Citation maitre mais
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Une Sélection de 90 citations et proverbes sur le thème maitre mais.
90 citations
Quand on a entendu parler des hauts faits d'un maître, penser que quoiqu'on fasse on ne pourra jamais l'égaler est signe de petite âme.
Et l'amour, qui avait été à l'origine du monde, en fut aussi le maître. Mais ses chemins sont parsemés de fleurs et de sang. De fleurs et de sang...
«Laissez-nous un peu vous déformer, Maître, et on vous aimera.» Mais vient le moment où le Maître refuse d'être aimé à ce prix et préfère être détesté et compris.
Vous avez beau faire, mon cher maître, vos vers passeront à la postérité; mais le nom de votre maréchal (le maréchal de Richelieu) n'y passera pas.
Le moment passé n'est plus rien,
L'avenir peut ne jamais être ;
Le présent est l'unique bien
Dont l'homme soit vraiment le maître.(Le véritable esprit d'égalité) ne cherche pas à n'avoir point de maître, mais à n'avoir que ses égaux pour maîtres.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Sous quel astre ton maître a-t-il reçu le jour? - Sous un astre à jamais ne changer son amour.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Il faut l'avouer, l'amour est un grand maître. Ce qu'on ne fut jamais, il nous enseigne à l'être.
Tu peux être Dieu des chiens, Dieu des chats, Dieu des pauvres, il te suffit d'une laisse, d'un peu de mou, de quelque fortune, mais tu ne seras jamais maître de l'arbre. Tu ne pourras jamais que vouloir devenir arbre à ton tour.
Mais qui sait comment Gollum était venu en possession de ce cadeau, il y avait des siècles, dans cet ancien temps où pareils anneaux étaient encore disponibles dans le monde ? Peut-être le Maître qui les régissait n'aurait-il pu, lui-même, le dire.
L'adversité est sans doute un grand maître, mais ce maître se fait payer cher ses leçons et souvent le profit qu'on en retire ne vaut pas le prix qu'elles ont coûté.
Il y a ségrégation lorsqu'on dépend de quelqu'un d'autre. On vous donnera toujours ce qu'il y a de moins bon, mais cela ne veut pas dire que vous subissiez la ségrégation pour cette seule raison que vous possédez ce qui vous appartient. Il faut que vous soyez maîtres de ce qui est à vous, il faut que vous en soyez maîtres tout comme l'homme blanc est maître de ce qui est à lui.
Confucius dit : « Beaucoup cherchent le bonheur plus haut que l'homme ; d'autres, plus bas. Mais le bonheur est à la taille de l'homme. » C'est juste. Il existe donc autant de bonheurs qu'il y a de tailles d'hommes. Tel est, mon cher élève et maître, mon bonheur aujourd'hui : je le mesure, le remesure, inquiet, pour savoir quelle est maintenant ma taille. Parce que, tu le sais bien, la taille de l'homme n'est pas toujours la même.
Celui qui achète des objets en céramique ne doit jamais perdre cela de vue. On ne dépense tout de même pas son argent pour s'irriter au bout de trois ans des acquisitions faites. Les objets qui portent l'empreinte créatrice du maître conserveront toujours leur valeur. Ceux dotés d'une ornementation sécessionniste doivent être rejetés, même s'ils nous plaisent. S'ils plaisent, ce n’est pas qu'ils soient beaux ou qu'ils correspondent à notre sentiment, mais c'est parce qu'on a tenté de nous imposer cette tendance.
Voilà des circonstances bien étranges, dit M. Utterson, mais il me semble commencer à y voir clair. Votre maître, Poole, est visiblement atteint d'une de ces maladies qui à la fois torturent et défigurent le patient.
J'aime l'automne parce que tout devient bonus. Les jours raccourcissent, mais il y a une urgence à profiter du moindre rayon, de la première éclaircie. et puis, j'adore les couleurs, le feuillage arc-en-ciel des arbres. On dirait un tableau de maître. L'été, ils sont tous verts, c'est sans surprise, mais, dès septembre, c'est une explosion de couleurs, des nuances plus merveilleuses les unes que les autres: entre deux feuillages verts, un jaune; un arbre rouge qui irradie, incendie, embrase à lui seul une forêt entière, les milles teintes d'orange qui redonnent à chaque regard un nouvel intérêt. En automne, la nature récompense les patients, les observateurs, les optimistes, ceux qui décèlent le beau là où d'autres ne prennent pas le temps de le voir.
On entreprend assez, mais aucun n'exécute; il est des assassins, mais il n'est plus de Brute: enfin, s'il faut attendre un semblable revers, il est beau de mourir maître de l'univers.
J'aimais, je soupirais dans une paix profonde,
Un autre était charge de l'empire du monde.
Maitre de mon destin, libre dans mes soupirs,
Je ne rendais qu'a moi compte de mes désirs.Sachant bien lire, l’écolier, qui est très curieux, aurait bien vite, avec sept ou huit livres choisis, une idée, très générale, il est vrai, mais très haute de l’histoire de l’espèce humaine, de la structure du monde, de l’histoire propre de la terre dans le monde, du rôle propre de la France dans l’humanité. Le maître doit intervenir pour aider ce premier travail de l’esprit ; il n’est pas nécessaire qu’il dise beaucoup, qu’il fasse de longues leçons ; il suffit que tous les détails qu’il leur donnera concourent nettement à un tableau d’ensemble. De ce que l’on sait de l’homme primitif à l’homme d’aujourd’hui, quelle prodigieuse transformation ! et comme il est aisé à l’instituteur, en quelques traits, de faire sentir à l’enfant l’effort inouï de la pensée humaine ! [...]
Mais lorsqu'on en est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter ; tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre coeur les charmes attrayants d'une conquête à faire.
Mais il comprit assez vite qu'un disciple n'était pas forcément quelqu'un qui aspire à apprendre quelque chose. Plus souvent, au contraire, on se faisait disciple pour le plaisir désintéressé d'enseigner son maître.
Le devoir de celui qui veut éduquer les hommes n'est pas de les préserver de l'erreur mais de guider celui qui s'égare, et même de lui laisser épuiser la pleine coupe de l'erreur; telle est la sagesse du maître.
J'aime bien les restaurants gastronomiques mais je ne donnerais jamais de pourboire à un maître d'hôtel qui goûte mon vin, qui vole mes mégots et qui brûle mes bananes.
Hagakure de Tsunetomo Yamamoto
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Victoria (1977) de Knut Hamsun
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Les testaments trahis de Milan Kundera
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Lettre à Voltaire, 27 avril 1765 de Jean le Rond d'Alembert
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Stances sur le nouvel an de Jean-Jacques Rousseau
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De l'esprit des lois (1748) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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L'étourdi, ou Les contretemps (1655), I, 4 de Molière
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Sans référence de Molière
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Un homme qui dort de Georges Perec
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Bilbo le Hobbit (1937) de John Ronald Reuel Tolkien
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Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778, édition posthume 1782) de Jean-Jacques Rousseau
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« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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L'Etrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde (1886) de Robert Louis Balfour Stevenson
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Le tourbillon de la vie (2021) de Aurélie Valognes
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Cinna, ou La clémence d'Auguste (1640), II, 1, Cinna de Pierre Corneille
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Bérénice (1670), II, 2, Titus de Jean Racine
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La Dépêche,journal de la démocratie du midi, 15 janvier 1888 de Jean Jaurès
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Dom Juan, ou le Festin de Pierre (1665), I, 2, Dom Juan de Molière
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L'Exil et le Royaume de Albert Camus
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Les Années d'apprentissage de Wilhelm Meister (1796) de Johann Wolfgang Goethe
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Carnet de notes (2001) de Patrick Sébastien
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