Citation etait lui etait moi
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60 citations
Madame de Pompadour était très distraite, elle ne se rappelait même pas le numéro de Louis XV. Elle lui disait : « Vous êtes mon petit louis d'or, mais rappelez-moi donc votre numéro. »
L'autre jour, nous nous rendions au restaurant, un ami et moi, quand nous vîmes un malheureux étendu sur le bord de la route. Personne n'avait songé à lui porter secours. Eh bien, quand nous sommes sortis du restaurant, il était toujours là.
Les limites de son rôle dérivent de la nature de ses vertus. Et ces vertus, c’est encore aux lectures d’enfance que je vais aller demander en quoi elles consistent. Ce livre que vous m’avez vu tout à l’heure lire au coin du feu dans la salle à manger, dans ma chambre au fond du fauteuil revêtu d’un appuie-tête au crochet, et pendant les belles heures de l’après-midi, sous les noisetiers et les aubépines du parc, où tous les souffles des champs infinis venaient de si loin jouer silencieusement auprès de moi, tendant sans mot dire à mes narines distraites l’odeur des trèfles et des sainfoins sur lesquels mes yeux fatigués se levaient parfois, ce livre, comme vos yeux en se penchant vers lui ne pourraient déchiffrer son titre à vingt ans de distance, ma mémoire, dont la vue est plus appropriée à ce genre de perceptions, va vous dire quel il était « le Capitaine Fracasse », de Théophile Gautier. J’en aimais par-dessus tout deux ou trois phrases qui m’apparaissaient comme les plus originales et les plus belles de l’ouvrage.
Par-dessus tout, j'avais appris à me reposer entièrement sur lui en fait, il avait pris à peu près toutes les décisions. Alors que maintenant, c'était à moi de réfléchir.
Au demeurant, ce que nous appelons ordinairement amis et amitiés, ce ne sont qu'accointances et familiarités nouées par quelque occasion ou commodité, par le moyen de laquelle nos âmes s'entretiennent. En l'amitié de quoi je parle, elles se mêlent et confondent l'une en l'autre, d'un mélange si universel qu'elles effacent et ne retrouvent plus la couture qui les a jointes. Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer, qu'en répondant : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi. »
Je ne sais pas si l’on peut apprendre à mourir, mais on peut apprendre à vivre ! Il était important pour moi de consacrer un chapitre à Moïse, le sage par excellence, mais qui était paniqué à l’idée de mourir. La solution qui lui a été donnée pour accepter de mourir était de lui faire comprendre que quelque chose de son enseignement allait continuer de vivre, de pousser comme un arbre, de laisser des traces.
Nous avions le temps. Lui, parce qu'il était vieux, moi parce que j'étais jeune.
Il me paraissait si impossible que Manon m’eût trahi, que je craignais de lui faire injure en la soupçonnant. Je l’adorais, cela était sûr ; je ne lui avais pas donné plus de preuves d’amour que je n’en avais reçu d’elle ; pourquoi l’aurais-je accusée d’être moins sincère et moins constante que moi ? Quelle raison aurait-elle eue de me tromper ?
Ivre, il a dit un jour qu'un poseur de bombes était un poseur de questions. Le pub a ri. Moi pas. La bombe ne tue pas, elle profane le corps. Elle le dépèce et le lacère. Je ne suis même pas certain que l'âme lui survive.
Au début, Maigret était assez simple. Un gros homme placide qui, lui aussi, croyait plus à l'instinct qu'à l'intelligence, qu'à toutes les empreintes digitales et autres techniques policières. Il en usait d'ailleurs, comme il y était obligé, mais sans trop y croire. Petit à petit, nous avons fini en effet par nous ressembler un peu. Je serais incapable de dire si c'est lui qui s'est rapproché de moi ou moi de lui. Il est certain que j'ai pris quelques-unes de ses manies et qu'il en a pris des miennes.
Nous nous jetâmes dans les bras l'un de l'autre avec une fureur que je n'avais jamais connue, comme si nos corps se heurtaient l'un contre l'autre dans l'intention de se briser. C'était donc ça, le plaisir : se fracasser, se mêler, ne plus savoir ce qui était à lui ou à moi.
Si c'était moi qui avais voulu les lui présenter, ce qu'il m'aurait envoyé dinguer.
Après, lorsqu'elle m'a vu pour la première fois, ma mère était très contente. Elle m'a aimé tout de suite. Elle a regretté de ne pas avoir voulu de moi au début. Avoir essayé des choses qui lui ont fait très mal au ventre.
On connaît la formule qu'avait écrite Montaigne lorsqu'il tentait de dire pourquoi La Boétie avait empli son coeur : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi. » Et vice versa, il va de soi. C'est l'image qu'on aura de mon père et de son ami Pierre : deux lierres à jamais enlacés.
Je me souvins d'un matin où j'avais découvert un cocon dans l'écorce d'un arbre, au moment où le papillon brisait l'enveloppe et se préparait à sortir. J'attendis un long moment, mais il tardait beaucoup, et moi j'étais pressé. Énervé je me penchai et me mis à le réchauffer de mon haleine. Je le réchauffais, impatient, et le miracle commença à se derouler devant moi, à un rythme plus rapide que nature. L'enveloppe s'ouvrit, le papillon sortit en se traînant, et je n'oublierai jamais l'horreur que j'éprouvai alors: ses ailes n'étaient pas encore écloses et de tout son petit corps tremblant il s'efforçait de les déplier. Penché au-dessus de lui, je l'aidais de mon haleine. En vain. Une patiente maturation était nécessaire et le déroulement des ailes devait se faire lentement au soleil, maintenant il était trop tard. Mon souffle avait contraint le papillon à se montrer, tout froissé, avant terme. Il s'agita, désespéré, et, quelques secondes après, mourut dans la paume de ma main. Ce petit cadavre , je crois que c'est le plus grand poids que j'aie sur la conscience. Car, je le comprends bien aujourd'hui, c'est un péché mortel que de forcer les grandes lois. Nous ne devons pas nous presser, ne pas nous impatienter, suivre avec confiance le rythme éternel.
« Un jour, tu penseras qu’on est des vieux nuls. Tu ne seras plus notre petite fille, tu ne nous trouveras plus formidables, surtout moi », déclarait maman, avec l’espoir évident que cette sombre prophétie n’adviendrait jamais. C’était il y a longtemps, lorsque je les trouvais tellement géniaux tous les deux. Je n’avais aucune envie de lui donner raison, parce que rien ne m’énervait autant. Mais si je comparais maman avant et maman aujourd’hui, c’est vrai qu’elle avait changé, et je ne crois pas que c’était dû à une quelconque modification de ma part.
Que je m'appelle Albertine dans L'astragale de Brigitte Sy ou Leïla dans Les intranquilles de Joachim Lafosse, ça m'est égal, tant que le personnage n'est pas seulement défini par son prénom. Dans Le grand bain, je m'appelle Amanda, par exemple : j'étais hyper-heureuse que Gilles Lellouche pense à moi en tant qu'actrice et pas en tant que fille maghrébine. Mais je n'aurais eu aucun souci à m'appeler Samira, car ce rôle-là, c'était avant tout celui d'une femme forte.
Ma seule solution, et je m'en félicite vivement, était de faire ce que j'avais envie de faire : la fête. Ce fut une bien belle fête, d'ailleurs, entrecoupée de romans divers et de pièces diverses. Et là finit mon histoire. Après tout, qu'est-ce que j'y peux ? Ce qui m'a toujours séduite, c'est de brûler ma vie, de boire, de m'étourdir. Et si ça me plaît, à moi, ce jeu dérisoire et gratuit à notre époque mesquine, sordide et cruelle, mais qui, par un hasard prodigieux dont je la félicite vivement, m'a donné les moyens de lui échapper
Parce que je sens que là-haut, dans les Cieux, les anges l'un à l'autre se parlant bas, ne peuvent, parmi leurs termes brûlants d'amour, en trouver un d'une dévotion pareille à celui de « Mère » ; en conséquence, je vous ai dès longtemps de ce nom appelée, vous qui êtes plus qu'une mère pour moi et remplissez le coeur de mon coeur, où vous installa la Mort en affranchissant l'esprit de ma Virginie. Ma mère, — ma propre mère, qui mourut tôt n'était que ma mère, à moi ; mais vous êtes la mère de Celle que j'ai si chèrement aimée, et m'êtes ainsi plus chère que la mère que j'ai connue, de cet infini dont ma femme était plus chère à mon âme qu'à cette âme sa vie.
Elle était à l'âge de la jouissance, moi à l'âge du plaisir, si l'on veut bien admettre que la jouissance est liée à l'excitation du nouveau et le plaisir à celui de la répétition.
René est toujours avec moi. On était comme cul et chemise, on ne pouvait pas se passer l'un de l'autre. Avec lui, c'était facile : il se mettait à l'ouvrage, il pondait un scénario comme ça. Il n'y avait rien à jeter et je me mettais au travail. Je dessinais la première planche, c'était magique ! Parfois, quand le succès survient dans un couple, il le vit mal, il ne résiste pas. Mais entre nous, cela a duré. Chacun respectait le rôle de l'autre.
Il était l'amour de ma vie, le père de mes enfants. Il ne pouvait pas disparaitre de la surface de la Terre. Le monde irait mal, sans lui. Nous avions besoin de lui pour vivre. Et moi, pour lui, pour les enfants, j'allais être forte, ne pas me laisser abattre.
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
La plus belle preuve d'amour que je pouvais lui offrir était de le laisser partir. Son départ ne changerait rien à ce qu'il ressentait pour moi... Il pouvait partir parce qu'il était moi, il était une part de moi.
Il m'a fallu des années pour comprendre que son discours n'était pas incohérent ou contradictoire mais que c'était moi, avec une sorte d'arrogance de transfuge, qui essayais de lui imposer une autre cohérence, plus compatible avec mes valeurs – celles que j'avais précisément acquises en me construisant contre mes parents, contre ma famille – , qu'il n'existe d'incohérences que pour celui qui est incapable de reconstruire les logiques qui produisent les discours et les pratiques.
L'Humour vert (sous le pseudonyme de Claude Sergent), Éditions Buchet-Chastel, (1964) de Claude Schnerb
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Sans référence de Alfred Capus
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Sur la lecture de Marcel Proust
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Intuitions (2010-2013) de Rachel Claire Ward
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Essais, I, 28, De l'amitié de Michel de Montaigne
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Interview Lire Magazine littéraire en juin 2021 de Delphine Horvilleur
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Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran (2001) de Eric-Emmanuel Schmitt
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Manon Lescaut de Abbé Prévost
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Retour à Killybegs (2011) de Sorj Chalandon
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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L'Amie prodigieuse, tome 3 : Celle qui fuit et celle qui reste (2017) de Elena Ferrante
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A la recherche du temps perdu, Sodome et Gomorrhe (1922-1923) de Marcel Proust
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Le Coup de la girafe (2012) de Camille Bouchard
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Quand Dieu boxait en amateur de Guy Boley
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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L'odeur de la colle en pot (2019) de Adèle Bréau
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Entretien, numéro 823 de Marie Claire, avril 2021. de Leïla Bekhti
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Des bleus à l'âme (1972) de Françoise Sagan
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À ma mère de Edgar Allan Poe
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Une fille pour l'été de Roland Jaccard
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Entretien, Le Parisien par Adeline Fleury, Le 30 novembre 2018 de Albert Uderzo
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Nos résiliences (2021) de Agnès Martin-Lugand
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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La Datcha (2021) de Agnès Martin-Lugand
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En finir avec Eddy Bellegueule (2014) de Édouard Louis
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