Citation ce qui a lieu
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème ce qui a lieu.
210 citations
Malheur à celui qui, au milieu de la jeunesse, s'abandonne à un amour sans espoir. Malheur à celui qui se livre à une douce rêverie, avant de savoir où sa chimère le mène, et s'il peut être payé de retour.
Sauf durant les seize premières années de sa vie, où la religiosité, dans un milieu chrétien, était inévitable, M. l'abbé de Pradts n'avait jamais cru en Dieu. Son esprit n'avait pas besoin d'un Dieu ; son coeur n'avait pas besoin d'un Dieu. Le surnaturel était un monde qui lui était aussi fermé que celui des sciences, par exemple, ou celui de l'économie politique : le naturel le comblait largement. Selon lui, les hommes avaient inventé Dieu, parce que la grande majorité en avait besoin, de tête ou de coeur ; ce besoin était, selon lui, une des caractéristiques les plus communes de la faiblesse humaine. Ensuite ils avaient travaillé sans répit tant pour donner un sens à cette invention, que pour lui donner du prestige, afin de n'avoir pas honte d'elle, qui avouait si cruellement leur débilité. Comme ils étaient capables, toujours, du meilleur et du pire, ils avaient construit sur cette idée de Dieu, chacun dans son pays et dans son époque, un système plein de beautés et d'absurdités, en partie admirable, en partie risible, en partie odieux, duquel ils tiraient toutes sortes d'actes allant eux aussi de l'admirable à l'odieux, en passant par le risible. De ces édifices construits sur des nuées, le plus important était sans doute le catholicisme. Telles étaient les vues de M. l'abbé de Pradts, qui ne prétendaient ni à l'originalité ni à la profondeur.
Certaines personnes écoutent et n'entendent pas, elles ne suivent que leur propre idée. Il y en a qui sont au milieu de la société à l'état de monologue incessant de l'esprit et de la parole. Ce sont les pestes de la conversation.
Nous sommes tous esclaves de nos affections, esclaves des préjugés de ceux que nous aimons ; nous devons aussi gagner notre vie, et par cela devenir un rouage de machine. Le plus pénible, ce sont les concessions qu'il faut faire aux préjugés de la société qui nous entoure ; on en fait plus ou moins selon qu'on se sent plus faible ou plus fort. Si l'on n'en fait pas assez, on est écrasé. Si l'on en fait trop, on est vil et l'on prend le dégoût de soi-même. Me voilà loin des principes que j'avais il y a dix ans. Je croyais à cette époque qu'il fallait être excessif en tout, et ne faire aucune concession au milieu qui nous entoure. Je croyais qu'il fallait exagérer ses défauts comme ses qualités.
Les deux hommes montent à bord séparément — les employés du Protocole s'affairent pour leur éviter la rencontre. Deux ex-présidents ! D'assez petite taille, il mobilise un reste d'aplomb dans un comique effort de solennité, de grandeur… Tom se rappelle vaguement leurs mandatures. Le premier a été abandonné par son épouse, le second — au lieu de vaquer aux affaires de l'État — filait chaque nuit, sur un scooter, rejoindre sa maîtresse… On peine à imaginer ce batifolage élyséen, vu l'horreur de ce qui est survenu, depuis. Éclatement de l'Europe, guerres civiles, ensauvagement du monde.
La clémence ne se commande pas. Elle tombe du ciel, comme une pluie douce, sur le lieu qu'elle domine; double bienfaisance, elle fait du bien à celui qui donne et à celui qui reçoit.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Vous me dites que vous souffrez. Cela vous tiendrait lieu d'oraison, si vous n'en aviez pas d'autre. La souffrance est l'oraison de ceux qui ne pensent ni ne prient.
Ce que j'aime dans la perte de la compréhension du langage - lorsque au milieu de la foule on ne perçoit plus le sens de ce qui s'échange dans les langues à soi étrangères - c'est la vérité éclatante de celui des corps, qu'aucun signifiant de la parole ne vient plus parasiter. Le corps sait, il témoigne en vérité de ce que le corset du bavardage recouvre, et dit absolument ce que le sujet identifié ignore ou refuse de savoir.
Pour décrire ce que j’ai ressenti dans ce cimetière, un mot me vient à l’esprit : celui de « solastalgie ». Ce concept, inventé au début des années 2000 par un philosophe australien, décrit une nostalgie d’un type particulier, celle d’un lieu où l’on se trouve mais dont on sait pourtant qu’il n’existe plus. Ce qui était n’est plus, mais les traces d’un monde disparu en conservent le souvenir aussi solidement que s’il était indemne.
Au milieu des ténèbres, je souris à la vie, comme si je connaissais la formule magique qui change le mal et la tristesse en clarté et en bonheur. Alors, je cherche une raison à cette joie, je n'en trouve pas et ne puis m'empêcher de sourire de moi-même. Je crois que la vie elle-même est l'unique secret. Car l'obscurité profonde est belle et douce comme du velours, quand on sait l'observer. Et la vie chante aussi dans le sable qui crisse sous les pas lents et lourds de la sentinelle, quand on sait l'entendre.
Là, les gens disent le rap c'est la liberté!, mais c'est là le conformisme le plus hallucinant du monde. C'est d'un ennui noir! La fausse rébellion systématique. La liberté absolue, c'est cette vérité au milieu des contraintes. C'est le génie de La Fontaine, c'est le génie de Molière. Ce qui nous aide à vivre. Ce qui nous donne la structure d'une langue essentielle dans la nécessité.
Ce qui distingue le plus l'homme de la bête, n'est-ce pas son sens du miraculeux? L'enfant qui, pour la première fois, approche une coquille de son oreille, au lieu d'y reconnaître les rumeurs de son jeune sang, croit entendre toute la mer.
Ne devrions-nous pas simplement être reconnaissants pour ce qu'on nous a accordé, au lieu de nous lamenter sur ce qui selon nous nous a été refusé ?
La principale cause qui enchérit toutes choses en quelque lieu que ce soit est l'abondance de ce qui donne estimation et prix aux choses.
On enterre les gens dans une tombe à leur taille pendant trois ans, au Vietnam. Puis, ce délai passé, la chair évaporée, on transvase dans un coffret plus chétif ce qu'il reste du corps : les os. Les cimetières sont donc faits de petits coffrets d'os. Ce sont eux qui demeurent, singuliers. Le premier cercueil est temporaire, public, il ne sert qu'à désosser et reçoit, tous les trois ans, différents morts. C'est un lieu de repos passager. Ensuite, dans l'unique boîte, il n'y aura plus que les os propres, comme si la chair importait peu, modifiable telle qu'elle est le long d'une vie, tantôt fraîche, tendre, lisse, tantôt ridée, malade, tavelée, tantôt douce, serrée, tantôt rêche, distendue, tantôt cisaillée tantôt… À la fin, il n'y a plus que les os qui s'entrechoquent.
Au-delà de l'horreur, ce qui marquerait le plus, ce fut d'avoir trouvé, au moment où il s'y attendait le moins, une parcelle d'humanité dans ce lieu, comme un bourgeon en fleur au mitan d'un champ de bataille. Un clin d'oeil de la vie, là où des hommes donnaient avec jubilation la mort à d'autres hommes.
Dans les librairies, en général, j'ai remarqué que, souvent, ce sont les livres qui nous choisissent, nous appellent, et moi, qui suis pas enclin à me laisser dicter mes gestes ou mes pensées, là je me laisse alors volontiers faire, au milieu des livres.
À un moment ou à un autre de notre vie, la plupart d'entre nous ressentent un appel émanant du plus profond de soi. Parfois, il est si discret qu'on l'entend à peine - comme un léger coup à la porte. Il ne fait pas plus de bruit qu'une feuille qui tombe. On peut alors s'imaginer l'avoir rêvé. Mais il peut aussi retentir plus fort et prendre la forme d'un malaise persistant, d'une sensation de manque. Cette sensation nous réveille au beau milieu de la nuit, et l'on commence à s'interroger sur le sens de notre routine quotidienne.
Confucius rendait les honneurs qui leur conviennent - aux morts, dans l'Empire bleu du Milieu. - Il souriait parce que l'eau éteint le feu - Comme la Vie éteint l'homme vers l'époque moyenne.
Une civilisation est, me semble-t-il, une sorte d'état de grâce ou l'autorité tutélaire, au lieu d'étouffer ses aspirations, offre à l'homme de la Cité, protection et liberté. Par « protection », j'entends un certain nombre de règles de vie en société qui restreignent nos libertés les plus anarchiques, pour que s'épanouissent la spiritualité dans certains cas, dans d'autres la création artistique (expression très générale) qui est une des nobles aspirations de l'homme sur cette terre. Même les artistes les plus athées, les plus dépourvus de spiritualité sont encore des croyants, ou alors, c'est que leur œuvre est sans âme. L'équilibre à trouver entre la main de velours et l'ouverture à toutes les créations et un des plus difficiles problèmes de ces derniers siècles. On en connait peu d'exemples depuis l'Antiquité, je parlerais volontiers, dans ce cas, d'harmonie, une harmonie qui pour les bienheureux possédés par la foi se nimbe du mystère de la poésie, puis, pour les autres, est le terrain idéal de la spéculation esthétique et philosophique
Il n'y a pas besoin de science-fiction pour concevoir un mécanisme de contrôle qui donne à chaque instant la position d'un élément en milieu ouvert, animal dans une réserve, homme dans une entreprise (collier électronique). Félix Guattari imaginait une ville où chacun pouvait quitter son appartement, sa rue, son quartier, grâce à sa carte électronique (dividuelle) qui faisait lever telle ou telle barrière ; mais aussi bien la carte pouvait être recrachée tel jour, ou entre telles heures ; ce qui compte n'est pas la barrière, mais l'ordinateur qui repère la position de chacun, licite ou illicite, et opère une modulation universelle.
Une huître baile,
Au beau milieu de son écaille;
Elle reçoit la goutte d'eau,
Qui s'y durcit, et devient perle fine.
Le ciel tire souvent ce qu'on voit de plus beau,
De la plus obscure origine.La rapidité d'un geste: rapidité nécessaire pour saisir ce qui est le lieu même de cette peinture, son nouveau continent: l'éphémère ... une vue entièrement contenue dans un acte de vision.
L'idée forte de l'errance, c'est qu'on ne prend rien à personne. On ne s'accapare pas un lieu. L'errant est quelqu'un qui passe, il ne s'approprie pas, il ne vole pas.

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