Citation ce qui a lieu
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème ce qui a lieu.
210 citations
C'est l'ignorance, et non la connaissance, qui dresse les hommes les uns contre les autres. C'est l'ignorance, et non la connaissance, qui transforme des enfants en combattants. C'est l'ignorance, et non la connaissance, qui conduit certains à préconiser la tyrannie au lieu de la démocratie.
Manifestement, je n'ai jamais eu le vrai goût de la vie et la gravité qui est son corollaire, surtout la persévérance. Je pourrais évoquer les circonstances familiales, défaut dans ma trame. En place d'une maison, d'un enracinement familial : un lieu de passage, un hôtel. Je ne cherche pas d'explication, les choses sont comme elles sont. Simplement, je ne sais pas si elles vont pouvoir continuer. Je suis trop vieux pour la Légion étrangère. Trop indolent pour mener une vie de gangster, trop lâche.
Au milieu des ténèbres, je souris à la vie, comme si je connaissais la formule magique qui change le mal et la tristesse en clarté et en bonheur. Alors, je cherche une raison à cette joie, je n'en trouve pas et ne puis m'empêcher de sourire de moi-même. Je crois que la vie elle-même est l'unique secret. Car l'obscurité profonde est belle et douce comme du velours, quand on sait l'observer. Et la vie chante aussi dans le sable qui crisse sous les pas lents et lourds de la sentinelle, quand on sait l'entendre.
Ceux qui ont voyagé dans les steppes du Tartare, disent : « Revenir aux terres cultivées, à la complexité et l'agitation de la civilisation nous oppressait et nous suffoquait, l'air semblait nous manquer, et nous nous sentions à tout moment sur le point de mourir d'asphyxie. » Quand je veux me recréer, je cherche le bois le plus sombre, le plus épais et le plus interminable, et, pour les citadins, le plus lugubre marécage. J'entre dans un marais comme en un lieu sacré - un sanctum sanctorum- Il y a la force, la moelle de la Nature.
L'enthousiasme déçu de nos tuteurs fait germer en nous une urgence, qui se développe en passions. L'ambition n'est point l'une d'entre elles - lieu commun de la philosophie jusqu'ici -, mais un métavouloir qui les gouverne toutes.
On peut dire que, depuis que les Indiens ont été anéantis, l'univers entier est parti à la dérive dans le néant. Si cet univers si peu sûr avait, pour exister, quelque raison, cette raison c'était justement les Indiens qui, au milieu de tant d'incertitudes, étaient ce qui semblait le plus certain. Les appeler sauvages est une preuve d'ignorance ; on ne peut appeler sauvages des êtres qui assumaient un telle responsabilité.
En tout cas, ce que nous pouvons dire dès le début, c'est que nous entendons par existentialisme une doctrine qui rend la vie humaine possible et qui, par ailleurs, déclare que toute vérité et toute action impliquent un milieu et une subjectivité humaine.
L'animal est ainsi le seul être animé dont l'existence se confonde avec l'existence, et avec l'existence seule. C'est pourquoi il peut, en un sens, être considéré comme le meilleur « témoin » de l'existence, le seul témoin qui soit à la fois éloquent et crédible. La pierre n'en dit vraiment pas assez. L'homme, créature imaginative et bavarde, en dit toujours beaucoup trop. L'animal se trouve dans le juste milieu : il résume tout ce qu'on peut dire de l'existence, pas moins et pas plus
Les témoignages recueillis près de mes camarades sortis des autres camps confirment l'impression qui, dès l'abord m'avait frappée à Neuengamme. Le traitement que nous infligeaient les S.S. était la mise en oeuvre d'un plan concerté en haut lieu. Il pouvait comporter des raffinements, des embellissements, des fioritures, dus à l'initiative, aux fantaisies, aux goûts du chef de camp : le sadisme a des nuances. Le dessein général était déterminé. Avant de nous tuer ou de nous faire mourir, il fallait nous avilir. Par une double entreprise, physique et morale. L'intention ne laissait aucun doute. Elle trouvait sa source dans la haine de l'Homme.(...) Les douze mille hommes jetés à Neuengamme de tous les coins de l'Europe se trouvaient confondus, semblables, égaux, une simple chair anonyme ; rien de singulier ne subsistait en eux, sinon, cousue sur leurs loques, l'initiale de leur nation, qui permettait de séparer les compatriotes pour aggraver la solitude.
Tout ce qui était sacré donnait lieu à une fête.
Rien n'a déjà eu lieu avant et tout ce qui s'est passé ne se reproduira plus jamais. L'expérience discrète n'est rien ; l'essentiel est la théorie qui fait tenir l'ensemble.
Entre ce qui a eu lieu et ce qui n'a pas eu lieu, il n'y a pas plus de différence qu'entre plus zéro et moins zéro.
On ne peut regarder sans émotion, sans cette espèce de stupeur que suscitent les lieux terribles, l’écrasante façade grise et ocre soutachée de corniches roses de la Loubianka... je dis « on » mais qui en fait ? Ceux qui ont compté d’une façon ou d’une autre, à un moment de leur vie, l’espérance révolutionnaire et sa mort sinistre. Car, s’il est un lieu qui symbolise ce meurtre de masse de l’idéal, cette substitution monstrueuse de la terreur à l’enthousiasme, des policiers aux camarades, c’est la Loubianka. C’est ici le centre de cette alchimie à rebours qui a transformé l’or en vil plomb.
L'homme qui sombre, l'homme qui réussit, tous deux sans doute pensent au foyer, se souvenant des jours de leur enfance - l'un seul sur son espar abandonné se noyant sans témoin, l'autre seul au milieu de la foule qui l'applaudit.
Sauf durant les seize premières années de sa vie, où la religiosité, dans un milieu chrétien, était inévitable, M. l'abbé de Pradts n'avait jamais cru en Dieu. Son esprit n'avait pas besoin d'un Dieu ; son coeur n'avait pas besoin d'un Dieu. Le surnaturel était un monde qui lui était aussi fermé que celui des sciences, par exemple, ou celui de l'économie politique : le naturel le comblait largement. Selon lui, les hommes avaient inventé Dieu, parce que la grande majorité en avait besoin, de tête ou de coeur ; ce besoin était, selon lui, une des caractéristiques les plus communes de la faiblesse humaine. Ensuite ils avaient travaillé sans répit tant pour donner un sens à cette invention, que pour lui donner du prestige, afin de n'avoir pas honte d'elle, qui avouait si cruellement leur débilité. Comme ils étaient capables, toujours, du meilleur et du pire, ils avaient construit sur cette idée de Dieu, chacun dans son pays et dans son époque, un système plein de beautés et d'absurdités, en partie admirable, en partie risible, en partie odieux, duquel ils tiraient toutes sortes d'actes allant eux aussi de l'admirable à l'odieux, en passant par le risible. De ces édifices construits sur des nuées, le plus important était sans doute le catholicisme. Telles étaient les vues de M. l'abbé de Pradts, qui ne prétendaient ni à l'originalité ni à la profondeur.
Pour décrire ce que j’ai ressenti dans ce cimetière, un mot me vient à l’esprit : celui de « solastalgie ». Ce concept, inventé au début des années 2000 par un philosophe australien, décrit une nostalgie d’un type particulier, celle d’un lieu où l’on se trouve mais dont on sait pourtant qu’il n’existe plus. Ce qui était n’est plus, mais les traces d’un monde disparu en conservent le souvenir aussi solidement que s’il était indemne.
Entre ici étranger si tel est ton désir
Mais à l'appât du gain, renonce à obéir,
Car celui qui veut prendre et ne veut pas gagner,
De sa cupidité, le prix devra payer.
Si tu veux t'emparer, en ce lieu
souterrain, D'un trésor convoité qui jamais ne fut tien,
Voleur, tu trouveras, en guise de richesse,
Le juste châtiment de ta folle hardiesse.Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles !
Toute pensée qui renonce à l'unité exalte la diversité. Et la diversité est le lieu de l'art.
Une huître baile,
Au beau milieu de son écaille;
Elle reçoit la goutte d'eau,
Qui s'y durcit, et devient perle fine.
Le ciel tire souvent ce qu'on voit de plus beau,
De la plus obscure origine.Malheur à celui qui, au milieu de la jeunesse, s'abandonne à un amour sans espoir. Malheur à celui qui se livre à une douce rêverie, avant de savoir où sa chimère le mène, et s'il peut être payé de retour.
L'impossible n'est pas le contraire du possible. L'impossible, c'est un possible qui est arrivé à incandescence. C'est un possible qui a eu lieu quand même. L'impossible est une tumeur du possible.
Au milieu des déguisements et des artifices qui règnent parmi les hommes, il n'y a que l'attention et la vigilance qui nous puissent sauver des surprises.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La rapidité d'un geste: rapidité nécessaire pour saisir ce qui est le lieu même de cette peinture, son nouveau continent: l'éphémère ... une vue entièrement contenue dans un acte de vision.
Communiqué de presse SG/SM/6366 du 28 octobre 1997 de Kofi Annan
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Chien (1988) de Paul Nizon
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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De la marche (1862) de Henry David Thoreau
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L'Ambition, ou l'épopée de soi (2013) de Vincent Cespedes
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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L'existentialisme est un humanisme (1945) de Jean-Paul Sartre
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L'école du réel de Clément Rosset
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L'homme et la bête (1947) de Louis Martin-Chauffier
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La Cité antique (1864) de Numa Denis Fustel de Coulanges
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Le Roi du K.O. (1988) de Harry Crews
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Péplum (1996) de Amélie Nothomb
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Le météorologue (2014) de Olivier Rolin
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L'Histoire de Pendennis (1848-1850), LX de William Makepeace Thackeray
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Vivre avec nos morts (2021) de Delphine Horvilleur
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Harry Potter à l'école des sorciers (1997) de J. K. Rowling
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Le mythe de Sisyphe (1942) de Albert Camus
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La goutte d'eau de Jean Frain, seigneur du Tremblay
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Les Caprices de Marianne (1833), I, 1 de Alfred de Musset
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France 2, On n'est pas couché, 29 août 2015 de Yann Moix
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Politique tirée des propres paroles de l'Ecriture sainte (1709) de Jacques Bénigne Bossuet
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Admirable tremblement du temps de Gaëtan Picon
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