un cadeau, un énorme cadeau… en mal.
C'est si loin à présent, comme un oiseau qui s'envole et devient un point dans le ciel. Mais notre fils a été témoin de cette amertume, à un âge trop avancé pour se laisser berner par de douces paroles, et trop jeune cependant pour connaître les étranges circonvolutions de nos coeurs.
Il faut, pour frapper quelqu'un, même au combat, se libérer d'un poids de civilisation qui enferme la plupart d'entre nous dans la fausseté et une douceur forcée. Cet écran ôté, c'est la vraie nature de l'homme qui se révèle.
C'est la maladie qui rend la santé agréable; le mal qui engendre le bien; c'est la faim qui fait désirer la satiété, et la fatigue le repos.
Il est des routes qui vont au feu, d'autres aux cimes, d'autres aux villages. A chacun la sienne. J'ignore ce qu'est la pureté, mais je sais que la folie est de ne pas suivre sa route.
Mélenchon, ce qui est terrible, c'est qu'il a été socialiste toute sa vie et que toute sa vie ça va le suivre.
Un amour qui n'a pas été réalisé ou, même, qui n'avait pas atteint la satiété, c'est toujours un volcan qui ne dort pas son dernier sommeil. Que les circonstances s'y prêtent, il flambe de nouveau.
L'art aujourd'hui est celui qui nous appartient réellement; il est notre propre reflet. Le condamner, c'est nous condamner nous-mêmes. Le passé peut bien regarder avec pitié la pauvreté de notre civilisation; l'avenir rira de la stérilité de notre art.
Pour citer Louis Jouvet : Le succès justifie tout et n'explique rien, mais seul l'insuccès peut être fécond. Voilà qui remet d'aplomb. Cela dit, tant qu'un acteur n'est pas reconnu, comme moi avec La discrète, il ne va pas bien. Il emmerde tout le monde.
Ainsi, pour toutes choses, c'est à la tête qu'il faut frapper. Les mains malheureuses et serviles qui ont «exécuté», elles nous font horreur, mais aussi pitié.
J'écris sur Auschwitz ; si j'ai été déporté, ce n'était pas pour recevoir le prix Nobel, mais pour être tué ; tout ce qui m'arrive d'autre relève de l'anecdote. Que je n'aie pas eu le prix Nobel est aussi absurde que si je l'avais eu.
Sans me répondre, il me toisa de la tête aux pieds; puis, comme satisfait de son examen, il considéra avec la même attention mon guide, qui avançait.
Il faut croire que les enfants et les bêtes sont comme tout le monde: on aime toujours bien qui est plus bête ou plus enfant que soi.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Je pense que la France n’est pas responsable du Vél’d’Hiv'. Je pense que, de manière générale, plus généralement, d’ailleurs, s’il y a des responsables, c’est ceux qui étaient au pouvoir à l’époque, ce n’est pas LA France. La France a été malmenée dans les esprits depuis des années. En réalité, on a appris à nos enfants qu’ils avaient toutes les raisons de la critiquer, de n’en voir que peut-être les aspects historiques les plus sombres. Donc je veux qu’ils soient à nouveau fiers d’être Français.
Il y en a des millions comme moi, rejetés de leur emploi, de leur chez-soi, dans la rue. C'est le siècle des déportations, des exodes, des camps, des nettoyages ethniques, des grandes migrations qui se termine maintenant. Des millions de gens sont le rebut de la société, morituri. Je suis comme eux, et je suis une sorte de simulateur parmi eux - suivre le mouvement.
Recevoir une pierre sur la tête, c'est un mal qui existe; la honte, l'infamie, l'opprobre, l'insulte, ne sont des maux qu'autant qu'on les sent. Il n'y a point de mal quand on ne sent rien.
Je m'arrête, saisie d'épouvante. Il y a des gens ici. Ils respirent la puanteur de leur propre fumier. Ils vivent baignés dans les insoutenables effluves de leur mort. C'est le cadavre que cela sent. Ne ferait-on pas tout, n'importe quoi, pour s'évader de cette fosse ? Il y a des gens ici. Leurs pieds s'engluent dans la chose visqueuse qui recouvre et asphyxie la terre. Leurs enfants ont le ventre rebondi, les membres rachitiques, les narines qui coulent, et la bouche qui avale. On déjoue la famine en absorbant ce qui sort de soi.
Quand on achète un appareil, on reçoit la notice qui va avec. Il n’y en a pas pour les êtres humains.
Dans notre société, ceux qui ont la connaissance la plus complète de ce qui se passe, sont aussi ceux qui sont les plus éloignés de voir le monde tel qu'il est.
Sauf durant les seize premières années de sa vie, où la religiosité, dans un milieu chrétien, était inévitable, M. l'abbé de Pradts n'avait jamais cru en Dieu. Son esprit n'avait pas besoin d'un Dieu ; son coeur n'avait pas besoin d'un Dieu. Le surnaturel était un monde qui lui était aussi fermé que celui des sciences, par exemple, ou celui de l'économie politique : le naturel le comblait largement. Selon lui, les hommes avaient inventé Dieu, parce que la grande majorité en avait besoin, de tête ou de coeur ; ce besoin était, selon lui, une des caractéristiques les plus communes de la faiblesse humaine. Ensuite ils avaient travaillé sans répit tant pour donner un sens à cette invention, que pour lui donner du prestige, afin de n'avoir pas honte d'elle, qui avouait si cruellement leur débilité. Comme ils étaient capables, toujours, du meilleur et du pire, ils avaient construit sur cette idée de Dieu, chacun dans son pays et dans son époque, un système plein de beautés et d'absurdités, en partie admirable, en partie risible, en partie odieux, duquel ils tiraient toutes sortes d'actes allant eux aussi de l'admirable à l'odieux, en passant par le risible. De ces édifices construits sur des nuées, le plus important était sans doute le catholicisme. Telles étaient les vues de M. l'abbé de Pradts, qui ne prétendaient ni à l'originalité ni à la profondeur.
Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
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Correspondance, 26 juillet 1851 de Gustave Flaubert
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Les impatientes (2020) de Djaïli Amadou Amal
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Glaise (2018) de Franck Bouysse
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Interview Le Monde, Propos recueillis par Annick Cojean, 23/05/2021 de Nancy Huston
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Le géant enfoui (2015) de Kazuo Ishiguro
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Le Grand Coeur (2012) de Jean-Christophe Rufin
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Les penseurs grecs avant Socrate de Héraclite
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L'Inquisiteur de Henri Gougaud
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Sélection du prix de l'humour politique 2011 de François Hollande
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Avec ou sans amour (1958) de Claire Martin
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Le Livre du Thé (1976) de Okakura Kakuzo
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Dans Studio ciné live, septembre 2014 de Fabrice Luchini
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Récits des temps de guerre de Georges Duhamel
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Sauvegarde, Journal 2001-2003 (2012) de Imre Kertész
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Carmen (1847) de Prosper Mérimée
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Le Temps mort et autres récits (1943-1949) de Eugène Avtsine, dit Claude Aveline
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Marine Le Pen, Le Grand Jury RTL-LeFigaro-LCI, Michèle Cotta et André Laurens, RTL, LCI, 9 avril 2017 de Marine Le Pen
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Chien (1988) de Paul Nizon
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L'Eloge de la folie (1508) de Erasme
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Contours du jour qui vient (2006) de Léonora Miano
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Semences magiques (2004) de Vidiadhar Surajprasad Naipaul
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1984 (1949) de George Orwell
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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