Citation ce qui a lieu
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème ce qui a lieu.
210 citations
Les malheurs avaient assoupli Lily au lieu de la raidir, et la substance qui plie est plus difficile à briser que celle qui résiste.
Il existe de par les chemins une race de gens qui, au lieu d'accepter une place que leur offrait le monde, ont voulu s'en faire une tout seuls, à coups d'audace ou de talent.
La clémence ne se commande pas. Elle tombe du ciel, comme une pluie douce, sur le lieu qu'elle domine; double bienfaisance, elle fait du bien à celui qui donne et à celui qui reçoit.
Une erreur, source de toutes les erreurs, et qui semble commune à tous les hommes, c'est de juger le mot au lieu de la chose: ce qu'ils on condamné sous une dénomination , ils l'approuvent sous une autre.
Je me demande, et je commençais déjà à me demander à l'époque ce que devait, ce que doit faire en vérité ma génération, celle de gens vivants à une époque ultérieure, des informations sur les atrocités de l'extermination des juifs. Nous ne devons pas nous imaginer comprendre ce qui est inconcevable ; nous n'avons pas le droit de comparer ce qui échappe à toute comparaison ; nous n'avons pas le droit de questionner, car celui qui le fait, même s'il ne met pas les atrocités en doute, en fait néanmoins un objet de communication, au lieu de les prendre comme une chose devant laquelle on ne peut que s'imposer le silence de l'horreur, de la honte et de la culpabilité.
J'ai toujours pensé que la Suisse préfigurait ce qui allait nous arriver en Europe, c'est-à-dire une mort vivante par étouffement dans un matérialisme total. Avec, en lieu et place de la politique et de la création, l'administration et la frustration.
Ce qui distingue le plus l'homme de la bête, n'est-ce pas son sens du miraculeux? L'enfant qui, pour la première fois, approche une coquille de son oreille, au lieu d'y reconnaître les rumeurs de son jeune sang, croit entendre toute la mer.
En même temps, je me demande, et je commençais déjà à me demander à l'époque ce que devait, ce que doit faire en vérité ma génération, celle de gens vivant à une époque ultérieure, des informations sur les atrocités de l'extermination des juifs. Nous ne devons pas nous imaginer comprendre ce qui est inconcevable ; nous n'avons pas le droit de comparer ce qui échappe à toute comparaison ; nous n'avons pas le droit de questionner, car celui qui le fait, même s'il ne met pas les atrocités en doute, en fait néanmoins un objet de communication, au lieu de les prendre comme une chose devant laquelle on ne peut qu'imposer le silence de l'horreur, de la honte et de la culpabilité.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.L'impossible n'est pas le contraire du possible. L'impossible, c'est un possible qui est arrivé à incandescence. C'est un possible qui a eu lieu quand même. L'impossible est une tumeur du possible.
L’école maternelle est un lieu intermédiaire bizarre, où commence l’apprentissage du monde des adultes, mais où certains détails de la vie, habituellement embêtants pour les tout-petits, leur sont adaptés, compensations offertes à ceux qui devront s’habituer à en obtenir de moins en moins.
Sauf durant les seize premières années de sa vie, où la religiosité, dans un milieu chrétien, était inévitable, M. l'abbé de Pradts n'avait jamais cru en Dieu. Son esprit n'avait pas besoin d'un Dieu ; son coeur n'avait pas besoin d'un Dieu. Le surnaturel était un monde qui lui était aussi fermé que celui des sciences, par exemple, ou celui de l'économie politique : le naturel le comblait largement. Selon lui, les hommes avaient inventé Dieu, parce que la grande majorité en avait besoin, de tête ou de coeur ; ce besoin était, selon lui, une des caractéristiques les plus communes de la faiblesse humaine. Ensuite ils avaient travaillé sans répit tant pour donner un sens à cette invention, que pour lui donner du prestige, afin de n'avoir pas honte d'elle, qui avouait si cruellement leur débilité. Comme ils étaient capables, toujours, du meilleur et du pire, ils avaient construit sur cette idée de Dieu, chacun dans son pays et dans son époque, un système plein de beautés et d'absurdités, en partie admirable, en partie risible, en partie odieux, duquel ils tiraient toutes sortes d'actes allant eux aussi de l'admirable à l'odieux, en passant par le risible. De ces édifices construits sur des nuées, le plus important était sans doute le catholicisme. Telles étaient les vues de M. l'abbé de Pradts, qui ne prétendaient ni à l'originalité ni à la profondeur.
Tout pouvoir qui prend, au lieu de loi, la force pour appui, est à la fin renversé par elle.
Dans les librairies, en général, j'ai remarqué que, souvent, ce sont les livres qui nous choisissent, nous appellent, et moi, qui suis pas enclin à me laisser dicter mes gestes ou mes pensées, là je me laisse alors volontiers faire, au milieu des livres.
Chaque point matériel dans le même lieu de la terre tend à se mouvoir avec la même vitesse par l'action de la pesanteur; la somme de ces tendances est ce qui constitue le poids d'un corps; ainsi les poids sont proportionnels aux masses.
Le monde est tout ce qui a lieu.
La vraie clémence consiste non à pardonner, mais à oublier: il y a des pardons qui offensent; ils gravent l'injure au lieu de l'effacer, et tuent la reconnaissance en l'exigeant.
Le milieu scolaire demeure l'endroit privilégié où l'enfant construit sa personnalité propre et son identité sociale. C'est le plus souvent à l'école que l'enfant se cherche en faisant l'expérience de ses relations avec les autres : est-il le dernier à être choisi au sein de l'équipe de ballon-chasseur ? a-t-il du succès lors de l'élection du représentant de classe ? est-ce que les autres rient quand il leur fait une grimace ? se moque-t-on de lui à la récréation ? Voilà autant de questions essentielles dont les réponses enseigneront peu à peu à l'enfant qui il est. Est-il populaire, aimable, admiré ? Modérément marginal, différent ou handicapé ? Un peu trop gros, un peu trop laid, boutonneux ou niaiseux ? Rien de tout cela n'est simple ni facile pour personne. L'écolier affronte l'apprentissage de la vie en société. Cela aussi, on le sait très bien.
Mais toute ombre, en dernier lieu, est pourtant aussi fille de la lumière et seul celui qui a connu la clarté et les ténèbres, la guerre et la paix, la grandeur et la décadence a vraiment vécu.
Entre ces quatre murs, la vie des femmes est invisible, éternelle répétition de tâches quotidiennes qu’on ne voit même plus. Nourrir, soigner, laver des vêtements, bercer un enfant. Enfermée dans un lieu, la femme l’est aussi dans le silence puisque sa parole n’est pas vouée à être entendue. J’ai d’ailleurs souvent pensé que c’était pour cela que l’on se méfiait tant des femmes qui lisent. La lecture est un voyage immobile, une évasion temporaire hors de notre prison, une errance où rien ne saurait nous brider.
On peut dire que, depuis que les Indiens ont été anéantis, l'univers entier est parti à la dérive dans le néant. Si cet univers si peu sûr avait, pour exister, quelque raison, cette raison c'était justement les Indiens qui, au milieu de tant d'incertitudes, étaient ce qui semblait le plus certain. Les appeler sauvages est une preuve d'ignorance ; on ne peut appeler sauvages des êtres qui assumaient un telle responsabilité.
Pour décrire ce que j’ai ressenti dans ce cimetière, un mot me vient à l’esprit : celui de « solastalgie ». Ce concept, inventé au début des années 2000 par un philosophe australien, décrit une nostalgie d’un type particulier, celle d’un lieu où l’on se trouve mais dont on sait pourtant qu’il n’existe plus. Ce qui était n’est plus, mais les traces d’un monde disparu en conservent le souvenir aussi solidement que s’il était indemne.
Et toute cette débauche de moralisme était de surcroît au service d'une ambition parfaitement cynique, il était absolument manifeste que l'Université n'était pour lui qu'une étape nécessaire mais insignifiante sur un chemin qui devait le mener vers la consécration des plateaux de télévision où il avilirait publiquement, en compagnie de ses semblables, le nom de la philosophie, sous l'oeil attendri des journalistes incultes et ravis, car le journalisme et le commerce tenaient maintenant lieu de pensée, Libero ne pouvait plus en douter, et il était comme un homme qui vient juste de faire fortune, après des efforts inouïs, dans une monnaie qui n'a plus cours.
Malheur à celui qui, au milieu de la jeunesse, s'abandonne à un amour sans espoir!
Malheur à celui qui se livre à une douce rêverie avant de savoir où sa chimère le mène et s'il peut être payé de retour!Au milieu des ténèbres, je souris à la vie, comme si je connaissais la formule magique qui change le mal et la tristesse en clarté et en bonheur. Alors, je cherche une raison à cette joie, je n'en trouve pas et ne puis m'empêcher de sourire de moi-même. Je crois que la vie elle-même est l'unique secret. Car l'obscurité profonde est belle et douce comme du velours, quand on sait l'observer. Et la vie chante aussi dans le sable qui crisse sous les pas lents et lourds de la sentinelle, quand on sait l'entendre.
Chez les heureux du monde (1908) de Edith Newbold Jones Wharton
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Les Réfractaires (1881) de Jules Vallès
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Le Marchand de Venise de William Shakespeare
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Pensées et Maximes de Chrétien Guillaume de Lamoignon de Malesherbes
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Interview de Paul Nizon par Catherine Argand (Lire), publié le 01/06/1997 de Paul Nizon
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Traits et portraits (1963) de Natalie Clifford Barney
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Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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France 2, On n'est pas couché, 29 août 2015 de Yann Moix
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Une enfance de rêve (2014) de Catherine Millet
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Pensées, maximes, réflexions extraites de ses ouvrages - Alexis Eymery - Publié en 1823 de Louis Philippe, comte de Ségur
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Madame George (2013) de Noëlle Chatelet
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Exposition du système du monde (1836) de Pierre-Simon Laplace
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Tractatus logico-philosophicus (1918) de Ludwig Wittgenstein
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Pensées, maximes, réflexions extraites de ses ouvrages - Alexis Eymery - Publié en 1823 de Louis Philippe, comte de Ségur
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Du pipi, du gaspillage et sept autres lieux communs (2001) de Bernard Arcand
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Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen (1944) de Stefan Zweig
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Le « Journal du confinement » de Leïla Slimani (2020) de Leïla Slimani
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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Vivre avec nos morts (2021) de Delphine Horvilleur
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Le Sermon sur la chute de Rome (2012) de Jérôme Ferrari
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Les Caprices de Marianne (1833) de Alfred de Musset
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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