Citation On a tous en nous
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210 citations
Papa se mit à sourire, son calme devint effrayant et nous comprîmes tous qu'il était parti, sans retour, pour une colère majuscule, une colère telle qu'un homme n'en fait pas trois d'aussi belles dans sa vie.
Je te le dis et te le répète, l'école redeviendra un facteur d'intégration, grâce aux professeurs. Ils incarnent les vecteurs de la cohésion sociale. C'est un métier que je respecte, non pas, parce que je l'ai exercé, plutôt parce que les enseignants ont la capacité de nous élever, de nous intéresser. Certains d'entre eux s'en fichent bien sûr ! Dans tous les métiers, il y a… euh pardon pour ce mot, mais c'est vrai… il y a des cons.
« Plus jamais ça », c'est ce que disaient les déportés. Nous avions très peur de disparaître tous et qu'il n'y ait aucun survivant pour raconter cette tragédie. Il fallait que certains survivent pour pouvoir dire ce qui s'était passé et qu'il n'y ait plus jamais de semblable catastrophe. Aujourd'hui, à chaque accident, ou même pour des faits divers, on proclame « plus jamais ça », à tout propos et sans aucun discernement. Plus que le négationnisme, le danger, c'est qu'on compare des situations qui n'ont rien à voir. C'est à-dire la banalisation
Nous sommes tous prisonniers du système scolaire, si bien qu'une croyance superstitieuse nous aveugle, nous persuade que le savoir n'a de valeur que s'il nous est imposé, puis nous l'imposerons à d'autres - production et reproduction du savoir.
L'art de faire des vers, dût-on s'en indigner, - Doit être à plus haut prix que celui de régner. - Tous deux également nous portons des couronnes; - Mais, roi, je la reçus; poète, tu la donnes.
S'adressant à Pierre de Ronsard. de Heureux les avocats de la défense qui voient en l'homme sa meilleure part. Le crime peut être abominable ou incompréhensible, les preuves de la culpabilité accablantes, l'avocat de la défense n'oublie jamais que son client est un être humain comme nous tous. C'est pour cette raison, bien sûr, que tout accusé est digne d'être défendu.
À la réflexion, cette prétention à l’universalisme, ce mélange d’insolence et de fraternité, cet appel aux grands sentiments et à l’intérêt égoïste, ne nous rappellent-ils rien ? C’est peut-être aussi ce qui décrit le mieux l’attitude des Français, leur référence aux grands principes de la Révolution, la fierté, voire la suffisance qu’ils affichent et que bon nombre d’étrangers leur reprochent. Oui, entre les Français et les Américains, les points communs ne manquent pas. C’est ce qui les unit et les sépare. Voilà deux nations qui ont, l’une et l’autre, vocation à incarner les grandes aspirations de l’humanité, à parler au nom de tous, à transcender, par les valeurs qu’elles défendent, les vicissitudes de la conjoncture. L’Amérique s’étonne que la France puisse exprimer les mêmes prétentions qu’elle. La France n’est plus le phare de l’humanité et dénonce une Amérique qui lui aurait volé son rôle.
Il y a une différence absolue entre penser et sentir, entre concevoir quelque chose et le vivre. Nous en faisons l’expérience proprement sidérée quand arrive pour de bon la catastrophe dont nous avions pourtant envisagé tous les détails. Nous avions prévu le pire, mais quand il advient, il est encore pire que tout ce que nous avions imaginé : il est réel.
Pour tous la télé était la mise à disposition immédiate et peu coûteuse de la distraction, pour les épouses la tranquillité de garder leur mari à côté d’elle devant Sport Dimanche. Elle nous entourait d’une constante et impalpable sollicitude, qui flottait sur les visages souriants et unanimement compréhensifs des amateurs (Jacques Martin et Stéphane Collaro), leur mine bonhomme (Bernard Pivot, Alain Decaux). Elle nous unissait de plus en plus dans les mêmes curiosités, peurs et satisfactions, est-ce qu’on allait retrouver l’odieux meurtrier du petit Philippe Bertrand, le baron Empain, attraper Mesrine, est-ce que l’ayatollah Khomeiny regagnerait l’Iran
Ensuite nous regardons le paysage un moment tous les deux sans rien dire. La forme changeante des nuages crée des mouchetures sur le clair de lune. Le vent siffle à travers la pinède, on croirait qu'une armée de jardiniers ratissent le sol.
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
Le suicide n'est pas une preuve de courage, mais d'abandon. Des erreurs, des fautes, nous en commettons tous. La force d'un homme ne se mesure pas au nombre de coups qu'il peut donner.
Les faits historiques se succèdent, qui non seulement se contredisent, mais s'annulent. Rien n'est « irréversible » (comme on dit maintenant), au contraire, tout se renverse, et nous avons des milliers de preuves : un excès de science conduit à l'ignorance crasse, et c'est la curiosité de l'ignorance qui récrée la science ; des sociétés marxistes ont existé dix mille ans avant Marx, pour se transformer en régimes aristocratiques, suivant un processus révolutionnaire inverse à celui qui a l'air de vouloir occuper aujourd'hui notre besoin de mouvement ; des empires sont devenus des républiques, et vice versa ; des royaumes se sont anarchiquement balkanisés, pendant que des nomades se coagulaient en empire, pour devenir ensuite socialistes, après être passés par tous les stades et avant de repasser par tous les stades. Rien ne dure. l'histoire n'est que le catalogue des inconstances de fortune. Rien ne durera de ce que nous fabriquons aujourd'hui. L'extrême pointe de l'avenir nous pique les fesses et nous croyons que c'est le passé.
Le pasteur m'a adressé un bref mais éloquent signe de tête, facile à traduire : «Il est temps de prendre congé.» OK, mon révérend, comme vous voudrez. Prenons-nous par la main et chantons tous en choeur.
Je suis de tradition grecque, comme tous les philosophes ; mais on oublie trop souvent qu'il y a au moins deux traditions, celle de Platon et celle d'Aristote. J'ai longtemps été, en raison de mon intérêt pour les mathématiques, pleinement platonicien. Il m'a fallu un certain âge pour « découvrir » la pensée d'Aristote. Je suis maintenant devenu plutôt aristotélicien… Il suffit de lire les Allemands pour se rendre compte qu'ils sont eux-mêmes aristotéliciens, pour la bonne et simple raison qu'ils n'ont pas eu nos Lumières ni la Révolution française, qui a supprimé chez nous la tradition aristotélicienne pour ne garder que la tradition platonicienne. La tradition aristotélicienne étant associée au Moyen Âge, à la scolastique, au christianisme… D'une certaine manière, Heidegger, c'est du Aristote… Du Aristote traduit en Allemand.
On me cajole assez, et presque tous les hommes
Se vantent de suivre mes lois;
Mais que j'en connais peu dans le siècle où nous sommes,
Dont le coeur réponde à la voix!Nous avons nos génies ; ils ont ici leur journalistes : et tous nous font trembler parce que nous ne savons jamais ce qu'ils pensent. Une affaire les intéresse-t-elle ? Ils la montent en épingle. Dans le cas contraire ils font autour d'elle la grande conspiration du silence.
Si on savait, patron, dit-il, ce que disent les pierres, les fleurs, la pluie! Peut-être bien qu'elles appellent, qu'elles nous appellent, et que nous, on n'entend pas. Quand est-ce que les oreilles des gens s'ouvriront ? Quand est-ce qu'on aura les yeux ouverts pour voir ? Quand est-ce qu'on ouvrira les bras pour s'embrasser tous, les pierres, les fleurs, la pluie, les hommes ?
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Pourtant il n'y a pas que les maladies vaincues et les accidents qui se terminent bien qui puissent allonger le fil de notre vie. De tous les moyens qui nous aident à séjourner ici-bas plus longtemps que la normale, il en est deux qui, étonnamment, méritent la citation. L'amour et l'amitié.
Je me demande si tous les parents préfèrent l'un de leurs enfants. Si c'est une chose inévitable et qu'ils parviennent plus ou moins bien à cacher. Je me demande si mon père a préféré l'une de nous.
« Pourquoi m'as-tu piquée ? demande la grenouille au scorpion en plein milieu de la rivière. Par ta faute nous allons mourir tous les deux. — Parce que c'est dans ma nature », lui répond le scorpion.
Et si de probité tout était revêtu, - Si tous les coeurs étaient francs, justes et dociles, - La plupart des vertus nous seraient inutiles, - Puisqu'on en met l'usage à pouvoir sans ennui - Supporter, dans nos droits, l'injustice d'autrui.
Et si ce virus nous montrait qui sont les vrais héros, ceux qui trimaient déjà dans nos pensées lointaines, ce n'est que maintenant qu'ils font la une des journaux, pendant que le Cac 40 est en quarantaine. On se découvre soudain semblables, solidaires, tous dans le même bateau pour affronter le virus. C'était un peu moins le cas pour combattre la misère, on était moins unis pour accueillir l'Aquarius.
Le droit de supprimer tous ceux qui nous agacent devrait figurer en première place dans la constitution de la Cité idéale.
Chronique des Pasquier (1933-1945) de Georges Duhamel
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Le monde ne tourne pas rond, ma petite-fille (2017) de Sonia Mabrouk
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Interview de SIMONE VEIL par AGATHE LOGEART, Le Nouvel Observateur, n°2097, du 13 au 19 janvier 2005 de Simone Veil
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Une société sans école de Ivan Illich
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Charles IX (de France)
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Défendre Jacob (2012) de William Landay
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Comprendre les États-Unis aujourd’hui, André Kaspi, éd. Perrin, 2008 de André Kaspi
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Contre la bienveillance (2016) de Yves Michaud
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Les Années (2008) de Annie Ernaux
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Kafka sur le rivage (2002) de Haruki Murakami
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L’été, « Retour à Tipasa » (1952) de Albert Camus
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Le Projet Bleiberg (2010) de David S. Khara
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Les Trois Arbres de Palzem, 1984 de Jean Giono
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La Poursuite du bonheur (2001) de Douglas Kennedy
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Une intensité de lumière, entretien avec Michel Serres , Cahier Simone Weil, Cahier dirigé par Emmanuel Gabellieri et François l'Yvonnet, éd. Éditions de l'Herne, 2014 de Michel Serres
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Dialogue de l'amour et de l'amitié (1660), L'amitié de Charles Perrault
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Un Nègre à Paris (1959) de Bernard Dadié
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Décombres flamboyants (2019) de Tom Lanoye
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La fille de son père (2010) de Anne Berest
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La Jeune Fille et la nuit (2018) de Guillaume Musso
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Le Misanthrope (1666) de Molière
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Effets Secondaires (2020) de Fabien Marsaud, dit Grand Corps Malade
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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